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4.35/5 (sur 114 notes)

Nationalité : Belgique
Biographie :

Mère au foyer, Amandine Ré est auteure de romance.

page Facebook : https://www.facebook.com/Amandine-RE-Auteur-855098887926149/

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Citations et extraits (43) Voir plus Ajouter une citation
— Tu n’as rien compris en fait.
— Je t’écoute dans ce cas. Dis-moi pourquoi tu ne l’as pas butée ? T’as déjà tué des femmes, sans te soucier de la personne qui se cachait derrière le nom. Pourquoi pas Amy ?
— Amyliana, grogné-je, pas Amy. Et pourquoi elle est toujours en vie ? Parce qu’elle et moi, on se ressemble quelque part, j’ai envie qu’elle connaisse autre chose que la merde dans laquelle elle est embourbée.
— Des couilles, ça. Tu te mens à toi-même.
— Non. Elle a la rage de s’en sortir, comme je l’ai eue à une certaine époque. Elle ne se voile pas la face quant à son avenir. Elle sait d’où elle vient, les épreuves l’ont endurcie, et... Je ne l’impressionne pas. Ça, c’est quelque chose que j’admire chez les gens.
— Mais encore ?
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Gamin, si tu savais la vie de terreur qui t’attend… Elle est dure, obscure, et te poussera à te surpasser quoiqu’il arrive. Elle assombrira encore les ténèbres qui rongent ton être, et la vue du sang te sera devenue un quotidien dont tu ne pourras plus t’éloigner.
Tu vivras pour ça, pour faire saigner les petites gens et les effrayer, tu respireras pour te poudrer les narines et ne jamais rien lâcher.
Des vies, tu en arracheras ; des balafres tu causeras vengeant les vilaines cicatrices sur ton crâne fracturé. Tu deviendras un homme sans pitié, puissant, attisant la jalousie du Sheitan.
Mais tu sais mon grand, la difficulté de cette vie qui t’attend, est de ne pas te perdre. Reste-toi, avec ces rêves de gosses qui t’font sourire la nuit, avec ton rire qui fait frémir ta mère et surtout, n’omets pas que chaque être humain sur cette terre a le droit de connaître ce qu’est l’amour fou, l’amour d’une vie, l’amour d’autrui.
L’ancien toi n’est plus. Idriss est mort aujourd’hui pour faire place à ce mec que j’aime voir devenir aussi malveillant que A. Bienvenue parmi les Cobra, Crew.
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Elle et moi.
Une pute et moi.
Improbable et dysfonctionnel.
Imprévisible et utopique.
Un cauchemar, mais une réalité.
Ma réalité.
Son aura m’aspire, sa bouche gourmande et sucrée est ma plus grande tentation.
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Je voudrais lui demander si un jour, il lui est arrivé de m’aimer, de ressentir son cœur battre quand elle me regardait. Je voudrais tant essayer de comprendre ce qu’elle avait dans la tête pour me désaimer avec une telle hargne, lui dire à quel point je suis désolée d’avoir fait de sa vie un enfer quand elle a fait de la mienne un cauchemar éveillé. Je voudrais entendre la voix de mon père, celle qui adorait me sermonner quand je ne faisais rien de bon. Je voudrais encore une fois l’entendre soupirer face aux conflits entre sa femme et moi.
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Je suis celui qui te pistera comme ton ombre, je suis celui qui t’abattra d’une balle dans la tempe, sans l’once d’un remord, sans penser à la peur que je t’aurais foutue avant de te flinguer.
Je suis le mec qui va te faire devenir dingue en moins de deux.
 
Je suis son pire cauchemar et son plus beau rêve. Je suis son traqueur, son tueur même si elle me donne le sourire au cœur et les larmes à l’œil.
Je suis celui qu’elle surnomme « A, mon Mystérieux ».
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Mes pensées ne s’arrêtent jamais. Jamais.
Pas une seule seconde de répit, pas une seconde de pause, pas une seconde tout court.
J’ai appris à devenir comme ça.
Je suis devenue comme ça.
Ils ont tout fait pour que je sois comme ça.
Je me suis auto-conditionnée pour être méfiante, sur mes gardes, toujours à l’affût d’un visage qui ne me serait pas totalement inconnu. Ils ne doivent pas me trouver.
Je n’avais rien.
Je n’ai toujours rien.
Je suis seule, terriblement seule.
Je n’ai pas de famille. J’en avais pourtant une.
Mais si j’ai appris quelque chose de cette dernière année écoulée, c’est que la famille ne fait pas obligatoirement partie de notre vie à tout jamais.
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Avant d’être ici, je n’aimais pas vraiment lire et ne comprenais pas non plus que l’on puisse perdre autant de temps à imaginer un univers qui n’existait pas.
En croupissant ici, j’ai compris.
J’ai compris que lire créait l’imaginaire, que l’imaginaire nous tenait éveillé, qu’être éveillé en s’attachant à des héros inventés nous permettait de nous évader.
Grâce aux bouquins que j’empruntais à la bibliothèque de la prison, j’ai capté que je pouvais me retrouver ailleurs, dans un monde que j’aurais aimé connaître, alors que finalement, je me retrouvais encore et encore dans cette cellule aux barreaux trop rarement ouverts.
J’appelle ça l’évasion émotionnelle…
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Lorsqu’on a quinze ans, l’espoir est présent en nous comme l’affliction l’est chez les plus âgés.
Des cicatrices, j’en avais. Mon corps en portait, mon âme en saignait.
Mais quand on a quinze ans, on est consciente qu’un jour, on s’en sortira.
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Le monde extérieur m’effraie, le monde extérieur me donne le tournis, le monde extérieur me fait vomir.
J’ai peur, je suis angoissée, je suis phobique sociale, phobique de tout et pourtant je ne suis pas malade.
Il y a eu lui, puis eux. Puis lui, elle et encore lui. Il y a eu lui et moi.
Puis, plus rien. Le néant a pris possession de mon cœur, la douleur a remplacé les mouvements de mes jambes, l’affliction a séché mes larmes.
J’essaie de comprendre, je voudrais qu’il se remémore nos peurs, nos doutes, nos rires, nos baisers, nos baises à n’en plus finir.
Je voudrais juste qu’il se rappelle du pourquoi il m’a aimée.
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Les hommes, les femmes, l’humain en général n’est pas destiné à aimer qu’une seule et unique personne tout le long de sa vie.
Parce qu’on rencontre l’autre, qu’on apprend à le connaître, qu’on aime ses défauts bien avant ses qualités, qu’on en devient drogué avant de finir aveuglé par ce qui bat dans notre poitrine.
Qu’importe les actes…
Qu’importe les mots…
Qu’importe les mensonges débités à toute vitesse.
On ne voit plus juste.
On ne voit plus la réalité malgré les avertissements de notre conscience.
On se ment à soi-même.
On se torture, on souffre, on suffoque.
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