Amy Tintera

j'ai adoré ce livre. L'univers est riche et bien exploité et même s'il n'offre pas de surprises de taille, le scénario tient la route et captive. Les personnages sont attachants et touchants, et on ne s'ennuie jamais. Il est très difficile de poser ce livre une fois plongé dans les vies de Wren et Callum. Un quasi sans faute !



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Avec Reboot, Amy Tintera pose de très bonnes bases tout en offrant au lecteur un premier tome riche en péripéties. La mythologie qu'elle a imaginée est aussi simple qu'efficace, originale et accrocheuse. L'héroïne est géniale à suivre, en tant que reboot 178, elle a un comportement dépourvu d'émotion et si sa personnalité évolue au contact de Callum, elle garde toujours un côté un peu froid, ce qui la rend très agréable et change la donne dans le flot des héroïnes qu'on est amené à rencontrer la plupart du temps. J'ai passé un excellent moment et vu la fin, je suis fichtrement curieuse de lire la suite.
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Un premier tome très bien conçu jusqu'à la moitié du livre mais après, ça se gâte un peu. Je m'explique.



Au commencement, nous débarquons dans un monde post-apocalyptique où on suit la vie de 178, une reboot - son univers, les règles qu'elle doit suivre, .... Jusque là l'histoire est vraiment bien. Le problème intervient lorsque 22 arrive. Dès lors, on se retrouve avec une histoire d'amour qui devient lassante. Il faut savoir que 178 étant décédée pendant longtemps avant de revivre, elle n'est censé rien ressentir. Or, ici, au début ça va mais après, elle devient comme toute les autres ados face à un beau gosse : nunuche. Je ne comprend pas comment on peut faire évoluer un personnage insensible en quelqu'un comme ça après seulement la moitié du livre. Pour moi, c'est vraiment un aspect qui ne va pas du tout dans ce livre. Cependant, je dois dire que l'histoire est assez bien et le monde très bien décrit. Donc dans l'ensemble je trouve que c'est un bon roman de dystopie mais l'héroïne gâche un peu l'ensemble.

Dans un futur proche, les gens décèdent à cause d'un mystérieux virus, et certains... revivent ! Les revenants, dit Reboots, voient leurs capacités physiques se développer, et perdent toute émotion. C'est donc sans remords qu'ils obéissent aux forces de l'ordre et répandent la terreur sur la ville en arrêtant et parfois tuant des civils. Wren 178 est une Reboot, puissante qui plus est, grâce au fait qu'elle soit restée morte plus longtemps que les autres. Mais dans sa vie bien rangée où la disciple fait la loi, un imprévu intervient : Callum 22, un jeune Reboot maladroit et attachant bouleverse sa vie et fait naître en elle des sentiments, dont un en particulier : la rébellion.



J'ai trouvé ce livre vraiment palpitant, bien écrit et original, car il change un peut de toutes ces histoires de zombies, bien qu'il s'agisse ici aussi d'une histoire de virus et de résurrection :) J'ai accroché dès le départ, à lire, vraiment !



Ju

178. C'est le chiffre tatoué sur le poignet de Wren, celui qui la définie, qui fait que les autres la craignent. C'est aussi les minutes pendant lesquelles elle a été morte, cinq ans plus tôt.

En tant que meilleure soldat de la SHER - Société l'Evolution et de la Repopulation Humaine - Wren n'est pas censée ressentir d'émotions. pas de regrets quand elle traque, quand elle tue si nécessaire. Elle suit les ordres sans poser de questions.

Etant donné son rang, elle fait aussi partie des formateurs. De temps en temps, de nouveaux Reboots sont amenés dans le bâtiment où ils sont isolés des humains qui se servent d'eux, et les Reboots avec les niveaux les plus élevés doivent les former. Leurs apprendre à respecter les ordres. Mais 22 - Callum - est presque encore humain. Pour Wren, il est maladroit, lent, et ses émotions obstruent son jugement. Alors le Reboot lui propose un défi. Alors que Wren s'occupe toujours de formation des Reboots aux chiffres les plus élevés, Callum la met au défi de se charger de lui, de lui apprendre.



Bien sûr, vous vous doutez bien qu'elle accepte. Mais quand bien même c'est elle qui l'entraîne, c'est lui qui lui fait apprendre. Il lui fait ouvrir les yeux sur les agissements de la SHER, sur l'esclavage de Reboots par les humains, sur ce qu'ils leur font subir.

Je pensais ainsi me confronter à une histoire d'amour entre une fille forte et un garçon faible en ouvrant ce livre, mais j'étais bien loin du compte. Il y a beaucoup de romance, certes, mais aussi beaucoup d'action, de course-poursuites. Un mélange que j'affectionne particulièrement.

Au cours de ma lecture (en une journée, c'est pour dire que j'étais immergée dans l'histoire), j'ai fait beaucoup de rapprochements, et je pense que Reboot est un peu un mélange de l'Epreuve (avec la SHER pour WICKED), et de Hunger Games et Divergente, avec ce côté après-guerre et rébellion. La plume de l'auteure est tout de même différente, et je pense m'être un peu plus attachée à Wren et Callum (très rapidement) qu'à Tris, Thomas ou Katniss.

J'ai beaucoup aimé l'évolution du caractère de Wren, celle de sa relation avec Callum, même si on sait tous comment cela va finir dès le début. Les scènes où nos deux protagonistes se montre leur amour sont aussi bien écrites que les scènes de combat, et Amy Tintera sait toujours nous tenir en haleine, avec l'action mais aussi les petites révélations par-ci et par-là, nous apprenant vaguement comment le monde en est arrivé là - les Reboots en esclavage alors qu'ils sont plus forts, les humains soumis et endoctrinés par la SHER.

J'ai tout aimé dans ce roman, même si il manquait la petite étincelle pour en faire un véritable coup de cœur. Je le conseille beaucoup pour tout les ados/jeunes adultes adeptes de romans d'action post-apocalyptique (bien que ce ne soit pas clairement évoqué) et les fans de HG ou Divergente, mais surtout ceux de l'Epreuve (les navettes, notamment, m'ont beaucoup fait pensé aux bergs, et l'histoire en général, d'une certaine façon, m'a beaucoup fait pensé au préquel de la trilogie).
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Wren est appelée "cent-soixante-dix-huit" car c'est le nombre de minutes durant lesquelles elle est restée morte avant d'être rebootée et d'entamer sa nouvelle vie. Dénuée d'émotions, elle forme les nouveaux Reboots et obéit aux ordres sans broncher. Mais sa rencontre avec un "vingt-deux" va pourtant tout changer.

On retrouve dans ce roman tous les éléments classiques des romans pour ados présentant une dystopie. La construction est donc assez convenue et le déroulement général de l'intrigue se devine aisément. C'est dommage car le sujet était un brin original : nous aurions pu espérer quelques rebondissements inattendus.

Pour ceux qui n'ont pas lu encore beaucoup de romans du style, ce tome 1 devrait donc les satisfaire puisqu'il remplit son pacte de lecture. Et pour les autres, la lecture reste tout de même agréable même si les surprises sont peu nombreuses : le style est entraînant, le suspense donne envie de poursuivre la lecture et l'héroïne parvient à donner envie de la suivre.

Même si Reboot ne renouvelle pas le genre, voici un premier tome agréable à lire. C'est déjà un bon point.

Premier livre très réussi de Amy Tintera, l'intrigue y est bien ficelée et au fil des pages la tension devient insoutenable. Vont-ils réussir à mener à bien leur mission ou vont-ils échouer ? C'est bien simple, une fois ouvert, on ne le lâche, pas et une fois fermé on est déjà dans l'attente de la suite…
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Un 1er tome que j'ai adoré, tant par son rythme, ses personnages intéressants, que par son originalité. J'espère que la suite nous donnera plus d'informations sur le contexte de la dystopie, ou encore sur le passé de l'héroïne, car pour l'instant on n'en a pas, mais autrement, la lecture est fluide et très plaisante. Je vous le conseille vraiment et en attendant, je vais me jeter sur la suite !
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Coup de cœur !



Cela faisait un an que ce roman traînait dans ma PAL, et hier, enfin, j'ai décidé de lui accorder sa chance... J'ai bien fais !



Reboot nous plonge dans un monde sombre, où la pauvreté fait rage, où les puissants ont pris le pouvoir et où les gens qui meurent, reviennent parfois à la vie...



Wren 178, est de ceux qui sont revenues, et autant le dire, ce personnage est fascinant. De sa froideur à son passé terrible, Wren est un personnage complexe, que j'ai aimé suivre et découvrir.



Face à elle Callum 22, un reboot lui aussi, mais pas tout à fait mort, puisqu'il est encore imprégné d'une forte humanité. Callum est un rayon de soleil dans ce monde terne, et il apporte au récit une touche d’originalité et questionnements.



Notre duo va devoir apprendre à se connaitre, apprendre à se découvrir et pourquoi pas, ensemble, briser les chaînes qui les entravent.



L'écriture de l'auteure est fluide, et elle parvient à mêler romance, dystopie et questionnement de soi, avec brio.



Le livre apporte au lecteur, son lot de perte et de joie, le tout sur fond de complot et de mission.



Autant le dire, jai hâte de plonger dans la second tome, car la fin de celui-ci est juste trop énigmatique et j'ai besoin de connaitre la suite des éventements pour tous nos reboots !



Un livre que je recommande sans hésiter !



Bonne lecture à tous.

Les Reboot sont des enfants et adolescents qui sont décédés mais qui sont ensuite revenus à la vie.

La SHER, Société Humaine d’Evolution et de Repopulation se charge d’eux, tout d’abord en les tatouant d’un code barre mentionnant leur prénom et un nombre représentant les minutes pendant lesquelles ils sont restés morts.

Wren 178, l’héroïne de ce roman est la Reboot de son centre étant restée décédée le plus longtemps. C’est ce qui fait d’elle la meilleure Reboot du centre, la plus rapide, la plus forte, elle obéit aux ordres de la SHER sans les remettre en question, elle s’acquitte de ses missions, que ce soit amener des humains civils dans des hôpitaux, les arrêter… voire en éliminer certains si cela s’avère nécessaire.



Sauf qu’il manque quelque chose à Wren… Elle est restée morte tellement longtemps qu’elle ne connaît plus les sentiments humains.

Quand arrive un nouveau wagon de nouvelles recrues qui vont devoir être formés par les Reboots, Wren, contre toute attente, va choisir de former Callum, qui n’est resté mort que 22 minutes ! Autant dire qu’il n’a rien perdu de ses qualités et sentiments humains !

Entre les deux, le fossé est grand. Mais Wren a envie de relever le défi et former une nouvelle recrue efficace, et surtout qui ne se laisse pas tuer rapidement.



Entre les 2 bien sûr, vont naître des sentiments. Certes ils sont évidemment plus forts de la part de Callum, mais à son contact, Wren évolue petit à petit, se remet en question et remet en question ce qui se passe autour d’elle dans le centre.



Si l’histoire est assez classique dans le genre, elle n’en reste pas moins intéressante et agréable à lire.

Il y a quand même pas mal d’action, donc on ne s’ennuie pas lors de la lecture.

On découvre petit à petit l’univers dans lequel évoluent Wren, Callum et les autres, Reboots et humains, et on apprend aussi que même si la SHER semble tout faire pour que perdure une opposition forte entre humains et Reboots, il y en a quand même certains qui ont envie que la cohabitation se passe bien.



J’ai trouvé ce premier tome réussi, il nous donne bien entendu envie d’en savoir plus sur la SHER, sur les Reboots, sur les camps et aussi sur ce qu’il se passe en-dehors.



Un grand merci à Babelio et aux éditions « Le Masque » pour être parmi les heureux lecteurs de « Reboot », j’ai déjà hâte de retrouver les personnages !

J'ai trouvé ce roman fade. Le résumé et le thème avaient l'air prometteur, mais je suis restée sur ma faim. L'histoire d'enfants qui ont ressuscité et qui deviennent des tueurs ? Et bien, non !



C'est une véritable histoire d'amour ! Quand le résumé dit : "Pourtant, depuis que j'ai rencontré Callum, [...], je ne me suis jamais sentie aussi vivante.", il faut le comprendre littéralement. La Miss 178, froide et intimidante, découvre l'amour et là l'histoire devient guimauve et "gnan-gnan" au possible !



Les personnages secondaires sont sans relief (on croirait presque que Callum n'est défini/reconnaissable que par son sourire) mais c'est peut-être normal vu que la narration est faite à la première personne du singulier (je), la Miss n'est concentrée que sur "son" Reboot ; les péripéties et aventures qui ont lieu sont presque trop faciles. On aurait pu croire à une fin plus nuancée mais non, tout est bien qui finit bien dans le meilleur des mondes !



Je me demande ce que donnera le tome 2 mais je parierais sur le rêve des Reboots (leur espoir) qui devient cauchemar et qui n'est pas si idyllique que dans leur imaginaire : un cliché littéraire en somme !

Lecture très originale, qui suit quand même le schéma des dystopies habituelles. On passe un agréable moment dans l’ensemble, même si le rythme s’essouffle un peu vers la moitié de l’histoire.

Ça fait un certains temps que ce livre m’intéresse. La couverture est très belle, je trouve le noir et le rouge très bien assorti, la phrase d’accroche donne très envie et le résumé encore plus. C’est un univers que j’ai apprécié découvrir ! A peine, j’ai lu les deux premiers chapitres, je n’ai plus pu m’arrêter.



178 soit Wren est une Reboot. C'est-à-dire qu’elle a ressuscité au bout de 178 minutes. Un virus traine sur Terre et du coup, les personnes peuvent rebooter donc revenir à la vie quand il meurt. Ensuite, l’organisation la SHER les forme pour devenir des guerriers et faire respecter l’ordre dans les villes. Wren est la meilleure ou la pire, faut voir de quel point de vue. Elle ne ressent plus d’émotion, elle est froide et même parmi les Reboots elle est craint. L’arrivé de Callum dit 22 va totalement chambouler la vie de Wren…



Dès le début je me suis attachée à Wren, c’est une héroïne forte. Elle a le numéro le plus élevé donc elle ne ressent plus rien, ses émotions sont vides, elle obéit aux ordres qu’on lui donne et ne pose pas de questions. On peut dire qu’elle a très bien été formée. D’ailleurs, le SHER n’hésite pas à l’envoyer effectuer des missions en solo car ils savent qu’ils peuvent avoir confiance en elle.

Callum porte le numéro 22, donc il mort 22 minutes avant de ressusciter, il n’est pas assez mort pour ne plus rien ressentir, il fait que parler, n’écoute pas les ordres, pose des questions… Par ses paroles, il va réveiller petit à petit des émotions chez Wren. Le changement s’effectue petit à petit, mais c’est un vrai régale de découvrir tous ces changements. Même si le changement est infime, pour Wren s’est nouveau, du coup, on s’attache encore plus à elle. Personnellement, je me suis attachée à tous les personnages, l’auteur a un style d’écriture tellement simple qu’on est obligé d’apprécier les personnages.



Par contre, un petit défaut c’est que l’intrigue est du déjà vu. Je pense que c’est du au genre la Dystopie. Car la Dystopie est l’univers que décrit l’auteur ne s'éloigne du nôtre que par les seules transformations sociales ou politiques que l'auteur désire critiquer. Du coup, les Dystopie se ressemble toutes un peu. Mais l’univers d’Amy Tintera est génial, j’ai apprécié en apprendre plus sur les Reboots. J’ai de suite accrochée avec son style d’écriture, de plus, le rythme est soutenu, on ne s’ennuie pas une seule minutes, les révélations sont donnés au bon moment, les rebondissements entraine le lecteur rapidement et facilement. L’action est présente dans tout le roman !



En conclusion, vous l’aurez compris j’ai adoré ce livre ! Je l’ai lu très rapidement, une fois commencé je n’ai plus voulu le lâcher. J’attends la suite avec impatience. Les personnages sont très attachants, l’univers est très bien ficelé, le style d’écriture très fluide… Tout pour adorer ce livre ! Si vous aimez la Dystopie vous allez adorer ce livre, sinon je ne peux que vous conseillez de découvrir ce roman pour découvrir cette merveille !
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Un premier tome extraordinaire, avec un univers zombiesque abordé de façon originale, à laquelle j'ai vraiment adhéré !
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Passionnant du début à la fin !







Le résumé et la couverture m'avaient donné envie de découvrir cette dystopie, et je ne suis pas déçue ! Au contraire !







L'auteur nous plonge dans un monde original et assez terrifiant. Un virus a décimé la planète, relevant les morts. Si les enfants parviennent à garder un certain contrôle, les adultes non. Mais attention, les reboots ne sont pas des zombies, mais plutôt une évolution de l'espèce humaine. La SHER s'est d'ailleurs vite aperçue de leur formidable potentiel, et utilise ces enfants, devenus des machines de guerre à leur service.





Addictive dès le début, la plume de l'auteur est fluide et très agréable à lire. Les images défilent devant nous comme dans un film, on est vraiment embarqué avec facilité, et on s'attache de suite aux personnages, surtout à Wren, qui nous raconte son histoire.





J'ai adoré Wren ! Ah mais vraiment, ses réactions, sa façon de voir les choses, mais plus que tout je crois que c'est comment les autres la perçoivent, et comment elle analyse ce qu'elle provoque chez eux. Ce petit bout de femme, d'une dureté et d'une violence implacable, que rien ne peut détourner de sa mission, que rien ne peut attendrir, va pourtant être bouleversée par un petit nouveau.



Callum n'est resté mort que pendant 22 minutes, ce qui lui laisse très peu de chance de survie après sa formation. En effet, plus le temps de mort est important, et plus les reboots sont performants et dénués de tout sentiment. Et inversement, plus le temps de mort est court, et plus les reboots gardent leur humanité.







Callum, par sa fraicheur, son humour et ses faiblesses bien trop humaines, va toucher Wren d'une façon qu'elle n'aurait jamais cru possible. Cette dernière va alors mettre tout en oeuvre pour préserver cette chose pure et fragile à la fois, allant jusqu'à transgresser toutes les règles qu'elle s'était fixée. Elle sera prête à tout pour le sauver.



Comment ces deux êtres vont-ils survivre dans un monde où les hommes ont peur des reboots, les détestent et les méprisent avec une telle intensité ?







J'ai adoré cette histoire, voir évoluer Wren, qui passe d'une tueuse redoutable à une jeune femme amoureuse était particulièrement intéressant. Elle reste cette tueuse qu'on a connu au début, mais elle devient encore plus dangereuse, portée par des sentiments.



L'histoire d'amour naissante entre elle et Callum est vraiment toute mignonne, et jamais leur relation s'impose sur le récit, au contraire, elle le sert habilement.







En bref, une dystopie à découvrir, pour ses reboots et son originalité. Tension, intolérance, danger et amour sont au rendez-vous dans ce premier tome, avec un dénouement promettant une suite captivante et riche en découvertes ! Vivement !
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Amy Tintera nous propose une dystopie originale et différente de ce que les lecteurs connaissent.

On va faire la connaissance de Wren Connolly, jeune fille morte il y a cinq ans et 178 minutes plus tard, Wren est devenue une Reboot. Une espèce de robot, soldat.

Elle est importante dans la SHER, Société Humaine d'Evolution et de Repopulation, c'est une formatrice et elle va voir débarquer un nouveau Reboot, mais pas n'importe qui, il s'agit de Callum 22 minutes un jeune homme qui ne la laisse pas indifférente.



C'est une aventure dont le lecteur n'en perd pas une miette, c'est un roman impossible à lâcher et surtout très intéressant ou de nombreuses actions et émotions se mêlent.



Amy Tintera a réussi à créer un univers différent, le style de l'auteur est rythmé et de nombreux rebondissements sont à la clé.

Bonne nouvelle il s'agit d'une duologie et Reset est déjà sortie.

Ce à quoi je m'attendais avec Reboot ? Des zombies et un monde post-apocalyptique. Ce que Reboot s'est avéré être ? Une dystopie sans zombies à l'atmosphère étrangement semblable à Divergent de Veronica Roth. J'étais donc, une fois de plus, loin du compte !



Dans le monde qui nous être présenté dans Reboot, un virus particulièrement virulent a décimé une bonne partie de la population et a crée un vrai climat d'insécurité et de paranoïa parmi les survivants. Particulièrement car, chez les jeunes sujets, si le virus ne tue pas il donne la capacité de revenir à une certaine forme de vie après la mort. Ces jeunes gens reviennent améliorés : plus forts, plus résistants, avec une capacité régénérative impressionnante. Au plus long leur temps de réveil est, au plus leurs capacités sont décuplées. Cependant il y a un effet négatif à ces avantages et c'est bien ce qui met la population dans une telle fébrilité : les Reboots perdent tout contact avec leurs émotions. Au plus leur temps de réveil fut important, au moins leurs émotions semblent développées. Ils sont donc craints des humains lambda et maintenus dans des instituts gouvernementaux qui les utilisent en tant que super armée. Il ne faut cependant pas confondre les Reboots avec des zombies. Il y a de nombreuses subtilités qui les différencient, et notamment le fait que les Reboots gardent toujours leurs fonctions cérébrales et continuent à évoluer et vieillir. Ainsi si le résumé peut laisser penser à un énième livre sur les zombies, ce n'est pas le cas et les "créatures" en sont grosso modo plutôt différentes à l'origine.



Notre héroïne, Wren, est donc un de ces fameux supers Reboots et est revenue à la vie 178 minutes après sa mort; on comprend cependant assez rapidement dans le roman que ce chiffre est particulièrement élevé et semble même être un événement unique. Cette dernière est d'ailleurs plutôt intéressante à suivre puisqu'elle nous permet d'être complètement immergé dans le monde Reboot et ses subtilités. J'avais un peu peur de ce que cela donnerait de suivre une Reboot au nombre si élevé, puisqu'on nous préviens dès le résumé que les émotions sont plus qu’éparses chez les Reboots de haut niveau, mais on se rend assez rapidement compte que les émotions sont toujours bel et bien présentes quel que soit le nombre. Wren ne sait simplement pas les interpréter et ne les prend même pas réellement en compte. Elle garde malgré tout un côté assez froid qui crée une certaine distance avec le lecteur. De ce fait le protagoniste principal masculin, Callum, est beaucoup plus agréable et facile à apprécier de par son nombre peu élevé. Le jeune homme s'avère être un Reboot plutôt faible, puisqu'il s'est réveillé après seulement 22 minutes, ce qui le rend bien plus humain et "vivant". Sa curiosité, son humour, ses joies, et ses tiraillement, n'apportent donc que du positif à son personnage qui contrebalance merveilleusement Wren. Si cette dernière garde d'ailleurs un côté tranchant sans cesse sur le fil du rasoir, elle évolue énormément au contact de son élève et apprend peu à peu à reprendre contact avec son propre côté humain.



La dystopie reste quant à elle assez basique. Nous faisons ici face à une société répressive à la dérive, à des rebelles et une résistance vivant en marge de la société que nos personnages ont toujours connue. L'originalité repose donc quasi exclusivement sur les Reboots qui sont le vrai point innovant et intéressant du roman. Malgré ce que l'on sait, il est vite mit en évidence que beaucoup de zones d'ombres entourent ce que le gouvernement fait d'eux et leur existence même.



Reboot est donc un bon premier tome qui comme souvent dans les dystopies sert à mettre en place les personnages et le décor. Comme je l'ai souligné en début de chronique l'atmosphère n'est d'ailleurs pas sans rappeler le premier tome de la série Divergent, à la différence près que nous suivons l'entrainement du point de vue de l'instructeur puisque la narratrice s'avère ici être l'éducateur et non l'élève. C'est personnellement une ambiance qui me plait beaucoup, tout en exaltation et défis, cependant si vous aviez eu du mal avec Divergent, vous risquez d'avoir le même sentiment avec Reboot.



Pour conclure je dirais que si Reboot ne révolutionne définitivement pas la dystopie, cela reste un roman où les codes inhérents au genre sont bien exploités et avec assez de zones d'ombres et de questions pour que l'on est envie de suivre la trilogie complète avec intérêt.
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Une lecture plutôt plaisante je dois l’admettre. L’histoire semblait curieuse, j’avais peur de me retrouver avec des histoires de mort-vivants. Alors qu’ici, on est dans un Texas d’après-guerre. A la suite d’un virus, les enfants ayant contractés la maladie et qui meurt ressuscitent pour devenir des reboot et ils sont ensuite renommés via un code barre en fonction du nombre de minutes qu’il leur a fallu avant de revenir à la vie. Plus la mort est longue, moins les reboot n’ont d’humanité.



C’est dans ces circonstances que nous faisons la connaissance de Wren-178, la reboot qui a mis le plus de temps avant de revenir à la vie. C’est un personnage qui a la particularité d’être dénuée d’émotion ce qui est plutôt rare pour un héros. Dès le début, j’ai senti que ma lecture se faisait avec une bonne fluidité, les pages se tournent et l’histoire commence rapidement et j’ai tout de suite accrochée, malgré la froideur du personnage principal Wren-178.



La première rencontre avec Callum-22 à montrer qu’on ne s’ennuierait pas avec lui. Une image se dessine directement, mignon, drôle et avec un sourire ravageur. Il représente tout ce que Wren-178 n’a pas : l’humanité et les émotions. C’est ce caractère qui va l’amener à devoir former le nouveau reboot qu’est Callum-22. On voit sans difficulté l’évolution du personnage de Wren-178, elle devient peu à peu plus humaine et devient progressivement Wren à part entière. C’est intéressant de voir sa remise en question et surtout son évolution, car elle est assaillie par des sentiments qui la dépassent et qu’elle ne maîtrise plus. C’est principalement grâce à Callum qui est au centre de toutes ces émotions. Leurs attitudes quand ils sont seuls est vraiment touchante, maladroite et très souvent drôle, ce qui rend leur histoire encore plus mignonne, ils sont vraiment adorables ensembles.



A côté de ça, l’histoire de fond est une dystopie plutôt classique un monde post-guerre, un gouvernement qui dirige à la manière d’une dictature, des rebelles qui cherchent à renverser le pouvoir, rien d’extraordinaire là dedans. Je regrette seulement le peu de personnage secondaire, qui aurait pu apporter un attrait supplémentaire à l’histoire. J’ai trouvé le personnage de Ever plutôt attachante, elle est drôle, elle respire la vie (malgré qu’elle soit « morte ») et surtout, elle réveille pas mal d’émotion à un moment donné.



Je suis plutôt contente de ma lecture malgré tout, on ne va pas se mentir ce n’est pas un coup de cœur, l’histoire est plutôt banale, sans trop d’originalité. Pourtant à chaque page tournée, on a envie d’en savoir davantage et d’avancer avec eux. La narration est très addictive et c’est vraiment agréable de les suivre. Je lirais sans problème la suite de leur aventure, j’aurais plaisir à les retrouver.
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178 a tout juste 12 ans lorsqu’elle perd la vie, mais sa vie va totalement basculer lorsqu’elle va Rebooter. La voilà maintenant autre chose pas tout à fait morte et pas tout à fait humaine ; et 5 ans plus tard elle va devoir choisir une voie…



Quel bonheur ce livre ! Je me suis vraiment immergée dans l’univers de l’auteur avec une facilité déconcertante. En quelques pages l’auteur nous plonge dans son histoire et croyez-moi on a bien du mal à poser le livre pour faire autre chose !





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«Reboot» est le premier volume d'un diptyque. Le scénario est classique, sans grandes surprises, et pourtant, j'ai bien aimé cette lecture. Le monde que nous présente Amy Tintera semble coupé en deux : les Reboot d'un côté et les humains de l'autre, mais on découvrira que cela est quand même un peu plus compliqué. Les reboot sont contrôlés et utilisés comme soldats. Ils n'ont pas d'autres choix que d'obéir, sous peine de mort. Wren 178 sera perturbée par l'arrivée de Callum 22, qui va bouleverser son équilibre.

[...]

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