Ce n’est que le deuxième roman que je lis de l’auteure alors que j’en possède presque la totalité. La rumeur qui court est que tous les romans de Liane Moriarty sont du même style, j’avoue que la peur de me lasser me freine un peu, j’y vais donc avec parcimonie et cela fonctionne cette fois encore. Voici le résumé:
Jamais Cecilia n’aurait dû lire cette lettre trouvée par hasard dans le grenier. Sur l’enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : « À n’ouvrir qu’après ma mort ». La curiosité est trop forte, elle l’ouvre et le temps s’arrête… À la fois folle de colère et dévastée par ce qu’elle vient d’apprendre, Cecilia ne sait que faire : si elle se tait, la vérité va la ronger, si elle parle, ceux qu’elle aime souffriront
personnages agréables qui semblent mener une vie presque idéale et dont les destins semblent être bien éloignés les uns des autres, pourtant c’est une nouvelle fois une lecture étonnante dont l’intrigue happe rapidement le lecteur et parvient à le garder auprès d’elle d’un bout à l’autre. Aucune vie n’est idyllique et c’est un nouvel exemple criant, des secrets et des rebondissements qui amènent au questionnement, en effet il faut balayer devant sa porte avant de donner son avis sur le mode de vie de ses voisins. Cécilia, Tess, Will et tous les personnages que vous rencontrerez dans ce roman ne pourront que vous confirmer que rien n’est acquis, que la vie est pleine de rebondissements, c’est une intrigue certes déjà vue, que nous propose l’auteure, mais pourtant efficace. C’est fluide et cela se lit vite et facilement, c’est d’ailleurs ce qui fait le succès de l’auteure, ce petit côté Desperate Housewives que j’avais beaucoup aimé dans Petits secrets, grands mensonges est toujours présent, cette aspect lisse et aseptisé, cette image de parents parfaits est tout à fait jubilatoire.
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