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4.05/5 (sur 558 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Belinda Bornsmith est auteure de romance.

En 2009, elle reprend un manuscrit qui sommeillait sur son ordinateur "La Confrérie des Ombres : Le Chaos", une romance paranormale. Elle le retravaille et poursuit son écriture, tout en diffusant un chapitre par semaine sur son site.

Suite aux nombreux avis positifs, elle saute le pas et fait le choix de s’auto-éditer en 2010, puis enchaîne sur une série érotique vampirique "Dans la Chaleur de la Nuit".

Elle décide de quitter son emploi dans l’immobilier pour se consacrer à d’autres activités professionnelles dont sa passion depuis l’adolescence : l’écriture. Entre temps, elle achève les deux autres tomes de sa trilogie "La Confrérie des Ombres".

Depuis 2012, elle est publiée aux Éditions CyPLoG et continue sa carrière d’écrivain en explorant différents genres. Ses romans New Adult, "Pari risqué" (2015), "Rainbow" (2018) et "Pari osé" (2019) rencontrent un beau succès auprès des lectrices.

Mariée et mère de deux enfants, elle a quitté Metz pour s’installer dans le sud de la France.

page Facebook : https://www.facebook.com/BelindaBornsmith/
Twitter : https://twitter.com/b_belinda?lang=fr
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Source : cyplog.com
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Citations et extraits (59) Voir plus Ajouter une citation
— Je me demande si je ne vais pas tenter…
— Pas question ! ripostai-je, la voix tranchante.
Mon sang se mit à bouillonner.
Devant ma réaction épidermique, Cruz et Zack haussèrent un sourcil, dans une parfaite synchronisation
Et merde !
— Ne commence pas à flanquer la merde avec une nana à qui je donne de foutus cours chaque semaine !
— Ok… Ok… répondit-il en levant les mains d’un geste apaisant. Il fallait le dire que tu avais des vues sur elle.
Bordel ! Non…
— Je n’ai pas de vues sur elle, articulai-je dans un grincement de dents, les nerfs à vif. Tu restes à l’écart. Je ne veux pas d’emmerdements avec elle. C’est tout ! Je lui donne ses cours et elle dégage ! Durant ce laps de temps, tu ne la sautes pas. Compris ?
— Ok, cool, fit Cruz d’un air beaucoup trop innocent… mais si j’ai bien compris, après, je peux tenter ma chance ?
Putain ! Il me cherchait, là ! Honnêtement, je ne sais pas ce qu’il vit dans mes yeux, mais une nouvelle fois, ses mains se levèrent de la même façon que précédemment. Le geste typique lorsqu’on essaye de calmer un excité.
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Je ne sais pas si c'étaient les jours de frustration, mes nerfs à vif, son petit ton distant, guindé, le fait qu'elle se tienne enfin à quelques mètres, si près, mais si loin à la fois, ou que j'en avais rêvé à en perdre le sommeil, mais je fis un pas à une vitesse éclair, et ma main se referma en un poing dans ses cheveux. D'une brusque flexion du poignet, je levai son visage et l'attirai d'un mouvement tout aussi brusque, mes lèvres s'écrasant sur sa bouche dans le même élan.
Et là, je sus...
Je sus que j'aurais du mal à m'en passer ; que j'en avais rêvé à l'obsession ; que je la voulais dans mon lit ; que ce ne serait certainement pas suffisant, mais que je ne voulais plus faire marche arrière. Et quand elle gémit, je sus que j'étais cuit sans vraiment comprendre jusqu'à quel point, le corps frémissant ! Je plongeai ma langue et savourai la chaleur humide de sa bouche, me délectant des premières secondes. Puis, d'un geste brusque, je la poussai contre le mur, incapable de me rassasier, me pressant contre elle, alors que mes bras se nouaient étroitement autour de sa taille. Je ressentais le besoin fou de sentir son corps contre le mien.
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Cruz la regarda s’éloigner.
— Je me demande si je ne vais pas tenter…
— Pas question ! ripostai-je, la voix tranchante.
Mon sang se mit à bouillonner.
Devant ma réaction épidermique, Cruz et Zack haussèrent un sourcil, dans une parfaite synchronisation
Et merde !
— Ne commence pas à flanquer la merde avec une nana à qui je donne de foutus cours chaque semaine !
— Ok… Ok… répondit-il en levant les mains d’un geste apaisant. Il fallait le dire que tu avais des vues sur elle.
Bordel ! Non…
— Je n’ai pas de vues sur elle, articulai-je dans un grincement de dents, les nerfs à vif. Tu restes à l’écart. Je ne veux pas d’emmerdements avec elle. C’est tout ! Je lui donne ses cours et elle dégage ! Durant ce laps de temps, tu ne la sautes pas. Compris ?
— Ok, cool, fit Cruz d’un air beaucoup trop innocent… mais si j’ai bien compris, après, je peux tenter ma chance ?
Putain ! Il me cherchait, là ! Honnêtement, je ne sais pas ce qu’il vit dans mes yeux, mais une nouvelle fois, ses mains se levèrent de la même façon que précédemment. Le geste typique lorsqu’on essaye de calmer un excité.
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Son index, qui se leva brusquement, me réduisit au silence complet, alors que son regard restait vrillé sur moi avec une intensité à couper le souffle.
- Je vais te dire deux choses et je ne me répéterai pas !
J'avalais avec difficulté, perdue, incapable de lire en lui. Seule sa voix, très rauque, pouvait s'apparenter à un signe d'émotion.
- La première : si tu fais un pas de plus, un tout petit pas de plus, je ne te laisserai plus partir, Jailyn !
Mon coeur fit un bond terrible dans ma poitrine.
- La deuxième : même si tu es venu pour une autre raison et que tu fais ce petit pas de plus, il y a de fortes chances pour que je ne te laisse plus partir, non plus. Alors, dis-moi que tu es là pour me donner une chance...pour nous donner une chance, lança-t-il d'un timbre très rauque.
Son regard brûlant me fit trembler.
- Parce que...putain, Jailyn...donne nous une chance, et mets fin au calvaire que je vis depuis des semaines !
Le temps désespéré de sa voix me retourna littéralement.
Et... je le fis, ce pas. Brusquement. Un grand. Un énorme.
J'eus juste le temps de voir ses yeux s'écarquiller de surprise une fraction de seconde, avant qu'il ne m'attrape et que ses bras se referment sur moi pour me serrer contre lui, inhalant son parfum, savourant les contours durs, familiers, de sa silhouette. Il m'avait tant manqué que j'en tremblais. Il enfouit son visage dans mes cheveux, et son corps puissant frémit autant que le mien
[...]
Je le vis fermer les paupières durement, sa pomme d'Adam montant et descendant plusieurs fois, sous une autre avalanche d'émotions que je ressentis également jusqu'au fond de mon être. Ses yeux humides s'accrochèrent aux miens noyés de larmes. Soudain, ses mains plongèrent dans mes cheveux avant que sa bouche ne s'écrase sur mes lèvres. Il n'y avait plus besoins de paroles supplémentaires entre nous. Dans les premières secondes, j'entendis à peine les nombreux sifflets et cris qui s'élèvent tout autour de nous. Et dans ce baiser passionné, nos sentiments l'un pour l'autre crépitèrent en un violent feu d'artifice.
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- Ce soir, je souhaite dédier cette chanson à toutes les personnes qui ont perdu quelqu'un de cher...
Une émotion palpable passa également dans la foule, Rick étant dans toutes les pensées. Et d'autres êtres chers. Je vis Miles baisser le visage vers le sol avant de se reprendre.
- Rainbow, de Rick Snyder.
Ma gorge se noua tant je dus avaler plusieurs fois ma salive. Du coin de l'oeil, je vis Sonia s'essuyer une larme sur une joue.
- Cette chanson, je la dédie aussi à deux personnes en particulier. A toi, Lexie, car elle est le tout début de notre histoire. Je t'aime, babe.
Une déclaration devant des milliers de gens ? Des sanglots raclèrent ma poitrine alors que des regards se tournaient vers moi. Difficile de passer maintenant incognito. Notre première rencontre au Red me revint en mémoire : ces quelques minutes intenses qui avaient scellé le lien entre nous. Je lui répondis dans un murmure "je t'aime aussi". Sonia me dévisagea, les yeux humides, avec une lueur quasi émerveillée qui reflétait la chance que j'avais.
- Et la seconde personne...
Il leva la tête en tendant son index vers le ciel.
- C'est pour toi, frangin... où que tu sois.
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— Tu as créé ce virus, n’est-ce pas ? Ses yeux se fermèrent durement, mais il répondit d’une voix étranglée, le cœur cognant dans sa cage thoracique :
— Oui… Une réponse sincère. Un profond silence s’abattit dans la chambre. Le corps tendu, le guerrier ne bougea plus, tel un condamné dans l’attente du couperet final.
— Pourquoi ? Dans un premier temps, sa gorge nouée l’empêcha de répondre, puis il hésita, pas vraiment certain qu’elle parlait uniquement de Rebirth.
— Pourquoi ce virus, Siyin ?Pourquoi cette guerre ? Leur guerre. Cette question, elle la lui avait déjà posée au Complexe. Il s’en souvenait. Toutefois, son interrogation vibrait aujourd’hui d’une connotation différente. La jeune femme semblait prête à entendre ses raisons, l’esprit plus ouvert. Du moins, cela lui parut différent. Ou le profond désir que ce soit le cas faussait son jugement.
— Par vengeance, déjà ! Pour ceux qui sont morts par la faute des humains il y a très longtemps, comme mes parents. Puis, pour ma sœur Sienna plus récemment. Parce que je pensais que c’était juste pour ma race. Parce que cette terre est également la nôtre et que nous avons autant le droit d’en profiter que les humains, en pleine lumière, sans nous cacher, débita-t-il d’une voix rauque. Un autre long silence tomba entre eux. Siyin guetta sa réaction, la poitrine oppressée.
— Ta sœur ? chuchota Paige. Il déglutit plusieurs fois, le souvenir se révélant toujours aussi douloureux.
— Pas de sang, mais je la considérais comme ma sœur. Et il lui parla de Sienna, recueillie par son grand-père à la mort de sa mère. Un Ancien proche de la famille Karg. Au décès de ce dernier, la jeune dzellis était venue vivre avec eux, sous la tutelle de Slaren. Il n’eut pas la force de lui raconter ce qui s’était passé. Cet épisode était trop dur à revivre, les images enfouies dans son cerveau trop difficiles à supporter lorsqu’elles remontaient à la surface.
— Elle est morte dans des circonstances… horribles, furent les seuls mots qu’il réussit à trouver.
— Je suis vraiment désolée, répondit-elle d’une voix étranglée, sans chercher à en savoir plus, comme si elle sentait sa profonde détresse à cet instant. Il resta silencieux avant de poursuivre :
— Cette guerre me paraissait juste pour mes parents, pour Sienna, pour nous tous, dzellis.
— Et maintenant ? demanda-t-elle simplement dans un autre chuchotement. Le guerrier déglutit.
— C’est différent… très différent. Il accompagna sa réponse d’un doux baiser qu’il posa sur sa nuque. Le cœur battant, il la sentit se blottir un peu plus dans ses bras, ses fesses magnifiques se pressant contre une partie de son anatomie qui commençait de nouveau à durcir. Mais il ignora le désir qui renaissait en lui.
— Aujourd’hui, je veux aider Ryala et protéger les humains du livre sacré, continua-t-il avec sincérité. Aujourd’hui… j’ai compris les erreurs de ma race… j’ai compris mes erreurs.
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— Je veux que ça marche entre nous. Je te veux, Jailyn, comme jamais je n’ai voulu quelqu’un dans ma vie, continua-t-il avec une force qui me noua terriblement la gorge. Je crois que je le savais bien avant ma dispute avec Chase. (Il inspira.) Il y a quelque temps, je t’ai dit que je ne pouvais pas te faire de promesses, et j’avais tort… oui j’avais tort ! martela-t-il, parce que je suis sûr que j’étais déjà raide dingue de toi. Alors… ces promesses, je veux te les faire aujourd’hui : être là pour toi en toute circonstance, te garder dans ma vie… et j’en ai des centaines d’autres… parce que je t’aime,
Jailyn… Je t’aime… répéta-t-il d’une voix très enrouée.
Ma vision se brouilla derrière un rideau de larmes, accompagnées d’un hoquet proche d’un sanglot. Tous ses sentiments, je pus les lire dans ses yeux quand les miens s’éclaircirent – un miroir transparent qui me coupa le souffle. D’un coup, nos visages s’avancèrent à la même seconde et nos lèvres se rencontrèrent à mi-chemin.
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Seul un bruissement étouffé rompait le silence religieux. Les silhouettes, rangées en file indienne, progressaient lentement le long d’un étroit corridor éclairé par une faible lueur argentée. Les pans de leurs manteaux se soulevaient légèrement dans un mouvement fluide, projetant des ombres mouvantes sur les murs métalliques. Au bout du tunnel, une porte coulissa : une lumière blanche jaillit d'un lustre en cristal et se répandit à travers une vaste salle de conférence. L'homme à la tête de cette étrange procession franchit la distance qui le séparait d'un siège imposant, s'installa face à un écran géant, puis observa chaque membre, prendre place peu à peu autour d’une table immense.

Au bout de quelques minutes, toutes les têtes se tournèrent vers Isathin dans l’attente de son discours. Ce dernier embrassa du regard une dernière fois l'assemblée composée d'une trentaine d'individus, quand il remarqua deux sièges inoccupés. Imperturbable, il consulta brièvement le cadran de sa montre lorsque la porte coulissa de nouveau : deux inconnus à la taille impressionnante pénétrèrent dans les lieux. Son attention se porta sur un homme au visage froid et dur qui regarda dans sa direction. Ses yeux d’un gris étonnant brillaient d’une lueur arrogante, il soutint sans sourciller son examen muet avant de se diriger vers l’une des deux places vides. Sous la clarté artificielle, sa chevelure de jais s'éclairait de reflets bleutés intenses ; son physique très intimidant avec sa haute stature musclée et la largeur peu commune de ses épaules en imposait. Il s'installa enfin et s'adossa nonchalamment contre le dossier, tandis que son acolyte à la stature toute aussi impressionnante prenait place à ses côtés. Toutefois, les yeux bleu saphir de ce dernier et sa chevelure d'un marron glacé aux reflets dorés adoucissaient le côté glacial de son faciès.

Slaren et Siyin − deux frères appartenant à la Confrérie des Ombres – étaient réputés pour leur bravoure et leur habileté à toutes formes de combats : arts martiaux, armes à feu, sabres, sans compter les pouvoirs particuliers de leur race. Ils étaient respectés, voire craints par les propres membres de la Confrérie. En effet, des bruits peu rassurants couraient sur eux. On murmurait qu'ils pouvaient se montrer sans pitié vis à vis de leurs ennemis : humains ou dzellis. Isathin les dévisagea quelques secondes puis s'éclaircit la voix avant de prendre la parole devant le Conseil :
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Une boule dans la gorge, je passai une main sur mon visage, un grand vide se creusant déjà dans ma cage thoracique. Je fis volte-face et me rendis dans la salle de gym. Je soulevai des poids jusqu’à l’épuisement.
Les semaines passèrent. Je revis Lexie à Miami et de nouveau à LA, en prenant une tonne de précautions au niveau de mes déplacements et des siens. Cela aurait été risible si j’avais été d’humeur à en rire. Pour tout avouer, cela me pesait déjà ! Pourquoi je ne pouvais pas tout simplement vivre ma relation avec ma petite nana au grand jour ? Pourquoi je ne pouvais pas crier au monde entier que Lexie était l’une, voire la plus belle des choses qui me soient arrivées dans la vie ?
Évidemment, je connaissais la réponse : les paparazzis se jetteraient sur elle comme des vautours. En temps normal, ça n’aurait déjà pas été simple, mais...
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Chapitre 2 :

Zack

«… Kelly était une âme blessée, pour je ne sais quelle raison, et cette jeune femme vulnérable avait besoin de réapprendre à accorder sa confiance aux gens. À moi, notamment. Lui faire du rentre-dedans était hors de question. Aucune onde «j’aimerais tellement que tu insistes pour me revoir, malgré les apparences» ne s’invitait entre nous.

Alors, je fis soudain un pari sur l’avenir : qu’elle fasse bientôt un pas vers moi. Elle savait à présent que j’existais ; elle savait à présent où je travaillais. Où me trouver.

La balle était dans son camp.

— Mon offre tient toujours si tu veux un tatouage ou des conseils.

Pari lancé.

Elle avait même une excuse toute trouvée si elle éprouvait l’envie de me revoir. … »
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