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Critiques de Benjamin Bachelier (137)
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Gatsby le magnifique (BD)

Lu en 2015. Je n'ai pas lu l'oeuvre originale, dont cette BD a été librement adaptée.

L'iconographie sert bien l'intrigue, les dessins sont sobres et réalistes : arrêts sur image, détails des visages ou leur expression, des paysages imprégnés de poésie.
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Taïpi : Un paradis cannibale

Belle découverte que cette adaptation en bande dessinée d'un roman que je ne connaissais pas encore.

Les illustrations sont bien adaptées au texte, l'histoire est fluide. Comme souvent dans les adaptations BD, parfois on manque un peu de profondeur pour bien comprendre les sentiments des personnages principaux.
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Le Clan des Otori: Les Neiges de l'exil

Le tome 4 de l'adaptation BD du roman Le clan des Otori s'intitule Les Neiges de l'exil.

La couverture est magnifique et place Kaede en souveraineté. Son kimono aux couleurs chatoyantes attire l'œil et replonge le lecteur dans ce Japon d'antan où les clans s'opposent.

Kaede et Takeo sont séparés. Leurs destins sont pourtant liés.

Chacun doit survivre à de multiples dangers. Toutefois, leurs ennemis devront faire face à leur force de caractère et à leur volonté inflexible pour atteindre leur but.



Les dessins sont toujours aussi intéressants pour rendre une ambiance, un souffle épique. L'alternance du récit, partition pour chacun des deux héros, tient le lecteur en haleine.

Les personnages transmutent et prennent, aux moments d'intense suspense, l'apparence d'animaux, révélant l'identité profonde des protagonistes.

La lecture s'achève trop vite et nous laisse déjà en attente de la suite, sauf à relire les romans pour patienter.

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Dimitri Bogrov

Critique publiée initialement sur le site Critiques Libres (2009)



Toujours publié dans la collection Bayou, de chez Gallimard Jeunesse, Dimitri Bogrov était une BD que j’attendais avec une certaine impatience, puisque j’en avais entendu dire le plus grand bien, ce que mes recherches sur d’autres blogs ne tardèrent d’ailleurs par à confirmer. A considérer comme mon coup de cœur de la collection, juste avant Le réveil du Zelphire, puis Negrinha. Si le concours chez InColdBlog est désormais terminé, je vais essayer de voir pour vous en faire tout de même gagner, chers lecteurs, afin que vous aussi puissiez avoir le plaisir de vous confronter à l’histoire de Dimitri Bogrov.



Tout débute en 1911, dans la grande Russie du siècle d’avant, et plus précisément à Saint-Pétersbourg. Dimitri Bogrov vient d’obtenir son diplôme de droit de l’université, et pourrait débuter une brillante carrière d’avocat. Dans le train qui le ramène auprès de sa famille à Kiev, il rencontre une jeune fille qui “fume comme un vieux cosaque” mais “boit son thé comme une chatte”, et qui réussira le temps d’un voyage à rendre notre jeune diplômé amoureux.



De retour chez lui, il retrouvera sa famille et ses amis, mais c’est cette mystérieuse Loulia dont il ne sait rien d’autre que le nom qui retiendra ses pensées. Aidé par son ami d’enfance Fédor, qui travaille pour l’Okhrana (la police politique), il retrouvera l’adresse de la belle et découvrira par la même occasion les activités révolutionnaires de sa famille. Alors qu’il fera tout pour la conquérir, et elle pour lui résister, il découvrira qu’elle s’apprête à prendre part à l’attentat visant le premier ministre impopulaire Stolypine. Il tentera de la raisonner puis de l’éloigner, et face à l’imminence, fera en sorte de la préserver. Quel qu’en soit le prix.



L’histoire de ce Dimitri Bogrov est une histoire d’amour singulière pour une ravissante jeune révolutionnaire, qui pesa sur la famille de sa lointaine descendante Marion Festraëts, auteur de cette très belle BD, dessinée avec talent par Benjamin Bachelier. Dans la Russie du début de siècle, ou le luxe et la grandeur entourant le pouvoir rivalisait encore avec les régimes européens, cette histoire d’amour à la finalité tragique sonne comme un conte pour enfants, une histoire qu’on se raconte un soir au coin du feu, pour perpétrer une tradition familiale. C’est peut-être ça que l’auteur cherchait à faire en racontant l’histoire de Dimitri Bogrov : éclairer le passé et entretenir le souvenir.
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Oliphant

Un récit historique se déroulant dans l’endroit le plus hostile du monde. Un endroit où des hommes courageux défient les risques et les forces de la nature elles-mêmes, suscitant ainsi une réflexion profonde sur la relation entre l’homme et son environnement.



Comment peut-on survivre dans des conditions extrêmes de froid, de gel et de faim ? Ces conditions, dans lesquelles l’homme n’est pas censé vivre, donnent naissance à des émotions intenses telles que la mélancolie, la peur, l’hésitation. Mais aussi le courage, des visions et des hallucinations. Tout cela créant de cette façon un conte onirique et évanescent.



Cette bande dessinée présente régulièrement un caractère scientifique fascinant qui s’intègre harmonieusement à l’histoire, offrant au lecteur un apprentissage enrichissant sur la région, son histoire et sa composition. Les magnifiques illustrations des phénomènes naturels sont accompagnées d’explications claires et captivantes.



Cependant, au-delà de son aspect scientifique, c’est également une histoire poignante d’abandon. Abordant la relation complexe entre un père et son fils, mise à l’épreuve par les obstacles, le passage du temps et les décisions prises au cours de leur vie.



Par ailleurs, cette BD se distingue par une identité graphique particulièrement marquée, où les jeux sur les traits de pinceaux et les combinaisons de couleurs se mêlent pour former un rendu visuel captivant. Chaque page propose des nuances riches et complexes qui captent l'attention. Cette combinaison habile crée une atmosphère visuelle unique et immersive, renforçant ainsi l'impact émotionnel de l'histoire
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Oliphant

Un bel album graphiquement parlant. Une belle aventure humaine... Mais je termine ma lecture avec certaines interrogations : la lectrice que je suis n'a sans doute pas tout saisi les subtilités de l'histoire et les passages "mystiques". On suit les aventures d'un équipage chargé d'histoires personnelles semble t'il mais difficile de comprendre qui ils sont exactement et ce qui les définis. C'est un peu au lecteur / à la lectrice de se faire sa propre histoire et d'essayer de comprendre ce qui a voulu être dit sans le dire... Pour ma part, je n'ai pas réussi à rentrer dans le bateau de l'équipage... Je suis restée errer pendant ma lecture sur un des nombreux icebergs traversant ce récit... dont j'ai déjà oublié le cap.
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Oliphant

Des lignes épaisses, des traits fins, des grosses couleurs, un blanc magnétique : le dessin de ce roman graphique est irrégulier, imprécis, inachevé, à la limite de l’abstrait. Aussi insaisissable que l’objet de la menace des premiers mots, “ça va exploser”, sur une page remplie de zébrures rouges et noires.



Traverser l’Antarctique, continent de glace. Tel est l’objectif chimérique du capitaine Oliphant. “L’ultime terre inconnue du globe. Tout le reste a été foulé, répertorié, nommé. Nous vivons le dernier exploit humain du monde.”



Lorsque le bateau se retrouve prisonnier de la glace, dure comme la pierre, l’équipage affronte les pires maux. Le froid, la faim, l’ennui, la folie. Pour ces malheureux marins, l’ennemi est non seulement extérieur, tant le territoire est hostile, mais aussi intérieur, tant la résistance mentale est mise à mal. “Le printemps recommence. Nous sommes au plus mal et la nature s’en fout magnifiquement.”



Chaque chapitre commence par des explications techniques. Ionisation, météorologie, magnétisme, circulation thermohaline… Ces passages purement scientifiques contrastent avec le dénuement de l’intrigue : des hommes perdus, en détresse, sans ressource, livrés à eux-mêmes.



Parmi eux, Arcadi, fils adoptif d’Oliphant, apporte ce qu’il faut de poésie à l’équipage pour survivre. Il ne ressent pas le froid, il entend les vibrations de la glace, il voit d’étranges apparitions dans la neige. Des souvenirs, des hallucinations, des présages ? Dans des nuances fantastiques où le rouge sang éclate aux côtés des couleurs du désespoir : le bleu de l’océan, la blancheur des glaciers et la peau blafarde des hommes.

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Oliphant

Un conte écologique et philosophique, noir, dense et beau… qui mériterait une relecture lorsqu’on le referme pour bien comprendre…



Le capitaine Oliphant est un héros des mers, un vrai aventurier. Il est en expédition avec son équipage et son fils, pendant la guerre mondiale en Europe.



Pris dans les glaces le bateau doit être abandonné. S’ensuit une aventure où tous les dangers guettent : la folie, la faim, la mort…
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Oliphant

Des illustrations d’une grande beauté, des paysages à couper le souffle, une aventure humaine exceptionnelle… et pourtant, cet album ne m’a pas convaincue tant que ça.

J’avais vu passer récemment des avis très contrastés sur cette œuvre : pour ma part mon avis sera mitigé.

C’est une exploration polaire (dans l’océan glacial Antarctique, inspirée de l’expédition Shackleton) qui tourne mal ; survivre va requérir des compétences surhumaines, un moral d’acier et des choix drastiques. Cet aspect-là m’a beaucoup plu.

Au début de chaque chapitre, une double page aborde une question océanographique plutôt bien expliquée.

En revanche, les passages ésotériques, mystiques même, m’ont vite lassée, amenant des longueurs qui interrompent l’action sans lui donner davantage de sens.

Entre Histoire et magie, j’aurais préféré que l’autrice se décide…



Challenge Bande dessinée 2023
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Ba

« La montagne s’est fendue en deux. »

Le rythme est soutenu dès la première phrase : nous commençons le récit par une avalanche en haute montagne. La narratrice a alors 13 ans et sera sauvée par une femme asiatique vivant dans une cabane. Nous sommes en Alaska au temps de la ruée vers l’or. C’est un monde sans foi ni loi où le plus fort l’emporte. La nature n’est pas en reste pour imposer ses règles.

Roman d’initiation où une jeune fille et une femme font connaissance et apprenne à se faire confiance pour survivre.

Ce qui m’a le plus touchée c’est le récit de la narratrice qui nous livre ses souvenirs de l’époque alors qu’au présent de la narration elle a 103 ans. Elle dresse une sorte de bilan de son passé mais il semblerait que les émotions ressenties alors soient inchangées si longtemps après. Cette aventure a marqué sa vie à jamais et a sans doute orienté ses choix ensuite.

Un roman assez court (130 pages), riche en actions et rebondissements.
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Oliphant

C'est clair que quand on fait naufrage sur le continent de l’Antarctique, les chances de survie pour les rescapés sont pratiquement nul surtout en 1916. Cependant, il y a peut-être une chance de s'en sortir en essayant de gagner une base scientifique située sur une île à 700 km de là.



En effet, on a affaire à un capitaine très humain qui souhaite sauver tout son équipage d'une mort certaine. C'est une belle aventure humaine tirée d'une histoire vraie à partir d'une expédition qui avait mal tournée en 1916 à l'époque où la première guerre faisait rage en Europe.



Parfois, je peux ne pas aimer une BD qui pourtant objectivement recèle de bien de qualités. C'est le cas en l'espèce car je suis ennuyé à cette lecture où trop de bavardages ont nuit à la bonne fluidité du récit rendant ma lecture pénible surtout avec une telle multiplicité de personnages. J'ai trouvé cela assez déroutant dans l'ensemble.



Il y a également une variété d'audace graphique qui ne laissera pas indifférent. Moi, ce n'est pas trop mon genre. Alors voilà : j’ai fait un effort, mais je n’en ai pas été récompensé. Cependant, c'est magnifiquement mis en valeur dans un bel écrin.



Au final, je passe mon tour mais cela ne veut pas dire que ce titre ne mérite pas une attention particulière. Les thèmes sont intéressants comme la survie dans un milieu hostile, l'espoir de s'en sortir, la résistance humaine. Mais bon, le traitement ne m'a pas séduit.

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Oliphant

Parfois, le pinceau déambulant sur la feuille semble se laisser aller à une certaine mélancolie fragile et la lecture devient alors un moment de torpeur, on se sent envahi des mêmes sensations que les personnages du récit, un peu engourdi, comme dans un rêve, bercé de magie, le rêve devient un cauchemar, la mort pose sur nous un voile d’angoisse, le trait du pinceau tremble, devient brutal, il erre sur la feuille pour devenir faille, éclat, émotion. J’ai trouvé tout cela dans ce récit, beau et grave.



Il est directement inspiré du drame de l’expédition de l’Endurance au pôle sud en 1914 dirigée par Ernest Shackleton, mais l’auteur a changé tous les noms pour se permettre une certaine liberté avec la réalité, et avec cette liberté, il nous offre un récit magique, troublant et romanesque. Là où je trouve que Nick Bertozzi dans “Shackleton, l’odyssée de l’Endurance” s’était planté, Loo Hui Phang et Benjamin Bachelier excellent. Le graphisme interagit avec le scénario, il lui répond, une sorte de dialogue se crée. Au démarrage, les personnages apparaissent comme dans les meilleures bandes dessinées d’Hugo Pratt, ils échangent, on les découvre au fil de quelques paroles succinctes, quelques gestes et paroles. D’ailleurs, ce qui ne m’avait pas sauté aux yeux dans le roman graphique de Nick Bertozzi m’éclate ici en plein visage : le premier Corto Maltese, Ballade en mer salée, se passe exactement au même moment de l’Histoire.



Il y a le capitaine, Emerson Oliphant, paternaliste et lucide, Snark, un second qui ne parle pas très bien la langue, compagnon de longue date du capitaine, tatoué tel Queequeg, le harponneur dans Moby Dick, il y Walter Terence de Liddell, le jeune bourgeois, fils d’un des principaux mécènes de l’expédition, que le capitaine s’évertue à appeler Kerguelen, et Arkadi, le fils adoptif du capitaine, jeune drogué, qui va venir apporter de la modernité au récit, mais aussi sa part de magie, d’angoisse, de malédiction ou de bénédiction. Tous ces personnages semblent tout droit sortis des romans de Joseph Conrad qui, faut-il le rappeler, a aussi influencé Hugo Pratt.



Le contexte historique aussi a son importance, situant l’action en ce début de première guerre mondiale, leur aventure qui se tient à distance questionne alors sur l’envie de vivre, sur l’individu face à l’humanité, sur les valeurs humaines. Avec le personnage d’Arkadi, des sujets tel l’écologie, le rapport de l’homme à la nature sont évoqués, mais, parce que c’est un personnage un peu décalé, hors des normes, tel Cassandre, ces questionnements restent inappropriés aux yeux des autres personnages.



Chaque chapitre est introduit par une explication scientifique, accompagnée d’illustrations souvent abstraites, climatologie, météorologie, il est alors question de courants marins, de magnétisme… des notions anachroniques pour l’époque. Elles ne sont pas là pour justifier les propos des protagonistes, mais juste pour marquer la complexité des éléments face à leur petitesse et leur impuissance. C’est encore plus la représentation quasi abstraites qui va donner au récit sa force inquiétante au récit, le coup de pinceau devient lui-même acteur de l’histoire, violent, tourmenté, gestuel, imposant, les couleurs s’emmêlent, se salissent, sortent du cadre, il y a même une illustration en découpage qui vient s’intercaler.



Benjamin Bachelier nous propose ce que le médium peinture peut apporter de mieux, a peine une couleur est posée sur le papier qu’elle nous ouvre tout un univers et même tout l’univers, c’est magistral. Le scénario de Loo Hui Phang, teinté d’influences prestigieuses, Joseph Conrad, Herman Melville, Jack London… semble se mettre au service du dessin et non l’inverse.



J’ai lu là, une bande dessinée forte, originale, créative, innovante, romanesque, profonde, poétique, artistique… et j’ai eu un beau coup de cœur.
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Oliphant

Club N°52 : BD non sélectionnée mais achetée sur le budget classique

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C'est une aventure dans les eaux et sur la glace en Antarctique.



C'est aussi poétique et métaphorique.



Le froid de là-bas m'a saisi grâce aux personnages, aux dessins,...



Une BD à découvrir absolument !!!



Morgane N.

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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Le Legs de l'Alchimiste - Intégrale

Cette saga initialement en cinq tomes est regroupée ici dans une BD intégrale. On y retrouve, à tour de rôle, les six personnages principaux : Joachim Overbeck, Léonora Von Stock, Monsieur de Saint Loup, Maître Helvétius, Anna & Zaccharia. Chacun vit à une période différente (entre le XIXe et du XXe siècle) mais leurs destins se croisent et se lient grâce à un anneau. Tous sont de grands intellectuels hors du commun : un inventeur au cœur d’artichaut, une féministe conquérante, un visionnaire accompagné de deux femmes puissantes, un astucieux voyou, et un docteur ensorceleur.



Être en possession de l’anneau permet à son détenteur d’être le seul à voir et à entendre un esprit malin (et particulièrement drôle). Une fois au doigt, seule la mort peut rompre ce sort. De tome en tome, le lecteur remonte le temps pour suivre les aventures de l’anneau et de celles et ceux qui l'ont successivement possédé.

Entre magie noire, alchimie, histoire & société secrète. Une BD qui mérite d’être plus largement connue. Les dessins sont particulièrement beaux, et la touche d’humour est très appréciable.
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Oliphant

Ensemble, les deux auteurs, à la bibliographie déjà riche, signent là un de leurs plus beaux albums.
Lien : http://www.bodoi.info/olipha..
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Gatsby le magnifique (BD)

Adapter une œuvre telle que Gatsby le Magnifique reste problématique puisque le roman est emblématique. On retrouve ici le jeune Nick Carraway, qui va être proche de Gatsby, Daisy, l'amour de jeunesse du héros et son mari, le garagiste et son épouse frustrée et la belle sportive, Jordan Baker. Un homme monte très haut, éblouit le monde des riches et semble faire parti de celui-ci pour mourir de façon sinistre et se trouver rejeté...

L'histoire et les thèmes qui la nourrissent sont bien présents dans cette BD, mais comme remarqué par plusieurs, la figure de Gatsby, gagneur impénitent et mystérieux sous lequel se cache un amoureux transi manque de force. Il reste une belle imagerie, on tourne les pages avec plaisir, mais, surtout si on adule le roman, on reste un peu en retrait. C'est en tout cas ma position même s'il me paraît intéressant de proposer d'une œuvre phare des déclinaisons différentes. En tout cas, il s'est révélé adroit de quitter new York pour Shangaï.



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Oliphant

« Oliphant » réinterprète l’expédition de l’Endurance, avec Ernest Shackleton, et laisse place aux fantasmes des deux auteurs qui s’aventurent (aussi) aux confins des mondes intérieurs.
Lien : https://www.ouest-france.fr/..
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Oliphant

L’aventure d’un aventurier anglais et de son équipage ont inspiré la scénariste Loo Hui Phang et le dessinateur Benjamin Bachelier. Qui livrent un récit épique sur la résistance humaine, à la fois physique et mentale.
Lien : https://www.telerama.fr/livr..
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Oliphant

Benjamin Bachelier excelle également à traduire la majesté et l'immensité de ces zones inexplorées. Entre couleurs directes et peintures, parfois à la limite de l'abstraction, il propose une odyssée visuelle magnifique, à la fois spectaculaire et austère.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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Oliphant

La vie n’est pas un long fleuve tranquille et d’autant plus lorsqu’on brave les affres de la mer. Alors, quand le brise-glace passe de l’enlisement au naufrage, c’est tout un équipage qui se retrouve à terre. Que faire, sinon entreprendre de rejoindre par tous les moyens la Géorgie du Sud et voilà que l’expédition tourne au cauchemar.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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