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Citations de Barzou Abdourazzoqov (16)


"[...] on ne peut pas tuer le rêve."
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Le secret, c'est en toi qu'il est.
Dans la conscience que tu as de ce que tu es, même si ce n'est pas grand-chose, mais ça, eh bien c'est unique.
Dans le fait de comprendre que la vie, elle n'a qu'une marche en avant, qu'on ne peut pas revenir en arrière pour corriger ce qui s'est passé, qu'on ne peut pas dire un jour : "Excusez-moi, je n'avais pas compris, est-ce qu'on ne pourrait pas tout recommencer ?"
Le secret, il est là : quoi qu'il t'arrive, même si le destin s'est joué de toi, et quoi qu'en pensent les gens - crois en toi, et tout ira bien !
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Je ne m'attendais pas à un aussi long discours. Il avait raison. Il y a eu une pause. Nous nous regardions dans les yeux. Difficile de dire ce qu'il y avait dans nos regards et ce qu'ils se disaient, mais une chose est sûre: j'avais en face de moi, adulte avant l'âge, insolent, vif, un homme.
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"On est tellement naïf quand on est heureux, on a l'impression que tous les problèmes du monde sont faciles à résoudre."
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Le secret, il est là : quoi qu'il arrive, même si le destin s'est joué de toi,et quoi qu'en pensent les gens - crois en toi et tout ira bien !
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Parfois, je suis reconnaissante a cette fille de m'avoir dégrisée, de m'avoir fait comprendre que la vie est une chose plus fragile que le verre le plus fin, plus ténue que du fil d'araignée.
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"[...] la vie est une chose plus fragile que le verre le plus fin, plus ténue que du fil d'araignée. Qu'elle compte, la vie, plus que n'importe quoi d'autre."
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Lui, il avait pris un nouveau souffle, moi je haletais de chagrin.
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Car le malheur, ça ne dure pas, tout comme la joie, du reste. Ce qui demeure, c'est la conscience de soi, la patience, la foi peut-être.
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Car le malheur, ça ne dure pas, tout comme la joie, du reste. Ce qui demeure, c'est la conscience de soi, la patience, la foi peut-être.
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Nous sommes à nouveau égaux en âge, il est sagement revenu au sien. Avec moi il court, hors d'haleine, derrière nos soucis quotidiens. Ne souriez pas : tout cela n'a rien d'un happy ending. C'est un vrai chantier de démolition.
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Oh, si vous saviez tout ce que je sais de vos maris, de vos chefs, de vos frères et de vos fils ! Et sur leurs amis, et sur les amis de leurs amis. Ils sont à poil devant moi, mes petits clients. Bien sûr, ils se disent tous qu'ils me dominent. Alors que c'est moi qui les tiens dans la main.
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Ils ne trouvent en moi que ce qui se cache dans les tréfonds de leur conscience et de leur inconscient. C'est sur moi qu'ils font retomber tous leurs malheurs et toutes leurs joies. Ils sont avec moi ce qu'ils sont pour de bon. Pour la simple raison que moi, ils ne me doivent rien.
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Le secret, c'est en toi qu'il est. Dans la conscience que tu as de ce que tu es, même si ce n'est pas grand chose, mais ça, eh bien, c'est unique. Dans le fait de comprendre que la vie, elle n'a qu'une marche en avant, qu'on ne peut pas revenir en arrière pour corriger ce qui s'est passé, qu'on ne peut pas dire un jour :"Excusez-moi m, je n'avais pas compris, est-ce qu'on ne pourrait pas tout recommencer ?" Le secret, il est là : quoiqu'il t'arrive, même si le destin s'est joué de toi, et quoi qu'en pensent les gens - crois en toi et tout ira bien !
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Le malheur arrive toujours quand on s'y attend le moins. Comme un voleur embusqué à l'angle d'une rue, Un gourdin sur l'épaule, le soir où toi, tu rentres chez toi les bras chargés de cadeaux. Même chose que le courant d'air. Qu'est-ce que je dis, un courant d'air, un ouragan, oui ! Ou plutôt non, allez, quelque chose d'encore plus destructeur : un bon gros tsunami ! Un tremblement de terre de force 12 sur l'échelle de Richter ! Rien de plus puissant, rien de plus dévastateur, hein ? Eh bien si, figurez-vous ! Une petite, une toute petite, Toute frêle élève de terminale avec un minois d'ange, capable de faire perdre la tête à un homme de n'importent quel âge.
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J'avais les jambes qui flageolaient et quelque chose,ici, un peu plus bas que le nombril, s'est brusquement tassé. Vous savez, le genre de truc qui vous arrive quand votre avion perd brusquement de l'altitude ou que vous ressentez une trouille ou une joie indescriptible.
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