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Critiques de André Cognard (13)
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Vivre sans ennemi

Pour qui veut apprendre et comprendre les principes fondamentaux de l'art martial de paix qu'est l'Aikido, les ouvrages de Maître Cognard paraissent indispensables. A mi-chemin entre l'essai philosophique, le récit d'une pratique et une réflexion psychologique sur le monde, cet ouvrage petit par sa taille mais profond et dense par son contenu aborde un éclairage nouveau. Parfois difficile à appréhender du premier coup, il exige, comme la pratique en elle-même d'ailleurs, d'y revenir encore et encore, pour se construire et envisager une nouvelle relation au monde, en dehors du conflit et dans la compassion.
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La disciple et les Sabres Invincibles

Etrange livre que celui-ci. Des étiquettes ? Arts martiaux, Aïkido, Zazen, Karma, Esotérisme, Quête, Bouddhisme, Shintoïsme, Spiritualité, Roman ? Réducteur, quel besoin de normer, comme la nécessité d’un talisman pour éloigner l’inconnu. Tentons ceci : porteur de, ou même, porte ouverte au mystère. Mystère dans le sens de réalité insondable. Et là je me raccroche à l’avertissement « La réalité se trouve dans ce partage entre la scène de nos représentations et celle des autres. Croire qu’il existe une seule réalité, c’est se perdre dans son imaginaire. » (p.11)





Livre qui a trouvé son chemin jusqu’à moi, plutôt que l’inverse. Ceci me conduit en des temps pré-babelioniens et ma lecture de La parfaite Lumière d’Eiji Oshikawa récit des exploits du samouraï Miyamoto Musashi dont le résumé de l’éditeur commence ainsi : « Soudain, il vit la vérité : les techniques de l'homme d'épée n'étaient pas son but ; il cherchait une Voie du sabre qui embrassât toute chose. … » Mais à l’époque j’étais resté sur ma fin. Trop violent, trop « picaresque », trop … Bref, envie de prolonger en plus moderne, c’est donc par le biais des sabres invincibles que j’ai été attiré à le noter en pense bête, à le chercher en vain en bibliothèque, à finir par l’acheter.





Dès les premières pages j’ai eu l’impression forte, sorte d’intuition, que ce roman exigeait de me départir de mon style de lecture habituel, rationnel et réflexif pour me laisser porter par le récit d’Alan Vilfort relatant sa relation avec Omori Sensei, son maître en aïkido. Par quelques signes infimes, j’avais décelé une part de merveilleux. Merveilleux au sens littéraire comme dans ces récits du moyen-âge aux exploits inimaginables. Mais alors que pour Don Quichotte -et tant d’autres récits de jeunesse où j’étais devenu proche compagnon de Toutankhamon d’Hans et Gretel, de Robinson des Roches ou de Bader vainqueur du ciel- , j’étais carrément rentré dans le récit, cette proximité me semblait déplacée vu mon ignorance des univers (cf. étiquettes) déjà cités. J’évoluai donc entre ces deux extrêmes, attentif et me laissant porter, m’imbibant comme un buvard.





Heureux étais-je de mon inspiration pour ce détour préalable par La papeterie Tsubaki qui m’avait rapproché du Japon et fait ressentir à travers l’art de la calligraphie toute l’importance de l’apprentissage du geste ancestral. C’est d’ailleurs un très beau passage que cette rencontre d’Alan Vilfort et son amitié avec Yamanaka Sensei maître calligraphe suivant la Voie du pinceau finalement si proche de celle du sabre. Qu’importe lorsque la perfection du geste est telle que simultanément l’esprit est dans le geste et le geste guide l’esprit au point qu’à cet instant corps et esprit ne font qu’un.





Mystère aussi que ces trois étoiles à la moitié du chemin. Ce livre ayant trouvé moyen d’arriver jusqu’à moi, et l’ayant ainsi absorbé, finira bien par une longue décantation à trouver son chemin en moi. Peut-être plus jeune est-on plus perméable et donc le lire vers 12-14 ans ? Ou peut-être la maturité permet-elle de toucher du doigt cette sagesse ? Quand déjà l’on ressent le souffle d’une immense liberté : « Quand on est libre, on ne souffre pas et on ne recherche rien. » p.156 Qui sait ?

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Lhassa, Osaka, Essendilène

Tout d'abord je tiens à remercier les éditions Centon et M. Dupuis pour l'envoi de ce livre qui est vraiment magnifique.



André Cognard, nous transporte à nouveau dans une aventure incroyable qui va nous donner à réfléchir sur nos actes et notre condition.



Marie-Ko, fille de mafieux, cherche à retrouver son fils, Hirobumi qui lui a été enlevé. Elle va devoir réaliser sa quête intérieure avant qu'on ne lui rende.

Mais le combat sera long et périlleux car le changement n'est jamais facile.

Elle va suivre son instinct et ses rêves, rejoindre son père et trouver les réponses dont elle aura besoin pour continuer d'avancer.

La route sera semée d'embûches avant d'arriver à Essendilène mais sa victoire n'en sera que plus belle.



Je dois dire que j'aime beaucoup cet auteur que j'ai connu récemment. Sa façon d'écrire est simple mais elle vous prend aux tripes. Vous avez envie d'apprendre l'art de la méditation tout au long du livre tellement c'est captivant et reposant.

Il nous donne toujours à réfléchir et à voir le côté positif de chaque situation en prenant soin de s'éloigner au maximum des conflits qui nuisent à une vie meilleure.

On en ressort reposé et grandit intérieurement.

Marie-Ko qui va suivre sa quête de soi nous emmène dans une certaine réflexion sur nous même. Aidée par le Maître et Alain, elle va apprendre à se retrouver elle et l'histoire de sa famille afin de pouvoir avancer. Elle va devoir trouver la sagesse en elle qui l'aidera à atteindre son but.

En parallèle on en apprend plus sur sa famille, son père qu'elle recherche ardemment, son frère présumé mort et sa mère une Ninja incontestable.

Le lien qui les unit via la méditation est incroyable et on aimerait pouvoir communiquer de la même façon avec les être qui nous sont chers.

Une famille qui a besoin de suivre son chemin afin de mieux pouvoir se retrouver et aider son prochain.



J'ai trouvé cette histoire magnifique et poignante. Je ne saurais que trop la recommander. La clé du bonheur ne se trouve pas en faisant la guerre mais en aimant les autres et en leur donnant toute l'aide que nous pouvons. Savoir mettre son ego de côté afin de pouvoir s'élever.
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La disciple et les Sabres Invincibles

Tout d'abord, je tiens à remercier les éditions Centon et notamment Arnaud Dupuis, qui m'a fait parvenir ce magnifique livre. Ces éditions éditent principalement des livres ayant attrait à la philosophie, poésie, beaux arts, sciences humaines, etc... et nous permettent par l'intermédiaire de Babelio de nous faire découvrir de nouveaux romans et auteurs.



La disciple et les sabres invincibles d'André Cognard, nous transporte dans une aventure intérieure où le corps et l'esprit ne font plus qu'un et où les préceptes bouddhistes sont mis en avant.



Nous avons d'abord l'histoire d'Alan Vilfort, ancien disciple d'Omori Sensei, qui va devoir se libérer lui-même et trouver les réponses à ses questions avant de pouvoir à son tour devenir un maître et faire profiter de son enseignement à ses disciples. Il va prendre en charge une jeune fille handicapée, Akiko, afin de lui faire atteindre sa plénitude.

Et nous avons l'histoire d'Akiko, qui grâce à l'aide d'Alan devient une disciple incroyable. On suit son évolution autant sur le plan intellectuel que sur la maîtrise des arts martiaux et notamment l'aïkido. Elle sera aidée durant toutes ces épreuves par Gilles Sauvage, mis à l'épreuve par Alan, et qui va l'aider à se libérer de sa souffrance.



André Cognard, qui est maître d'aikido, nous transmet sa passion pour cet art et met en avant la relation qui unit le maître et ses disciples par l'utilisation du sabre. Un lien qui se poursuit au-delà de la mort.

Ce livre nous permet de nous remettre en question et nous faire voir les choses sous un angle différent. Il nous apporte une réflexion intérieure qui vise à nous rendre meilleur, d'étudier notre vie et savoir ce que l'on souhaite en faire.

Ce livre fait aussi état de beaucoup de sentiments et ne peut que nous toucher notamment quand il est question de souffrance et de tristesse.

Un petit lexique est disponible à la fin du livre qui nous permets de comprendre certains mots japonais afin de ne pas se perdre dans l'histoire.



Pour conclure, j'ai beaucoup apprécié ce livre et je le recommande vivement.

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Le gouvernement des divas

J'ai reçu ce roman dans le cadre du Masse Critique, organisé par Babelio, sans cette opération, il y a très peu de chances que mon choix se soit porté sur cet ouvrage.



Dans un premier temps, l'objet livresque en lui-même n'a rien de particulier, majoritairement blanc avec une seule illustration en couverture, une diva, il n'y a rien qui attire vraiment l’œil.



Je ne connaissais ni l'auteur, ni la maison d'édition, j'ai donc eu l'occasion de faire leur connaissance cette semaine. Centon éditions, éditent des ouvrages ayant pour sujet les sciences humaines, l'art ou encore la culture japonaise, ce qui explique que le vocabulaire utilisé dans le roman est un peu plus soutenu que ce que l'on rencontre usuellement.



Le style d'André Cognard est un peu ampoulé et parfois assez lourd, ce qui ne rend pas la lecture facile, mais il est en parfaite adéquation avec le sujet traité, on ne peut pas parler d'opéra avec un langage profane. L'histoire en elle-même est parfois un peu obscure, Edwina, chanteuse lyrique, refuse de chanter pour le public habituel des opéras,elle souhaite chanter uniquement pour Dieu et pour les défavorisés, elle disparait subitement, laissant Mme Solti, sa plus grande amie dans la détresse. Elle la cherchera partout et se rapprochera de Yukiko, la disciple d' Edwina, ainsi que d'Irina nouvelle soliste qui émerge sur la scène lyrique.



Les recherches ne donnent rien dans un premier temps, mais la révolution des mentalités est en marche, l'opéra doit servir à rapprocher les peuples, à prôner la paix.



Même si on voit où l'auteur veut en venir, le cheminement n'est parfois pas toujours clair. La réminiscence dans l'Allemagne nazie m'a un peu perdue, même si c'est le passage que j'ai préféré. Tout dans le roman s'explique et ai justifié, ce qui n'apparaissait pas comme une évidence au début.



La fin est bâclée à mes yeux, trop rapide, pas développée autant qu'elle l'aurait méritée.



Bref, on peut dire dans un sens que le roman est cohérent et correspond à son cahier des charges de par le thème abordé et par la volonté éditoriale, cependant je ne pense pas qu'il touchera un public très large comme le voudrait la morale de l'histoire.



Je regrette les petites boulettes éditoriales, surtout lorsqu'on mentionne le nom de la personne ayant effectuée la "relecture" pour exemple le "Elle l'a protégeait toujours,..."p27.



Mon bilan de lecture est assez mitigé, je n'ai pas détesté ce roman mais je ne suis pas non plus entièrement convaincue. Si le sujet vous intéresse n'hésitez pas à vous lancer mais n'attendez pas le roman du siècle.
Lien : http://taste.for.troubles.ov..
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Le gouvernement des divas

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Le gouvernement des divas

Merci à BABELIO pour m'avoir permis de lire cet ouvrage dans le cadre d'une Masse Critique. Sans eux, j'aurai raté un merveilleux moment et une belle réflexion sur le déficit d'amour qui caractérise notre société !



Madame est la plus grande cantatrice de son temps. Elle traverse la vie et la gloire qui découle de son travail acharné entourée par l’amitié que lui procurent son élève Yukiko et son amie Madame Francesca Solti. Soudainement, Madame verse dans le mystique, au risque de détruire sa carrière et son mariage … Son élève et son amie la sortiront-elles des ténèbres qui la guettent ? Et si Madame avait raison ?



Ce livre

oscille entre le « Cogito sum » de Descartes (connais-toi toi même) et les préceptes chrétiens de paix et d’unité, suivant en cela l’appel aux consciences de Pierre Le Coz dans son essai Le gouvernement des émotions et l’art de déjouer les manipulations (Albin Michel, 2014)

dénonce habilement le machisme ambiant qualifiant les femmes d’hystériques dès qu’elles élèvent la voix/choisissent une autre voie que celle admise par la norme



Si le but de l’auteur était de redonner à la lyrique ce qu’il estime être sa vraie place



exalter la beauté et l’amour du monde, lequel est avant tout un nous incarnant un sentiment d’appartenance à une communauté d’idées

créer des sentiments nobles porteurs de paix et de félicité permettant à chacun de s’élever

stopper les jalousies, les envies, les désirs d’obtention (travail, carrière, a(r)gent, ruse(s), intrigue(s), etc…)



seules voies permettant à l’humain de disposer de lui-même en toute liberté, alors le but est atteint …

Un livre à méditer par les « divas » qui nous gouvernent …
Lien : https://mesmadeleines.wordpr..
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Le gouvernement des divas

Ravie d'avoir eu la chance d'être sélectionnée lors de ce Masse Critique, en cette rentrée 2015, je remercie d'ores et déjà Babelio pour ces superbes initiatives et "Centon Editions" de jouer le jeu !



J'ai découvert ces Divas avec plaisir et me suis délectée de leur univers jusqu'à la page 172. Elles nous captent, nous attrapent, nous portent et nous transportent et soudain... On perd pied dans une autre histoire, parallèle scabreux qui tente de nous conduire vers une pseudo incarnation (peu crédible en terme de chronologie trop rapprochée) afin de faire le lien "cause à effet". Elisabeth Haïch m'avait littéralement subjuguée avec son "Initiation" là où André Cognard a malheureusement échoué. Quel dommage ! Ça démarrait tellement bien. Son style est agréable à lire. L'idée de départ était prometteuse. J'étais séduite et conquise. Je me demandais où cette aventure allait nous conduire. L'excitation suscitée par cette intrigante "Madame" me tenait en haleine. Tout y était. Et pourtant...



Je n'en écrirai pas davantage afin d'éviter de dévoiler quel qu’autre indice et vous laisser plaisir à lire et à découvrir...



Enfin, j'aurais préféré une discographie à la postface (signée de Mme Lopez-Jacob qui n'est même pas présentée - j'ignorais sa qualité - et suis passée à côté du bien fondé des ultimes pages). C'eut été plus en phase avec nos Divas. L'hommage aurait été d'autant plus agréable pour prolonger le plaisir de leur compagnie !
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Le corps conscient : Renaitre par le geste

Certains livres se parcourent avec avidité, d’autres se lisent méticuleusement, d’autres restent à portée de main pendant toute une vie.

Le « Corps Conscient » fait partie des trois catégories.



Il nous parle d’une relation au corps, de la relation à soi, de la relation aux autres.

Le corps comme condensateur des énergies naturelles, révélateur de nos histoires, fixateur de nos émotions.

Le corps acteur et témoin de notre existence, réceptacle des mémoires transgénérationnelles et karmiques.



http://centon.net/livres-dailleurs/corps-conscient/
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La disciple et les Sabres Invincibles

André Cognard, maître d’Aïkido nous offre un roman initiatique superbe et juste.

Même s'il ne s'agissait pas de mon premier choix de livre, je suis très heureuse d'être tombé sur celui-ci avec lequel j'ai passé un très bon moment de lecture.



Ce livre nous parle des relations entre maîtres et élèves à travers les arts martiaux, des relations au corps et des relations entre les âmes anciennes et notre âme actuelle.



A la vue du titre, on pourrait penser à une histoire fantastique se passant dans un Japon féodal mais pourtant cette histoire se passe actuellement. On y suit essentiellement le cheminement spirituel de la jeune Akiko, guérie d'une paralysie grâce à Alan Savage. Tout est baigné de spiritualité shintoïste et bouddhiste.



L'écriture est claire et limpide mais avec pas mal de nom propre ou commun japonais. Heureusement l'auteur a pensé aux pauvres ignorants que nous sommes et a mis un petit lexique à la fin du livre.



Je ne peux que vous conseiller ce livre. Alors bonne lecture à tous et à toutes.
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La disciple et les Sabres Invincibles

André Cognard, maître d'aikido, propose pour la première fois dans ce livre une synthèse du travail sur le corps qu'il a approfondi à travers l'aikido et l'aikitaiso, selon l'enseignement transmis par Kobayashi Hirokazu Shihan. A l'origine de la création de l'Académie Autonome d'Aikido, il revendique la possibilité pour chacun de trouver un espace pour exprimer sa propre pratique.

Il nous donne les outils qui permettent une lecture élargie, des techniques qu'utilisent les disciplines millénaires de la médecine chinoise, telles que le shiatsu et l'acupuncture - et il met en évidence les liens qui existent entre celles-ci, l'aikido et l'aikitaiso qu'il définit comme un engagement du corps et de l'esprit.

Très belle histoire mais triste aussi, ce livre nous fait passer par toutes une panoplie de sentiments..

Le titre m"avais laisser penser que l'histoire tiendrait plus du fantastique, mais il n'en est rien.

Cela ne m'a pas gêné le moins du monde puisque ce livre est très poignant, l'auteur nous donne ici une belle leçon de vie,

Son héroïne courageuse et attachante nous fait avancer dans les pages sans se rendre compte que la fin du livre approche.

Un grand merci à Babélio de partager, avec nous lecteurs les masses critiques! ;-)
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La disciple et les Sabres Invincibles

Le titre du roman pourrait laisser croire qu’il s’agit d’une aventure conduisant une disciple à affronter quelques créatures extraordinaires, avec des sabres magiques, du temps du Japon féodal….



Mais pas du tout !



Les épreuves que la jeune Akiko devra traverser sont d’une toute autre nature, aidée et guidée en cela par son maitre d’arts martiaux Alan Vilfort, qui a préalablement dû se libérer lui-même avant de pouvoir aider sa disciple à son tour.



Il s’agit avant tout d’une aventure intérieure, comportant de nombreuses similitudes avec les enseignements bouddhistes, comme la nécessité de purifier son karma, ne plus répéter les erreurs passées et se libérer afin de trouver sa voie.



Nous retrouvons également dans la pratique du sabre ce lien si particulier qui unit le maitre et ses disciples (le maitre et ses étudiants dans les enseignements du bouddhisme). La nécessité d’une confiance totale et absolue, qui unira les deux parties jusqu’à la mort et au-delà.



A travers ce récit, nous sommes invités à une introspection, une profonde réflexion personnelle qui a pour but de voir ce qu’est notre vie et ce que l’on souhaite qu’elle soit.



Se plonger dans cette histoire c’est aussi se plonger dans la culture japonaise, avec tout ce qui la caractérise, ses règles, son raffinement, sa beauté..





Bonne lecture.



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La disciple et les Sabres Invincibles

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