Citations de Anita Rigins (461)
Tu n'es pas ma dernière bouffée de clope, Eden. Tu es mon chaos. Celui qui abat mes cartes et fait s'effondrer mes plus hautes tours. Me fait perdre le contrôle du royaume et en détruit l'équilibre.
« Belle. Belle Murray.J’en reviens pas, putain.En chair et en os. La meilleure amie de ma petite sœur, April.La première fille qui m’a rendu fou. Elle était insupportable quand elle était ado, mais j’ai l’impression que la version adulte est encore pire. »
Et n'oublie pas: tricher, c'est mal, mais cest toujours mieux que de perdre.
Cacher la vérité ne la rendra jamais moins douloureuse.
Et parfois, les silences sont d'autant plus destructeurs.
Nous sommes tous mauvais à notre manière. Ceux qui disent être purs et innocents sont les pires. Le vice les ronge encore plus que les autres. Ce ne sont que des mensonges destinés à redorer leur image fallacieuse, qui finira tôt ou tard par se briser.
Il n’y a pas de règles en amour. Il n’y en aura jamais. Et si vous croyez le contraire, c’est qu’il ne vous est pas encore tombé dessus.
Alors préparez-vous.
On est tout les deux cabossés. Nos âmes sont à moitié détruites. Mais n'est-ce pas justement ce qui les rapproche ?
C’est ça d’avoir été brisée par la vie, me chuchote une petite voix. Tu doutes de tout et de tout le monde. Tu pousses les autres à te laisser seule, quitte à être malheureuse.
« — Comment voudrais-tu que je m’approche d’elle, alors que la seule femme qui me rend complètement fou se trouve en face de moi, mon ange ? »
Priam m’a menti, il ne nage pas avec moi à contre-courant. Il est la vague qui tente de me noyer. Il est la tempête et l’océan. Il est la vague qui s’écrase sur le rocher. Il est le tricheur. Mais à cet instant, il ne triche plus.
-Je peux au moins savoir comment vous vous appelez ? S'exclame mon compagnon de voyage tandis que je sors du véhicule.
Une envie de l'envoyer chier me vient, mais une partie de moi décide de terminer la partie et de gagner le petit jeu qu'il a commencé.
La vie m'a appris qu'il fallait toujours porter le dernier coup pour partir la tête haute. Alors je me penche vers lui et déclare avec un clin d'oeil :
- Clover
Est-ce que tu veux bien sortir de mes pensées et revenir dans ma réalité, Iris ?
Si on vient de me convier à une orgie, merci mais non merci. Les sexes qui traînent un peu partout ne rentrent pas dans le mien. Je n'ai pas envie de me transformer en MST sur pattes.
Aujourd'hui, nous nous disons au revoir. Mais ce n'est pas un adieu.
Au fond de moi... tout au fond, je sais que je le reverrai un jour.
Et d'ici là, peu importe le temps qui s'coulera, je ne l'oublierai pas.
« Je croise le regard de Belle, souriant toujours.Nous étions déjà ennemis adolescents.Cette fois-ci, un nouveau combat va s’engager entre nous.Que le jeu commence. Je serai sans pitié. »
« J’ignore pourquoi j’ai pensé à elle. Je suppose que c’est mon corps qui vient de me trahir.Menteur, se moque ma conscience. Elle t’attire. Vrai. C’est vrai.
Conclusion de l’histoire…
— Je suis dans la merde. »
« Je n’avais pas non plus prévu l’attraction qui naîtrait entre nous. Parce que c’en est une. Une putain d’attraction.Je suis faible. Mon corps l’est face à lui. Je le reconnais, je l’avoue. Mais je ne l’assume nullement. Parce que ce serait une erreur – une énorme erreur – de craquer pour un homme tel que Priam. Détestable. L’homme qui veut me faire tomber dans notre affaire. »
« — Quand on était jeunes, tu disais que j’allais sauver le monde.
— Tu sauverais le monde pour moi, nuance.
Je la regarde s’éloigner, souriant doucement. Elle dit vrai. April possède l’âme la plus pure et la plus précieuse que je connaisse.Je sauverais sans doute le monde pour April. Mais je le brûlerais pour Belle. C’est dangereux, c’est contre mes principes professionnels. Et c’est contre ma conscience qui ne la supporte toujours pas. »
« Alors ça s’arrête là. Je vais continuer à prendre des rendez-vous Tinder et Priam m’oubliera de son côté.
April secoue la tête tout en fronçant son nez.
— Si mon frère a senti votre connexion, et je pense que c’est le cas… Il ne va pas te laisser t’éloigner sans se battre. »
« — Je vois. Donc on continue ce pseudo-jeu dans lequel on fait semblant de se détester, c’est ça ?
— Je ne joue plus, Priam.Et je ne te déteste pas. »