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Citations de Ann Brashares (613)


"Le bonheur, ce n'était peut-être pas une vie parfaite dans les moindres détails, amour, gloire, beauté et tout le tralala. Ce n'était peut-être qu'une succession de petits plaisirs. Regarder l'élection de miss Univers bien au chaud sous la couette. Manger un brownie dégoulinant de glace à la vanille. Atteindre le niveau sept de Dragon Master, en sachant qu'il en reste vingt à découvrir...Le bonheur ne tenait peut-être qu'à l'équilibre de petites joies (comme arriver au passage piétons quand le bonhomme est u vert) et des petits désagréments de la vie (comme voir une étiquette qui gratte dans le cou).
Et si ça se trouve, chacun recevait la même dose de bonheur chaque jour. Peut-être que ça ne changeait rien qu'on soit une superstar ou un pauvre ringard. Ou même qu'on ait une amie en train de mourir. La vie continuait. Et c'était tout ce qu'on pouvait espérer."
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"Le problème, ce n'est pas le problème. Le problème, c'est votre façon de réagir face à ce problème. Compris ?

(Molly Brevin, entraîneur)"
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-Tu aimes tes souvenirs, mais c’est ton amie que tu dois aimer. Tu te souviens de ce qui est perdu, et tu oublies ce que tu as sous les yeux.
-Si j’oublie, qui se souviendra ? S’enquit-il avec une irrépressible mélancolie. Cela n’existera plus.
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Le risque d'être frappé par la foudre augmente si, debout sous un arbre, le poing levé vers le ciel, vous criez: "J'emmerde l'orage!"
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Nous avons construit des fusées et des cathédrales. Nous avons composé des poèmes et des symphonies. Nous avons trouvé le moyen de voyager dans le temps. Et pourtant. Nous avons saccagé la planète pour satisfaire nos besoins [...]
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Léna aurait aimé posséder un interrupteur pour contrôler les sentiments des autres. Ainsi, elle aurait pu l'allumer quand elle se sentait assez ouverte et généreuse et disposer à leur donner de l'amour en retour. Et l'éteindre les autres jours, quand elle avait envie de se terrer dans un coin, toute seule, et qu'elle n'avait rien à offrir à autrui.
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"- Il n'y a pas de place pour moi dans ta nouvelle vie. Tu as une nouvelle famille, de nouveaux enfants...m-mais et moi ?
Ça y est, elle était lancée à pleine vitesse, emportée par des émotions qu'elle n'avait jamais voulu s'avouer.
- Qu'est-ce que tu fais de moi et de maman ?
Sa voix se brisa. Les larmes se mirent à rouler sur ses joues. Elle se fichait de savoir si il écoutait encore, elle ne pouvait plus s'arrêter maintenant.
- Ton ancienne famille n'était pas assez bien pour toi, c'est ça ? Pourquoi tu es parti ? pourtant tu m'avais promis que... qu'on serait toujours aussi proche...
Elle s'interrompit pour essayer de reprendre sa respiration
-P-pourquoi tu disais que c'était toujours comme avant alors... alors que ce n'était pas vrai ?
Elle hoquetait. Ses mots tanguaient sur des flots de larmes. Elle ne savait même pas s'il comprenait encore ce qu'elle disait.
- Tu v-vois, même Paul rend visite à son ivrogne de père tous les moi alors que toi, tu ne viens me voir que deux ou trois fois par ans. Je n'ai rien fait de mal, pourtant, si ?
Elle se tut et resta au téléphone à pleurer, perdant la notion du temps.
Au bout d'un moment, elle finit par se calmer. Était-il toujours à l'autre bout du fil ?
En pressant le combiné contre son oreille, elle entendit un bruit étouffé. Une respiration haletante. Entrecoupée de sanglots.
- Carmen, je te demande pardon. Pardon.
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C'est ça qui est triste dans la nature humaine : on a tendance à se focaliser sur ce que l'on n'a pas plutôt que sur ce que l'on a .
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Même le cœur brisé, nous tendons vers la vie. Nous tendons vers l'espoir.
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On oublie les victoires, mais jamais les défaites.
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Un jour, quand tu auras vingt ans, on se reverra peut-être. Tu seras une superstar du foot dans une grande université, avec des millions de gars bien plus intéressants que moi qui te tourneront autour. Et tu sais quoi ? Je prierai pour que tu veuilles encore de moi.
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Tu es avec moi, Lucy, dans toutes mes pensées, tous mes projets, mes plaisirs, mes errements, mes réussites et mes chagrins. Ce que je vois, je le vois avec tes yeux aussi, et avec toi je suis plus déterminé et mieux que je ne pourrais jamais l'être sans toi.
Je sais que cette lettre ne contient pas de réelles informations , et je te prie de m'en excuser. Tu pourras toujours me frapper pour cela plus tard. Mais je m'apercois que je t'ai écrit une sorte de prière. Je prie pour que sans l'avoir reçue (la lettre que je t'ai écrite hier soir ou celle que je t'écrirai demain, et après-demain et apres-après-demain) tu saches ce qu'elle contient : que je vais bien et surtout que je suis avec toi où que je me trouve, qu'il n'est pas de force sur cette terre ni de longueur de temps capables de nous séparer. Je reviendrai. Mon amour pour toi est plus sincère que tout ce que j'ai connu au cours de ma très, très longue vie.
L'amour est très exigeant, paraît-il, mais le mien ne demande qu'une seule chose : quels que soient les évènements et le temps qu'il faudra attendre, tu me conserveras ta confiance, tu te rappelleras qui nous sommes et tu ne perdras jamais espoir.
A toi, pour toujours,
Daniel.
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Il aurait donné n'importe quoi pour ne plus l'aimer. Les vieilles ruses ne marchaient plus. D'ailleurs, elles n'avaient jamais marché. Comment cessait-on d'aimer quelqu'un. C'était l'un des casses-têtes les plus insolubles qui soient? Plus on s'entêtait, moins ça fonctionnait.
Le morceau fut suivi par un slow. Au lieu de s'en aller ce qui aurait été plus malin, il l'attira à lui. Il sentit son odeur et se colla à elle, en la haïssant, en se haïssant lui-même. Maintenant il devait en plus supporter la torture de deviner son corps sous sa robe. Il posa une main au creux de ses reins et serra, plus fort qu'il naurait du. Il avait pîtoyablement faim d'elle. Pourquoi? Qu'avait-elle de spécial dont il avait tant besoin?
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"Le chagrin, c'est comme un nouveau-né, les trois premiers mois, v'est l'enfer et, au bout de six mois, on finit par s'avouer vaincu, on réorganise sa vie en fonction de lui, on lui fait de la place."
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"[...] lorsqu'on est capable de partager la joie d'un autre, de ressentir ses émotions, ça signifie qu'on l'aime vraiment."
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Parfois, j'ai l'impression d'entendre exclusivement ce que nous ne disons pas. De penser seulement ce que je ne devrais pas penser et de me souvenir uniquement de ce que je devrais oublier.
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"L'amour est la meilleure protection contre les coups de la vie."
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"En cas de grand drame, mieux valait éviter les petits traumatismes, comme de croiser son regard dans le miroir en se brossant les dents, sachant ce qu'on savait."
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"C'était un miracle, tout ce qu'on pouvait lire dans le moindre petit geste, si l'on se donnait la peine de bien regarder, de vraiment chercher l'information. Il y avait tant d'émotions, une foule étourdissante de chose que les mots, tout au moins les mots de Lena, ne pouvaient exprimer."
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J'imagine que la mémoire est un puits profond, on ignore ce qu'il contient tant qu'on a pas remonté le seau.
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