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Citations de Belinda Bornsmith (59)


— Je me demande si je ne vais pas tenter…
— Pas question ! ripostai-je, la voix tranchante.
Mon sang se mit à bouillonner.
Devant ma réaction épidermique, Cruz et Zack haussèrent un sourcil, dans une parfaite synchronisation
Et merde !
— Ne commence pas à flanquer la merde avec une nana à qui je donne de foutus cours chaque semaine !
— Ok… Ok… répondit-il en levant les mains d’un geste apaisant. Il fallait le dire que tu avais des vues sur elle.
Bordel ! Non…
— Je n’ai pas de vues sur elle, articulai-je dans un grincement de dents, les nerfs à vif. Tu restes à l’écart. Je ne veux pas d’emmerdements avec elle. C’est tout ! Je lui donne ses cours et elle dégage ! Durant ce laps de temps, tu ne la sautes pas. Compris ?
— Ok, cool, fit Cruz d’un air beaucoup trop innocent… mais si j’ai bien compris, après, je peux tenter ma chance ?
Putain ! Il me cherchait, là ! Honnêtement, je ne sais pas ce qu’il vit dans mes yeux, mais une nouvelle fois, ses mains se levèrent de la même façon que précédemment. Le geste typique lorsqu’on essaye de calmer un excité.
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Je ne sais pas si c'étaient les jours de frustration, mes nerfs à vif, son petit ton distant, guindé, le fait qu'elle se tienne enfin à quelques mètres, si près, mais si loin à la fois, ou que j'en avais rêvé à en perdre le sommeil, mais je fis un pas à une vitesse éclair, et ma main se referma en un poing dans ses cheveux. D'une brusque flexion du poignet, je levai son visage et l'attirai d'un mouvement tout aussi brusque, mes lèvres s'écrasant sur sa bouche dans le même élan.
Et là, je sus...
Je sus que j'aurais du mal à m'en passer ; que j'en avais rêvé à l'obsession ; que je la voulais dans mon lit ; que ce ne serait certainement pas suffisant, mais que je ne voulais plus faire marche arrière. Et quand elle gémit, je sus que j'étais cuit sans vraiment comprendre jusqu'à quel point, le corps frémissant ! Je plongeai ma langue et savourai la chaleur humide de sa bouche, me délectant des premières secondes. Puis, d'un geste brusque, je la poussai contre le mur, incapable de me rassasier, me pressant contre elle, alors que mes bras se nouaient étroitement autour de sa taille. Je ressentais le besoin fou de sentir son corps contre le mien.
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Dans cette putain de vie, personne n’est parfait, mais chacun a droit à une seconde chance.
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Cruz la regarda s’éloigner.
— Je me demande si je ne vais pas tenter…
— Pas question ! ripostai-je, la voix tranchante.
Mon sang se mit à bouillonner.
Devant ma réaction épidermique, Cruz et Zack haussèrent un sourcil, dans une parfaite synchronisation
Et merde !
— Ne commence pas à flanquer la merde avec une nana à qui je donne de foutus cours chaque semaine !
— Ok… Ok… répondit-il en levant les mains d’un geste apaisant. Il fallait le dire que tu avais des vues sur elle.
Bordel ! Non…
— Je n’ai pas de vues sur elle, articulai-je dans un grincement de dents, les nerfs à vif. Tu restes à l’écart. Je ne veux pas d’emmerdements avec elle. C’est tout ! Je lui donne ses cours et elle dégage ! Durant ce laps de temps, tu ne la sautes pas. Compris ?
— Ok, cool, fit Cruz d’un air beaucoup trop innocent… mais si j’ai bien compris, après, je peux tenter ma chance ?
Putain ! Il me cherchait, là ! Honnêtement, je ne sais pas ce qu’il vit dans mes yeux, mais une nouvelle fois, ses mains se levèrent de la même façon que précédemment. Le geste typique lorsqu’on essaye de calmer un excité.
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Du coin de l'œil, il aperçut la revue au pied du lit, ouverte à la même page et trouva l'excellente opportunité de se remettre les idées en place.
— Vous n'en avez pas assez de lire le même article, lança-t-il d'un ton sarcastique.
Intriguée, Lily tourna la tête vers le sol.
— C'est le seul magazine que j'ai déniché, et j'aime Brad Pitt, jeta-t-elle en levant le menton, ou du moins j'aimais, continua-t-elle avec cette petite touche provocante.
— Il me paraît un peu vieux pour vous.
— J'aime les personnes mures, les hommes d'âge mûr.
— Ah bon... fit-il d'une voix trainante sans lever les yeux, car sur une échelle humaine, je suis très vieux.
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Chapitre 2 :

Zack

«… Kelly était une âme blessée, pour je ne sais quelle raison, et cette jeune femme vulnérable avait besoin de réapprendre à accorder sa confiance aux gens. À moi, notamment. Lui faire du rentre-dedans était hors de question. Aucune onde «j’aimerais tellement que tu insistes pour me revoir, malgré les apparences» ne s’invitait entre nous.

Alors, je fis soudain un pari sur l’avenir : qu’elle fasse bientôt un pas vers moi. Elle savait à présent que j’existais ; elle savait à présent où je travaillais. Où me trouver.

La balle était dans son camp.

— Mon offre tient toujours si tu veux un tatouage ou des conseils.

Pari lancé.

Elle avait même une excuse toute trouvée si elle éprouvait l’envie de me revoir. … »
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Ne sois pas triste, fiston. Sens le souffle du vent, sens la fraîcheur de la pluie, sens la chaleur du soleil, il y aura toujours un peu de moi qui t'accompagnera.
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Bonté divine, c'était dingue de constater que, lorsqu'une personne déchirait enfin la lourde tenture devant ses yeux et affrontait la vérité, elle se donnait enfin une réelle chance d'avancer.
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Mes yeux descendirent lentement le long de sa silhouette… à donner une gaule en moins d’une seconde. Je n’en perdis pas une miette. Mon cerveau bugua sur un short en cuir, hyper mini, qui lui faisait un cul d’enfer, puis sur son top très décolleté, moulant ses superbes seins et qui s’arrêtait à hauteur du nombril, laissant voir un ventre plat des plus sexy. Il se bloqua ensuite quelques secondes sur un genre de bas qui tenaient tout seuls autour des cuisses et sur des talons aiguilles mettant en valeur ses jambes interminables, bandantes.

Waouh, c’était quelque chose !

Mon sang réagit.

Ma queue réagit.

Mon corps entier réagit.
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- Tyler, commença-t-elle doucement.
- Kate, taisez-vous, lança-t-il d’une voix dure.
S’il voulait garder le peu de contrôle qui lui restait, il fal ait qu’elle se taise, qu’il arrive à oublier sa présence.
- Mais pourquoi ? s’exclama-t-elle l’esprit confus.
Il ferma les yeux brièvement avant de freiner brutalement. C’était une manie chez lui ! Il se tourna, les yeux de braise, la voix incroyablement rauque :
- Parce que si tu ne veux pas que je te saute dessus, continua-t-il brusquement en la tutoyant, il est préférable que tu te fasses oublier.
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Une boule dans la gorge, je passai une main sur mon visage, un grand vide se creusant déjà dans ma cage thoracique. Je fis volte-face et me rendis dans la salle de gym. Je soulevai des poids jusqu’à l’épuisement.
Les semaines passèrent. Je revis Lexie à Miami et de nouveau à LA, en prenant une tonne de précautions au niveau de mes déplacements et des siens. Cela aurait été risible si j’avais été d’humeur à en rire. Pour tout avouer, cela me pesait déjà ! Pourquoi je ne pouvais pas tout simplement vivre ma relation avec ma petite nana au grand jour ? Pourquoi je ne pouvais pas crier au monde entier que Lexie était l’une, voire la plus belle des choses qui me soient arrivées dans la vie ?
Évidemment, je connaissais la réponse : les paparazzis se jetteraient sur elle comme des vautours. En temps normal, ça n’aurait déjà pas été simple, mais...
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- Ce soir, je souhaite dédier cette chanson à toutes les personnes qui ont perdu quelqu'un de cher...
Une émotion palpable passa également dans la foule, Rick étant dans toutes les pensées. Et d'autres êtres chers. Je vis Miles baisser le visage vers le sol avant de se reprendre.
- Rainbow, de Rick Snyder.
Ma gorge se noua tant je dus avaler plusieurs fois ma salive. Du coin de l'oeil, je vis Sonia s'essuyer une larme sur une joue.
- Cette chanson, je la dédie aussi à deux personnes en particulier. A toi, Lexie, car elle est le tout début de notre histoire. Je t'aime, babe.
Une déclaration devant des milliers de gens ? Des sanglots raclèrent ma poitrine alors que des regards se tournaient vers moi. Difficile de passer maintenant incognito. Notre première rencontre au Red me revint en mémoire : ces quelques minutes intenses qui avaient scellé le lien entre nous. Je lui répondis dans un murmure "je t'aime aussi". Sonia me dévisagea, les yeux humides, avec une lueur quasi émerveillée qui reflétait la chance que j'avais.
- Et la seconde personne...
Il leva la tête en tendant son index vers le ciel.
- C'est pour toi, frangin... où que tu sois.
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Son index, qui se leva brusquement, me réduisit au silence complet, alors que son regard restait vrillé sur moi avec une intensité à couper le souffle.
- Je vais te dire deux choses et je ne me répéterai pas !
J'avalais avec difficulté, perdue, incapable de lire en lui. Seule sa voix, très rauque, pouvait s'apparenter à un signe d'émotion.
- La première : si tu fais un pas de plus, un tout petit pas de plus, je ne te laisserai plus partir, Jailyn !
Mon coeur fit un bond terrible dans ma poitrine.
- La deuxième : même si tu es venu pour une autre raison et que tu fais ce petit pas de plus, il y a de fortes chances pour que je ne te laisse plus partir, non plus. Alors, dis-moi que tu es là pour me donner une chance...pour nous donner une chance, lança-t-il d'un timbre très rauque.
Son regard brûlant me fit trembler.
- Parce que...putain, Jailyn...donne nous une chance, et mets fin au calvaire que je vis depuis des semaines !
Le temps désespéré de sa voix me retourna littéralement.
Et... je le fis, ce pas. Brusquement. Un grand. Un énorme.
J'eus juste le temps de voir ses yeux s'écarquiller de surprise une fraction de seconde, avant qu'il ne m'attrape et que ses bras se referment sur moi pour me serrer contre lui, inhalant son parfum, savourant les contours durs, familiers, de sa silhouette. Il m'avait tant manqué que j'en tremblais. Il enfouit son visage dans mes cheveux, et son corps puissant frémit autant que le mien
[...]
Je le vis fermer les paupières durement, sa pomme d'Adam montant et descendant plusieurs fois, sous une autre avalanche d'émotions que je ressentis également jusqu'au fond de mon être. Ses yeux humides s'accrochèrent aux miens noyés de larmes. Soudain, ses mains plongèrent dans mes cheveux avant que sa bouche ne s'écrase sur mes lèvres. Il n'y avait plus besoins de paroles supplémentaires entre nous. Dans les premières secondes, j'entendis à peine les nombreux sifflets et cris qui s'élèvent tout autour de nous. Et dans ce baiser passionné, nos sentiments l'un pour l'autre crépitèrent en un violent feu d'artifice.
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Et là, je lui roulai une pelle devant tout le bar.
Que ce soit bien clair pour toutes les nanas présentes : il n'y en avait qu'une qui m'intéressait ; que ce soit bien clair pour les geeks qui me chauffaient toujours : elle était hors limite ; que ce soit bien clair pour Jailyn : je la voulais elle, uniquement elle, et j'étais prêt à le montrer à la terre entière !
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— Je veux que ça marche entre nous. Je te veux, Jailyn, comme jamais je n’ai voulu quelqu’un dans ma vie, continua-t-il avec une force qui me noua terriblement la gorge. Je crois que je le savais bien avant ma dispute avec Chase. (Il inspira.) Il y a quelque temps, je t’ai dit que je ne pouvais pas te faire de promesses, et j’avais tort… oui j’avais tort ! martela-t-il, parce que je suis sûr que j’étais déjà raide dingue de toi. Alors… ces promesses, je veux te les faire aujourd’hui : être là pour toi en toute circonstance, te garder dans ma vie… et j’en ai des centaines d’autres… parce que je t’aime,
Jailyn… Je t’aime… répéta-t-il d’une voix très enrouée.
Ma vision se brouilla derrière un rideau de larmes, accompagnées d’un hoquet proche d’un sanglot. Tous ses sentiments, je pus les lire dans ses yeux quand les miens s’éclaircirent – un miroir transparent qui me coupa le souffle. D’un coup, nos visages s’avancèrent à la même seconde et nos lèvres se rencontrèrent à mi-chemin.
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A cet instant, ces paroles agirent enfin, comme une douche glacée. Lacey tressaillit violemment et se raidit. Cette fois-ci, elle plaqua ses mains sur ses biceps et tenta de le repousser. Ses muscles se bandèrent sous ses doigts dans un réflexe de défense et de protestation. Elle l’agrippa plus fortement.
- Non… gémit-elle d’une voix haletante.
Sa main effleura une dernière fois sa chair soyeuse dans une caresse insistante qui lui coupa le souffle, avant de la libérer de cette torture délicieuse. Tout son corps protesta lorsque leurs bouches se séparèrent enfin, et qu’elle plongea ses yeux noirs de passion dans les siens éclatants, tachés d’or.
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« Elle était prête à se lancer dans cette aventure et à défier ANA.
Elle percevrait ses mystères.
Elle s'en fit la promesse. »
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Je veux ces moments de bonheur avec toi, aussi courts soient-ils. Je t’attendrai, Josh, je serai là. Même si je crains pour ta vie, même si je suis consciente que ce sera difficile, je n’ai aucun doute : je veux que tu me donnes une chance, que tu nous donnes une chance.
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Son index, qui se leva brusquement, me réduisit au silence complet, alors que son regard restait vrillé sur moi avec une intensité à couper le souffle.
- Je vais te dire deux choses et je ne me répéterai pas !
J'avalais avec difficulté, perdue, incapable de lire en lui. Seule sa voix, très rauque, pouvait s'apparenter à un signe d'émotion.
- La première : si tu fais un pas de plus, un tout petit pas de plus, je ne te laisserai plus partir, Jailyn !
Mon coeur fit un bond terrible dans ma poitrine.
- La deuxième : même si tu es venu pour une autre raison et que tu fais ce petit pas de plus, il y a de fortes chances pour que je ne te laisse plus partir, non plus. Alors, dis-moi que tu es là pour me donner une chance...pour nous donner une chance, lança-t-il d'un timbre très rauque
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Les avant-bras posés sur la rambarde en bois qui bordait la terrasse, je continuais à fixer l’océan, les poings serrés, cette douleur toujours aussi vive, comme une seconde peau. Mais j’apprenais à la gérer, à la surmonter. Durant des mois, j’avais déconné grave, entraîné dans une spirale infernale, parce que me lever, respirer, faire les gestes du quotidien étaient tout simplement devenus des épreuves insurmontables. L’alcool, la fumette, la défonce, anesthésiaient une souffrance intolérable avant qu’elle ne revienne encore plus forte, comme une cruelle vengeance, lorsque j’émergeais de mon état lamentable. Puis, la suite n’avait été qu’une escalade pour m’abrutir et empêcher ces coups de couteau féroces de me laminer de l’intérieur.
Jusqu’à l’incendie.
Tout m’avait alors pété à la figure.
Mes paupières picotèrent en pensant à ce feu. À ce que j’avais perdu !
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