Andrea B. Cecil

Le titre est intrigant et l'histoire ne l'est pas moins : Andrea Cecil nous embarque d'emblée avec une écrivaine de renom, Rose Magras, qui est sur le point de de se rendre à une séance de dédicaces pour lancer son dernier roman. Mais elle reçoit un coup de téléphone et s'envole pour l'Angleterre... De retour à Paris, sa jeune voisine, Solveig, qu'elle a surnommée la Môme-Hulotte, l'interroge sur son départ soudain. Son grand amour est mort et elle se trouve en panne d'inspiration, au grand dam de son agent littéraire, Christine. À partir de là, d'autres péripéties s'enchaînent, que je ne dévoilerai pas, car l'intrigue ménage un certain suspense. Les personnages décrits sont particulièrement bien campés et l'humour est présent.

Ce roman traite principalement de l'amour entre deux femmes, de façon tendre, humoristique et subtile, et j'ai une nouvelle fois apprécié la plume de l'autrice. Un beau roman à découvrir !

Très bon roman qui nous emporte dans la vie de Line, une femme médecin de campagne qui, durant quelques jours va connaître une série de déboires de toutes sortes.

Écrit au présent et à la première personne, le récit est très efficace. On entre facilement dans la peau du personnage principal dont on comprend les tourments au fil des rencontres amoureuses ou des échanges avec sa famille avec laquelle elle ne partage rien. Ni le mode de vie, ni les projets, ni les aspirations.

Sur un rythme vif, l’intrigue est bien menée, jusqu’à la fin. Avec un dénouement qui donne encore plus de relief à l’ensemble de l’ouvrage.

Belle lecture cinq étoiles!
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Hilarant et haletant !

Jo et son pingouin m'en ont fait voir de toutes les couleurs dans une histoire au ton caustique et toujours prenante. On ne sait pas ni comment ni où cette histoire va finir et la surprise est de taille.

Bravo aux 2 auteurs qui en se renvoyant la balle ont su me convaincre, m'attraper pour ne plus me lâcher. Rajouter à tout ce savoureux mélange une bonne dose d'émotion... C'est génial tout simplement !

Rageur, militant, direct et bien écrit, ce conte moderne nous fait partager les tourments de l’âme à travers l’amour de femmes qui ne sont ni jeunes, ni hétéro, mais terriblement complexes, attachantes et humaines. L’histoire questionne aussi la part d’ombre présente en chacun(e) de nous.

Petit retour sur le livre d'Andrea Cecil qui m'était prédestinée avec ce titre alléchant Le chocolat de la squatteuse. Je ne savais pas à quoi m'attendre et quel plaisir de retrouver des personnages que j'ai aimés dans la série Le Fiquay. Alessandra, personnage haut en couleurs avec son accent italien m'a à nouveau fait passer un bon moment. Son langage mi italien-mi français m'a fait sourire. Elle avait déjà un fort caractère et celui-ci s'est encore affirmé. Une jolie rencontre entre cette femme à babysitter et sa dame de compagnie. Une histoire qui fait réfléchir avec un revirement que je n'ai pas vu venir. Le dénouement m'a laissée un peu sur ma faim (néanmoins je comprends parfaitement le choix de l'autrice et les réticences d'Alessandra) mais la présence du personnage d'Éric et de ses complots (Casimir était dans la place et ça m'a fait rire 😂) permet de "digérer" cette fin. Merci Andrea pour ce roman que j'ai dégusté un peu trop vite un peu comme avec une tablette de chocolat. À déguster sans modération et je le recommande chaudement.

J’en connais deux qui ont dû bien s’amuser en écrivant « Knokke : (Roman à deux nombrils) ». Surtout quand l’on devine que tout est vrai dans ce livre (ouais ben souriez pas, les deux, c’est du joli…) et qu’il n’y a aucune part de fiction dans ce récit (pauvres Belges, si vous saviez ce qui se passe chez vous…). « Le bureau des Légendes » a désormais une concurrence féroce bien qu’inattendue.

Lecteur, si tu veux passer par toutes les émotions (sauf l’ennui) fonce te procurer ce livre ! (non, hors de question que je dise « roman », vous ne m’aurez pas, bande de mythos.)

L'avis du Bonobo-lecteur:



Pour la toute première fois dans ma carrière de blogueur, je me suis plié (e) à écrire cette chronique affublé (e) d'une guêpière de satin et de jarretelles tendance de chez princesse Tam-Tam. Vernis à ongles, rouge à lèvres et mascara de rigueur pour soutenir Andréa B. Cécil dans son combat contre le marketing genré. Car à la fin, pourquoi une fillette n'aurait pas le droit de s'amuser avec des gants de boxe à la place d'une poupée, ou d'avoir sa chambre façon soulage au lieu d'un rose bonbon conventionnel? Pourquoi un modeste blogueur ne mettrait pas une culotte sexy si tel est son bon plaisir pour écrire une chronique?



D'où vient cette dictature des genres que la société impose dès le plus jeune âge et que l'on s'impose? La définition d'un stéréotype étant un préjugés, et à ce titre donc, une opinion préconçue le plus souvent relayée par la famille, l'éducation et les médias. Et attention à celui qui s'écarte de la norme: jugement sévère en perspective.



Donc voici le recueil de nouvelles dans lequel j'ai plongé, avec il faut le dire une certaine délectation. C'est imaginatif, souvent captivant voire ironique et donc un petit régal de lecture, avec en prime les commentaires de l'auteur en direct live. Bien sûr comme dans chaque recueil de nouvelles on a ses favorites (conte décalé, car Lou le saura par exemple), mais l'ensemble est d'une belle facture, et je ne vois pas bien comment un lecteur pourrait être déçu par cet ouvrage. Tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment. Bref aucune excuse pour ne pas se jeter à l'eau. Tout de bon, rien à craindre, que du bon, alors noyez vos prunelles avec curiosité dans cet ouvrage fort réjouissant.



j'vais peut-être garder ma guêpière finalement.
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Si je m’attendais… Pardon, hein, j’ai choisi l’exemplaire Déjanté pour femme. C’est bizarre, parce qu’un homme avec une chemise rose, ça ne m’a jamais dérangée. Et puis, moi aussi je vais dans le rayon des hommes choisir ma paire de tennis, parce que moins chère et plus confortable. C’est mieux quand on marche beaucoup.

Au final, j’ai bien apprécié ce recueil de nouvelles dont toutes ne reflètent pas le titre. Certaines sont assez décalées et ça ne fait pas de mal de flanquer au tapis les idées reçues et autres vieilles croyances. Montrer les inégalités en inversant les tendances et détisser la toile d’une société encore très patriarcale. À lire qu’on soit ♂ ou ♀.

Le commentaire de Nathalie :

Croyez-vous au mauvais karma ou à l'enchaînement des mauvaises nouvelles.

Et bien Dr. Line Stanford-Contamine, médecin de campagne, lesbienne qui se cache pour ne pas nuire à sa carrière apprendra-t-elle ! Un matin après qu'elle eu remis à sa place un chauffeur de taxi un peu trop cavalier. Puis tout déboulera son père lui apprend qu'il va mourir et en profite pour sortir un énorme secret de famille, son amie lui avoue l'aimer, mais ça non plus elle ne veux pas, des graffitis haineux sont écrits sur sa demeure mettant sa carrière en grand danger et pour finir son ex-conjointe l'appelle à l'aide. Elle est victime de violences conjugales.

Line vient de mettre son bras dans l'engrenage, car pour sauver son amie, elle descendra vers le bas elle aussi. Pourquoi ne pas avoir demandé de l'aide. L'amour ne peux pas toujours tout sauver, Même le calme de l'amer (ancien phare) de son père n'y arriveras pas...



Une histoire très belle et très bien écrite qui se lit d'un trait. L'auteur touche à deux sujets encore délicats malgré le fait que l'on soit en 2019. L'homosexualité féminine et la violence conjugale. Un beau roman à la fois triste, touchant et parfois même dure.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...

C'est Andrea B Cecil qui m'a envoyé son livre, en réponse à un petit concours, début janvier. J'y avais répondu avec plaisir. Et quelle surprise de recevoir la Môme Hulotte ! Je remercie Andrea de m'avoir adressé son roman, car je n'aurais pas eu l'idée de le lire moi-même, ne lisant pas de romans lesbiens. 😉

Ici, les dialogues s'envolent, les personnages sont drôles, émouvants. L'auteur a une imagination débordante et arrive à nous faire croire à cette histoire d'amour entre Rose, écrivaine star, et une reine d'Europe... Les situations sont complètement inattendues !

Ce que j'ai particulièrement apprécié, c'est le style d'Andrea B Cecil, qui est très enlevé.

Pour conclure, j'ai vraiment passé un bon moment de lecture ! Je recommande chaudement la Môme Hulotte !!!

Un livre qui dénonce la violence faite aux femmes...la seule différence avec ce que je pouvais avoir précédemment lu, c’est qu’ici c’est d’une femme envers une femme. Le personnage principal est un médecin, Line, qui viendra au secours de son ex lorsque celle-ci se fera maltraiter par sa nouvelle compagne. En plus de ce problème à gérer, Line apprend certaines révélations de la part de son père et voit également son homosexualité être affichée (contre son gré) sur le mur de sa maison par un homophobe. Avec son écriture fluide, Andrea B Cécil nous entraine dans cette spirale de violence et de maltraitance tant physique que morale ...

Pour une belle histoire, c’est une très belle histoire... entre amour et amitié, le cœur de Macha balance et se cherche. C’est le 2e livre de cet auteur que je lis et j’en lirai certainement d’autres ! Sa plume est légère et embarque son lecteur dans le milieu (peu connu de ma part) de l’homosexualité mais tout cela avec une tendresse mêlée à une belle sensualité qu’on ne peut qu’aimer les personnages et adhérer à l’histoire.

Plaisir de retrouver le style incisif d'Andrea !

Une personne célèbre, écrivain, qui côtoie une personne mondialement célèbre, elle décède. Il faut faire face au deuil et à la tristesse, surtout quand une autre amie

Thèmes autour de l'homosexualité, les paparazzis en besoin de scoop, le mensonge et la manière de s'en sortir.

Quand on perd la confiance de quelqu'un, peut-on la regagner ou gagner facilement ?



A recommander aux amateurs d'histoire d'amour hors normes, on va dire, puisqu'ici, on parle d'amour entre personnes de même sexe. Et pourquoi une femme n'intéresserait pas une autre femme, même si...

Allez lire pour en savoir plus !