Quel bonheur de la voir comme ça ! Elle ne cache pas sa tristesse derrière des sourires timides, elle ne regarde pas son assiette avec ennui, non, elle remplit la pièce de regards enjoués et sincères. Je ne suis pas habituée à cette Maria, je voudrais qu’elle soit toujours ainsi. Antonio, j’en suis certaine, est béat d’admiration. Il doit penser : Quel charme, cette Maria, vraiment une belle enfant (p.45).