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Vidéos de Asma Mhalla (6)
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videos08 mars 2024
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Dans le cadre des conférences ECHO organisées par Cap Sciences, Asma Mhalla vous présente son ouvrage "Technopolitique : comment la technologie fait de nous des soldats" aux éditions du Seuil. Entretien avec Raphaël Dupin.

Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/3018175/asma-mhalla-technopolitique-comment-la-technologie-fait-de-nous-des-soldats

Note de musique : © mollat
Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.

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videos09 février 2024
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"Intelligence artificielle, réseaux sociaux, implants cérébraux, satellites, métavers... le choc technologique sera l'un des enjeux clés du xxie siècle et les géants américains, les « BigTech », sont à l'avant-garde. Entités hybrides, ils remodèlent la morphologie des États, redéfinissent les jeux de pouvoir et de puissance entre nations, interviennent dans la guerre, tracent les nouvelles frontières de la souveraineté. S'ils sont au coeur de la fabrique de la puissance étatsunienne face à la Chine, ils sont également des agents perturbateurs de la démocratie. de ces liens ambivalents entre BigTech et « BigState » est né un nouveau Léviathan à deux têtes, animé par un désir de puissance hors limites. Mais qui gouverne ces nouveaux acteurs privés de la prolifération technologique ? A cette vertigineuse question, nous n'avons d'autre choix que d'opposer l'innovation politique !"


Asma Mhalla, docteure en études politiques et chercheure au LAP (Laboratoire d'Anthropologie Politique) de l'EHESS/CNRS, lance un cri d'alerte dans son dernier ouvrage. Dans une thèse audacieuse, elle affirme que les technologies de l'hypervitesse, qu'elles soient civiles ou militaires, transforment chaque individu en soldat, que nous le voulions ou non. Selon elle, nos cerveaux sont devenus le champ de bataille ultime de cette ère technologique. Cette réflexion interpelle sur l'avenir de la démocratie et du nouvel ordre mondial.


Enseignante à Sciences Po et Polytechnique, Asma Mhalla conseille également les institutions dans leur politique publique technologique. 
Face à la montée en puissance des technologies dites de l'hypervitesse, Asma Mhalla appelle à une prise de conscience urgente et offre ainsi une contribution majeure à la réflexion contemporaine sur les relations entre technologie, pouvoir et démocratie.
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marina5309 février 2024
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"Technopolitique", l'essai fracassant d'Asma Mhalla
videos30 janvier 2024
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Une conversation présentée par Robert Maggiori, critique littéraire, et membre fondateur des Rencontres Philosophiques de Monaco
Avec
Dov Alfon, Directeur de la rédaction et la publication au quotidien Libération
Raphaël Glucksmann, Député européen et essayiste
Laurie Laufer, Psychanalyste
Asma Mhalla, Spécialiste des enjeux politiques et géopolitiques de la Tech

Informer est un droit, s'informer un devoir. Il n'est techniquement pas impossible de savoir quelles circonstances, quelles situations politiques économiques ou militaire, quels régimes de gouvernement, quels types de pouvoirs autoritaire, dictatorial, totalitaire, etc., entravent le devoir d'informer.  Mais il est plus malaisé de déterminer les causes qui rendraient labile, «occasionnel», intermittent, le devoir de s'informer. Renonce-t-on de force à ce dernier lorsqu'aucune résistance, aucune «opposition» ne semblent assez fortes pour rétablir le droit bafoué? A-t-on, comme on dit, «perdu confiance» vis-à-vis d'organes d'information dont on pense qu'ils ont des objectifs - les mal nommés - politiques, idéologiques, n'ayant plus rien à voir avec la «formation» des citoyens à laquelle devrait participer une information objective, variée, ancrée à des sources sûres, argumentée, vérifiée? Ou le mal est-il plus profond, et tient d'abord à la confusion entre information et communication, puis à l'hégémonie de celle-ci sur l'autre? Si l'on considère en effet qu'il est plus important de communiquer que d'informer, alors il sera admis de tous, d'une part, que le fait de dire compte plus que ce qui est dit, compte plus que la véracité (la rigueur, le bien-fondé, la justesse…) de ce qui est dit, et, d'autre part, que l'opinion vaut en tous points le savoir. Les méga-entreprises de communication plus fortes que les Etats, grâce à leurs réseaux sociaux, dans lesquels chacun «s'exprime», ont transformé ce mal en pandémie universelle, et transformé la vérité en «option», en «avis». Quelles conséquences pour l'information, la formation, l'éducation des citoyens?

#philomonaco
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videos11 janvier 2024
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Une conversation présentée par Robert Maggiori, critique littéraire, et membre fondateur des Rencontres Philosophiques de Monaco
Avec
Dov Alfon, Directeur de la rédaction et la publication au quotidien Libération
Raphaël Glucksmann, Député européen et essayiste
Laurie Laufer, Psychanalyste
Asma Mhalla, Spécialiste des enjeux politiques et géopolitiques de la Tech

Informer est un droit, s'informer un devoir. Il n'est techniquement pas impossible de savoir quelles circonstances, quelles situations politiques économiques ou militaire, quels régimes de gouvernement, quels types de pouvoirs autoritaire, dictatorial, totalitaire, etc., entravent le devoir d'informer.  Mais il est plus malaisé de déterminer les causes qui rendraient labile, «occasionnel», intermittent, le devoir de s'informer. Renonce-t-on de force à ce dernier lorsqu'aucune résistance, aucune «opposition» ne semblent assez fortes pour rétablir le droit bafoué? A-t-on, comme on dit, «perdu confiance» vis-à-vis d'organes d'information dont on pense qu'ils ont des objectifs - les mal nommés - politiques, idéologiques, n'ayant plus rien à voir avec la «formation» des citoyens à laquelle devrait participer une information objective, variée, ancrée à des sources sûres, argumentée, vérifiée? Ou le mal est-il plus profond, et tient d'abord à la confusion entre information et communication, puis à l'hégémonie de celle-ci sur l'autre? Si l'on considère en effet qu'il est plus important de communiquer que d'informer, alors il sera admis de tous, d'une part, que le fait de dire compte plus que ce qui est dit, compte plus que la véracité (la rigueur, le bien-fondé, la justesse…) de ce qui est dit, et, d'autre part, que l'opinion vaut en tous points le savoir. Les méga-entreprises de communication plus fortes que les Etats, grâce à leurs réseaux sociaux, dans lesquels chacun «s'exprime», ont transformé ce mal en pandémie universelle, et transformé la vérité en «option», en «avis». Quelles conséquences pour l'information, la formation, l'éducation des citoyens?

#philomonaco
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videos25 novembre 2023
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Le numérique a révolutionné notre société contemporaine, offrant de nouvelles perspectives et possibilités infinies tant du point de vue de notre projection sur le monde, de la consommation, des modes de travail, de notre manière de nous informer. Au coeur de ces transformations se trouve la rencontre entre le réel et l'artificiel, deux concepts qui se mêlent et s'entremêlent dans le monde numérique. Cette convergence soulève des interrogations profondes quant à notre perception de la réalité et à notre capacité à espérer : comment le numérique permet la rencontre entre le réel et l'artificiel ? Quelles en sont les implications sur notre perception du monde, sur notre capacité à espérer, sur les rapports de force face aux nouveaux acteurs économiques mondiaux du numérique ? Lors de ce grand entretien entre Pierre Dockès et Asma Mhalla, il s'agira de questionner le rôle du numérique dans la construction d'une société de progrès et de respect de l'individu, en cherchant à concilier le meilleur des deux univers : le réel et l'artificiel.
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