Les êtres sensibles sont innombrables et très différents les uns des autres. Certains nous aident, d'autres nous blessent mais, parce qu'ils souhaitent le bonheur et refusent la souffrance, tous sont égaux. ( 5 avril)
Le Bouddha révèle à tout individu, quelle que soit son origine, qu’il n’est pas besoin de passer par l’intermédiaire des dieux ou des prêtres pour se libérer de ses chaînes. Ce faisant, il reconnecte l’homme avec la parcelle de divin qui sommeille en chaque être, semblant lui dire simplement : « Le chemin est là, devant toi ; tu n’as qu’à marcher… »
Aujourd'hui, je trouve que certains maîtres orientaux, qui s'entourent de fervents adeptes occidentaux, deviennent très imbus d'eux mêmes. Il en va de même pour les marchands et les commerçants. Lorsque leurs affaires marchent, ils en font étalage en portant bagues et montres de prix. Au Tibet, ils arboreraient des boucles d'oreilles coûteuses. Bien entendu, à long terme, les boucles ne font qu'allonger les oreilles, et rien de plus.
La superstition naît de ce décalage, de ce détournement de sens, de ce rajout hors des définitions habituelles qui se réfère soudain à un autre schéma mental et contribue à créer un nouvel ordre de pensée.
Un être spirituel s’incarne donc dans la matière, avec un corps comme support – tel un « véhicule », selon certains –, pour une durée plus ou moins longue, pouvant aller de quelques instants à plusieurs décennies, avec autant de nuances possibles dans la conduite et la perception de cette existence qu’il y a d’êtres incarnés. Telle est la portée visible, immédiatement perceptible, de toute vie humaine.
Réduire la femme à son corps ou à sa capacité à mettre au monde des enfants ne saurait présenter des caractéristiques essentielles relevant d’une quelconque « nature féminine » : ce ne sont que les effets pervers d’une éducation et de préjugés sociaux, lesquels n’ont rien d’inaltérables ou de permanents. Pour autant, afin d’être pleinement une femme il ne faut pas devenir un homme (faire comme les hommes, dans tous les domaines) : l’essence d’un être ne se définit pas en opposition à un autre être, mais en elle-même.
On devient femme par ses choix, son libre-arbitre afin de s’accomplir en fonction de sa liberté de penser, ses engagements au quotidien : c’est la liberté d’agir et de s’accomplir qui forge une personnalité, qui définit une nature profonde, qui au bout du compte humanise l’être vivant, le différencie des choses figées qui l’entourent, et finalement donne du sens à chaque moment, chaque situation d’une vie.
Les Egyptiens, les sages de la Chine ancienne, les Grecs, les Arabes, les Hébreux, les maîtres de la Renaissance avaient compris qu'approcher les nombres, en des rituels plus ou moins secrets et initiatiques, c'était gravir un à un les échelons de la révélation.
Les arbres ont toujours fait partie de la vie de l'homme. Ils l'ont nourri, protégé, réchauffé, et aussi fasciné par leur envergure, leurs tremblements discrets ou impétueux, leur aptitude à traverser le temps, imperturbables. Les arbres font ainsi partie de la magie de la vie, avec leurs mystères, leur stature impressionnante, leur cime dressée vers le ciel comme pour tenter de le rejoindre. Des plus anciennes civilisations jusqu'à nos jours, les arbres nous ont donné des leçons de vie, de majesté, de patience et d'endurance.
Le concept de " maison-thérapie " se propose de mettre en lumière tout ce qui, dans la maison et son proche environnement, peut faire du bien à ses occupants, contribuer à les ressourcer. éliminer ou détourner toutes les forces pouvant les affaiblir, concentrer naturellement les énergies positives pour mieux les aider à se prémunir des maladies ou des déficiences physiques. Notre lieu de vie prend ainsi des accents de source de jouvence, qui gomme allègrement les nuisances quotidiennes et les pollutions du monde moderne.
Ce qui renaît n’est pas le même et pas non plus autre.