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Critiques de Anna Kozlova (13)
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F20

Je ne suis pas spécialiste de littérature russe, mais j'ai trouvé dans F20 ce que je m'imagine de cette littérature, entre comportements excessifs, tourments psychologiques et quête de rédemption. L'héroïne, Youlia, forte de l'expérience familiale, comprend qu'elle est atteinte de schizophrénie mais décide de cacher sa maladie à son entourage, afin de pouvoir vivre tout ce que sa vie de jeune femme devrait lui réserver. Il y a chez cette jeune fille une lucidité mêlée à une pureté saisissantes, malgré la fange dans laquelle elle est obligée de baigner. Encore une fois, sans être spécialiste, il me semble qu'il y a des accents dostoïevskiens dans ce personnage pourtant très contemporain et je ne peux que recommander la lecture de ce livre, à la fois dense, bref et pourtant plein d'une force vitale inspirante.
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Comme une envie de foutre le feu



Comme le titre de ce roman le laisse supposer, l'héroïne principale de ce roman n' est pas particulièrement heureuse. Sacha Jiverjéïéva est une jeune Moscovite de 27 ans qui travaille pour une chaîne de télévision russe appelée modestement la Toute Meilleure Chaîne, TMC en abrégé, où elle collabore à un programme de téléréalité, pompeusement nommé "Loft-2".



Le roman, qui compte 224 pages plus une nouvelle brève (de 12 pages) à la fin du volume intitulée "Le sapin des Samykine", est structuré en 7 chapitres correspondant aux 7 jours de la semaine et de longueur inégale.

Le roman, qui démarre un lundi et s'achève le dimanche suivant, ne constitue pas un récit linéaire pour autant puisque le gros de l'histoire de Sacha est situé dans le passé et nous est servi par Anna Kozlova sous forme de flashbacks ou retours en arrière comme au cinéma.



Une construction somme toute logique pour une jeune artiste, née en 1981 à Moscou, qui a malgré son âge réalisé un impressionnant répertoire comme scénariste pour le film et la télé à son actif. Anna Kozlova est également l'auteure de "F20", qui a remporté en 2017 le Prix du best-seller russe et a reçu une dizaine de critiques sur Babelio.

Et dire que l'adolescente Anna a commencé son parcours en étudiant la peinture, pour sortir, à 22 ans, diplômée en journalisme à l'université de sa ville natale et collaborer entre autres à la fameuse "Literatournaïa Gazeta".

Anna Kozlova est la digne héritière d'un grand-père et d'un père écrivains.

Son mari, Sergueï Chargounov, avec qui elle a eu une fille et un fils, est aussi écrivain, mais le mariage n'a pas tenu.



J'ignore, bien entendu, s'il y a un lien entre l'échec de son propre mariage et la relation catastrophique entre les parents de Sacha Jiverjéïéva de son roman.

Les luttes continuelles entre une mère querelleuse et un père alcoolique et coureur de jupons forment une partie importante des flashbacks de son héroïne.



Une autre partie importante du récit d'Anna, en fait un "coming of age", est constituée par ses relations hasardeuses - très jeune - avec des personnes du sexe opposé, ses débats amoureux, son incapacité de jouir des rapports sexuels pendant un bon bout de temps et son amour désespéré pour des personnages qui ne sont pas libres ou disponibles.

C'est notamment le cas de sa passion, à 22 ans, pour le quinquagénaire Gricha Smirnov, rédacteur en chef d'un quotidien sérieux, mais marié et père d'une gamine.



Il est vrai que la belle Sacha, qui ressemble selon sa mère à Claudia Schiffer, a un physique qui attire, hélas, surtout les hommes volages.

Est-ce que son coup de foudre pour Mikhaïl Trétiakov trouvera une issue heureuse ou sera-t-elle avec le producteur délégué de "Loft-2" de nouveau victime d'un dragueur ?



Le récit de notre Sacha est fort détaillé, peut-être parfois un peu trop. Est-ce que nous avons réellement besoin de savoir que la belle utilise du fond de teint Lancôme et du mascara Chanel et qu'elle porte un jean Guess ?

Je crois qu'il s'agit là d'un péché mignon d'une scénariste talentueuse.

Pardonnable par certaines considérations plutôt marrantes de l'héroïne, qui lorsqu'elle apprend par exemple que l'importation de la viande de kangourou a été interdite en Russie s'exclame : "Eh ben, dis donc ! Je suis secouée par la nouvelle ; comment vivre désormais, sans viande de kangourou ?"



J'ai trouvé le roman d'Anna Kozlova intéressant et instructif pour sa description efficace de la vie de tous les jours à Moscou, anno 2020, entre oligarques, nouveaux riches et copies débiles du style américain, genre hollywoodien.



Et comme l'auteure ne compte que 40 printemps, il y a des fortes chances qu'elle réussisse encore à nous surprendre et ravir avec ses écrits pendant des années.

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Comme une envie de foutre le feu

Sacha est une jeune russe à la vie monotone. Telle une somnambule, elle traverse son quotidien avec ennui, les journées se ressemblent, passant de banalités en absurdités. Le récit est composé de scènes au présent entrecoupées de flashs du passé. On y découvre une jeune fille totalement perdue, embourbée dans une relation conflictuelle avec mère, empêtrée dans une aventure amoureuse douteuse avec un professeur. Des traumatismes de l’enfance qui rejaillissent avec violence dans sa vie d’adulte : Sacha a comme une envie de foutre le feu pour régler une bonne fois pour toute ses comptes avec la vie.



C’est un roman noir, obscure, déprimant, devrais-je dire. Le pessimisme guette à chaque coin de page, la misère sociale, la décadence, l’absence d’intérêts et d’objectifs tant personnels que professionnels… on a l’impression de descendre lentement dans les profondeurs de l’enfer humaine.



L’histoire en elle-même est fade, dans le sens où il ne se passe quasiment rien. Je n’ai d’ailleurs pas compris l’intérêt d’un tel récit : on y suit les tracas d’une presque trentenaire qui s’ennuie de sa vie et ressasse son passé. Cette protagoniste ne recèle aucune caractéristique intéressante, elle est à l’image même du récit : creuse et vide. Je l’ai trouvée ridicule par moments, négative dans sa façon de penser et de se comporter. Je vous rappelle que Anna Kozlova, l’auteure de ce livre, est russe ; de ce fait, son histoire est bâtie en fonction de ses expériences et connaissances personnelles. Je me dis que, peut-être, l’écart culturel qui sépare nos deux pays est bien trop grand pour que je puisse pleinement comprendre les tenants et aboutissants de cette histoire.



Un roman noir qui m'a laissé totalement indifférente. L'histoire est creuse, les personnages inintéressants. Passez votre chemin.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Comme une envie de foutre le feu

La nouvelle parution aux éditions Stéphane Marsan n'est autre que le roman d'Anna Kozlova, auteure de F20. 



Un récit dynamique où l'auteure dresse le portrait d'une femme en quête de sens. Sacha, jeune moscovite semble tout avoir pour être heureuse et pourtant certains éléments de son passé s'avèrent être encore bien présent. 



Entre brutalité et humour noir, c'est un roman qui sort du paysage de la littérature que j'ai l'habitude de lire. De part son style d'écriture, particulier qui ne m'a pas forcément déplu. Je précise tout de même qu'il y a certains passages très crus et beaucoup d'érotisme. 



À travers Comme une envie de foutre le feu on aborde plusieurs thèmes, notamment celui de l'amour d'un mariage. Jusqu'à quel prix doit on le sauver ? Mais aussi le sexe, les traumatismes de l'enfance et la recherche du bonheur. 



Avec ce roman c'est une bonne façon de découvrir la littérature russe contemporaine.
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F20

Un récit qui nous permettre de vivre dans la tête d’une maladie mentale pleine de personnages et des dialogues hors du commun. La plume de l’auteur nous plonge dans les pensées de deux sœurs qui cherchent ou essaient d’être plus fortes ou plus intelligentes que ses symptômes. L’incompréhension et la confidence confrontées. L’exclusion sociale et même familiale. Kozlova nous mêle dans la vie des personnes en situation de dépendance, âgées, handicapées. Tous ceux qui ont besoin d’avoir une vie comme les autres, même si c’est ne qu’un petit peu. Vivre la vie, avoir la tête froide, s’attacher et se détacher des autres, se battre et à même temps de permettre d’échouer. Se punir. Un récit très intense. Sans fin.
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F20

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F20

De quoi ça parle ?



Anioutik, la sœur de Youlia, est diagnostiquée schizophrène. La voilà gavée de médicaments et mise pour toujours au ban de la vie normale. Or Youlia se découvre bientôt les mêmes symptômes que sa sœur. Aidée par Anioutik, qui partage ses médicaments avec elle, Youlia va dissimuler sa maladie aux gens « normaux » pour pouvoir continuer à vivre comme si de rien n'était. le problème, c'est que ces gens soi-disant normaux sont au moins aussi fous qu'elle, à commencer par ses parents, leurs amants respectifs, ses petits amis… Alors Youlia, toute seule, va devoir se débrouiller tant bien que mal pour essayer d'être heureuse.



Mon avis :



J'ai hésité à lire ce livre en raison de son sujet, mais je dois dire que je ne regrette pas un instant. C'est une lecture qui ne laisse pas indifférent. Il y a des passages très drôles (Youlia décrit notamment certaines réunions familiales comme une assemblées de pantins absurdes et cocasses) qui alternent avec des passages très durs et très poignants (sa relation « amoureuse » avec Marek est un mélange de sordide et de sublime, à mon sens). La solitude de l'héroïne et en même temps sa volonté de résister au sort, même si elle avance à l'aveuglette, n'importe comment… forcent l'admiration.



Finalement, en refermant ce livre, j'ai été incapable d'oublier Youlia et je me dis que c'est une grande réussite d'Anna Kozlova d'avoir construit un personnage aussi vivant et attachant, grâce ou malgré sa maladie, sans qu'on s'apitoie jamais sur son sort.



https://lirelandoulerevedunemontmartroise.wordpress.com/2019/10/29/f20-de-anna-kozlova/
Lien : https://lirelandoulerevedune..
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F20

Bienvenue dans une famille russe quelque peu dysfonctionnelle. Un père colérique, une mère dépressive et deux enfants schizophrènes.



Anioutik, la plus jeune fille est diagnostiquée très jeune. Assez rapidement, elle comprend que sa grande soeur a les mêmes "symptômes" qu'elle. Anioutik met en garde sa grande soeur : si tu révèles tes maux, toi aussi tu auras ton étiquette F20". Alors Youlia cache sa maladie autant qu'elle le peut.



Encore un très bon roman des éditions Marsan ! Ici, la schizophrénie - sujet sérieux - est abordé avec légèreté et tout en fiction. Il est intéressant de se retrouver dans la tête d'une jeune fille atteinte de F20 (tentant de le cacher), c'est bien mené, bien écrit, bien pensé. Rien ne dénote.
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F20

Encore un coup de cœur de chez Stéphane Marsan. Stop !!

Youlia découvre qu’elle présente les mêmes symptômes que sa sœur schizophrène. Mais elle connaît le sort réservé à ces malades qui se voient refuser une existence « normale ». Or Youlia n’a pas l’intention de laisser sa part au chien. Elle veut aimer, être aimée, elle veut avoir un travail, une vie indépendante… Alors elle dissimule sa maladie et elle a d’autant moins de mal à le faire qu’elle vit dans une famille totalement déréglée, entre tentatives de meurtre, ivrognerie et comportements insensés. Finalement, la normalité n’est peut-être pas là où on l’attendrait.

Le livre présente un cocktail détonnant de passages scabreux, de passages hilarants, de passages émouvants pour dresser finalement le portrait d’une jeune fille qui doit faire face, totalement seule, à des problèmes titanesques. Je ne saurais affirmer que ce qui est dit de la schizophrénie dans F20 est fidèle à la réalité médicale et psychiatrique, mais il me semble que l’on peut aussi lire ce livre comme une métaphore de la vie, pessimiste certes car Anna Kozlova est pour le moins désabusée concernant l’amour, la famille, la société en général, mais porteuse également d’une puissance vitale qui force l’admiration.

Bref, j’en redemande !!

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F20

F20 ou de son nom le plus connu : schizophrènie. Est-ce que j’ai aimé ce roman ? Deux jours que je l’ai fini et je ne sais toujours pas. Je sais que je l’ai cherché plusieurs soirs d’affilée pour avancer dans ma lecture et que je ne le reposais qu’avec regret. Je sais que je me suis attachée à Yulia et sa sœur Anioutik. Je sais que j’ai souvent eu mal au cœur de leur situation et de leur désœuvrement. Maintenant je reproche un peu à l’auteure de ne pas m’avoir amené à un endroit bien précis. Le récit se déroule, continue, bifurque mais jamais ne nous amène d’un point À à un point B. Était-ce un but en soi ? Peut être... J’aurais aimé entrevoir un avenir plus précis pour ces deux jeunes schizophrènes, laissées à elles-mêmes, enlisées dans un quotidien triste et solitaire. Elles dérangent et c’est leur seule façon d’exister malheureusement.
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F20

Lorsque je m'apprête à découvrir un livre de chez Stéphane Marsan, j'ai la garantie de passer un bon moment.

Il suffit que le sujet m'interpelle et je suis certaine de trouver une histoire de qualité.

F20 d'Anna Kozlova ne déroge pas à la règle.



Youlia est russe.

Youlia sort de l'enfance.

Sa famille se compose :

- d'une mère dépressive, névrosée. Elle passe de l'euphorie à un état léthargique, en un clin d'oeil.

- d'une soeur avec laquelle elle vit une relation assez fusionnelle, diagnostiquée schizophrène.

- d'un père absent... qui a pris la poudre d'escampette, au premier obstacle, pour rejoindre sa maîtresse.

- d'un beau-père immature, jemenfoutiste, irresponsable... suspect...

Et j'en passe...

Arrosé tout cela de vodka et vous comprendrez bien que pour la jeune fille, il n'est pas aisé de grandir convenablement.

Surtout que très vite, elle va se rendre compte qu'elle aussi souffre d'une certaine forme de schizophrénie...

Pas question pour elle, qu'elle subisse le même traitement que sa soeur.

L'internement et la médication intensive, très peu pour elle...

Elle décide de se soigner seule.

Youlia est intelligente, lucide de la situation dans laquelle elle évolue, lorsqu'elle n'est pas en pleine crise délirante.

C'est assez flippant de la savoir comme ça, quasi livrée à elle-même...

A un âge, où évidemment, elle est en recherche d'expérimentations, où ses hormones sont d'autant plus en émois...avec la maladie...

J'ai ressenti énormément d'empathie pour elle.

J'avais tellement envie de l'aider, la mettre en garde, la cadrer...

J'ai aimé rire, délirer avec elle.

J'ai tremblé.

J'ai eu le coeur serré, la boule au ventre pour elle.

Elle a su me toucher. Elle a réussi à me faire réfléchir à certaines questions.



La force de ce récit réside dans la construction de ses personnages.

Anna Kozlova a su me captiver d'un bout à l'autre grâce à eux. A Youlia, surtout. Quelle détermination !



F20, c'est l'histoire d'une jeune ado qui tente de s'élever dans un monde aussi malade qu'elle...

Ce qu'elle veut elle, c'est vivre, tout simplement.



Merci Babelio et la maison d'éditions Stéphane Marsan, pour ce roman reçu à l'occasion d'une masse critique.
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F20

J'ai découvert les Editions Stéphane Marsan l'an passé avec L'oiseau captif", un très beau roman qui n'a pas fait beaucoup de bruit mais a enchanté ceux qui l'ont lu. Quand l'occasion s'est présentée de lire un autre roman de cette maison d'édition, je n'ai pas hésité et je m'en félicite (bien que, cette fois, je ne sois pas allée jusqu'au coup de cœur).



Avec "F20", nous sommes plongés dans la vie quotidienne d'une famille moscovite. La narratrice a été reconnue schizophrène par le corps médical après que sa sœur aînée ait reçu le même diagnostic quelques temps auparavant. Rapidement, nous constatons que cette famille est atypique et dysfonctionnelle. La mère de famille est immature et névrosée. Le père, aux abonnés absents, à laissé la place à un beau-père marginal et alcoolique. Les deux sœurs schizophrènes ne bénéficient pas d'un contexte idéal pour la prise en charge de leur maladie. Elles multiplient les expériences scabreuses, s'auto-médicamentent et tentent de grandir dans un univers alcoolisé et malsain.



La lecture aurait pu être pesante, vu le contexte, mais il n'en est rien. F 20 se lit aisément et le ton est assez léger. Youlia, la narratrice, est une jeune fille intelligente et lucide (sauf durant les crises délirantes). C'est la seule personne vraiment censée de la famille. En dépit de sa maladie, elle a les pieds sur terre. Attachante et drôle, elle pratique à merveille l'autodérision. Elle parvient à dédramatiser sa maladie bien que ce soit une vraie galère d'être diagnostiquée "F20" en Russie.



« Je n’ai pas d’avenir. Tout ce que la schizophrénie a à me proposer, je le connais déjà.

Je ne rencontrerai jamais d’homme, je n’aimerai personne, je n’aurai pas d’enfants.

Dans le meilleur des cas, j’adopterai un doberman. Puis mon doberman crèvera.

Voilà ce qui m’attend. »



Un roman intéressant, qui permet d'aller à la rencontre de la littérature russe contemporaine et de porter un regard différent sur la maladie mentale.



A noter que ce roman a obtenu le National Bestseller Prize 2017 en Russie.
Lien : http://www.sylire.com/2019/0..
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F20

C'était à la fois plus sérieux et plus drôle que ce à quoi je m'attendais.

F20 désigne la schizophrénie, une maladie qui touche l'héroïne et sa soeur, qui a déjà été diagnostiquée.

Pour éviter le diagnostique (et donc la misère sociale), Yulia, l'héroïne, se sert dans les médicaments de sa soeur. Je n'y connais pas grand chose en schizophrénie donc je ne peux pas juger de si le livre est bien renseigné, mais il est en tout cas écrit avec beaucoup de soin et d'équilibre, sans misérabilisme malgré la situation, et avec une réflexion sur la manière dont la société voit les gens souffrant d'une maladie mentale.

Le parcours de Yulia est très intéressant, et très touchant. On sent sa profonde solitude, son inquiétude, et on apprécie son regard très particulier sur la vie qui change de ce qu'on peut avoir l'habitude de lire.

Une très bonne plume à découvrir pour cette rentrée littéraire
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