Citations de Benjamin von Eckartsberg (56)
Nous sommes les premiers pilotes noirs de l'histoire des USA.
Travaillons le plus dur possible pour ne pas être les derniers.
Tous ceux qui sont nés le 6 juillet 1946 devront aller au Vietnam...
Je suis vraiment désolée mon fils, de ne pas t'avoir mis au monde un autre jour.
C'est une page de l'histoire que nous écrivons. Nous tenons entre nos mains l'avenir des soldats noirs de l'Army Air Corp.
Je veux juste servir mon pays, comme n'importe qui d'autre.
- Tu verras, les temps changent.
- Pas ici, en Alabama !
Vous êtes des sorciers qui vous adonnez à la magie noire.
Un mort ne peut plus mourir.
-Vous avez fait la guerre, Dr Scott?
-Oui, j'étais ranger dans la 3e armée de Patton.
-Marié?
-Depuis 15 ans.
-Alors vous savez qu'aucune guerre n'est plus effrayante que la femme qu'on aime.
Vitre arrière réparée. Ambiance complètement détruite.
"Pour un adolescent, rien n’est plus pénible que l’ennui."
Je suis certain d’une chose dans la vie : aussi arrogant qu’il puisse être, tout homme à un prix. Alors dites-moi, Monsieur Poirot, quel sera le vôtre ? Disons vingt mille dollars, cash ?
Pour un adolescent, rien n’est plus pénible que l’ennui.
- mais pourquoi un scientifique super intelligent ne trouverait pas un virus avec lequel on peut anéantir les rippers ?
- peut-être que ce virus pourrait aussi détruire l’Homme ?
-C’est étrange de voir à quel point ils sont calmes!
-La vue de ma virilité leur impose le silence, tu vois. Ha! Ha!
-Tu vois, Sal, c’est pour ça que nous ne voulons jamais t’avoir dans notre équipe. Parce que tu n’es qu’une espèce de grognon et de rabat-joie.
"Gung Ho" est un cri que l'on pousse pour se donner du courage, pour montrer qu'on n'a peur de rien. Son origine viendrait des soldats américains qui l'utilisaient lors de la Seconde Guerre mondiale. Par extension, ce cri désigne une tête brûlée, une personne téméraire.
"Et pourquoi tu nous dessines?
-Pour le tableau des souvenirs. Je fais un dessin de chaque habitant. Il est conservé jusqu'à ce qu'on meure.
Puis, il est accroché là, avec les portraits des autres disparus."
Vous n'êtes qu'un vieil homme brisé. Incapable d'être tendre avec votre fille !
- Pourquoi l'enterres-tu ici, si loin des autres ?
- Lorsque j'avais son âge, je suis tombé du sommet de ce chêne, sans me casser un seul os.
... J'ai toujours été d'avis que ce vieil arbre portait chance.
... Une bonne place pour le repos éternel.
"Je ne suis pas vieux, mais j'ai enterré de mes propres mains plus d'êtres chers que bien des vieillards...
... l'un après l'autre, ils m'ont échappé comme les perles d'un collier cassé.
... Mère, père, beau-père, belle-mère, fille... frappés, poignardés, brûlés.
... Seul mon fils Marius restait. Il devait être en sécurité ici, loin des dangers de ma vie de banni.
... Mais désormais, le flux de la mort l'emporte au loin et moi, je reste seul sur la rive."