Brad Meltzer

Le tueur vise systématiquement nos femmes. Une peau pare-balles ne protège pas du deuil.

Si tu veux un bon ennemi, prends un ami… il saura frapper où ça fait mal.

Quiconque enfile un costume trace une cible sur toute sa famille.

C’est l’histoire d’un mec… il a 90 ans et il est sur son lit de mort. À côté de lui, comme toujours, sa femme lui tient la main. Il lui dit « ça fait soixante ans qu’on est mariés… Quand j’ai été mobilisé pour la guerre, tu étais à mes côtés. Quand on a tout perdu en bourse, tu étais à mes côtés. Et là, je suis sur mon lit de mort, tu es toujours à mes côtés. Ma chérie, après toutes ces années, je tiens à te dire… que tu portes malheur ! »

Firehawk à Extensiman: "Green Arrow m'a dit que ton nez ne se tordait pas vraiment en cas d'énigme... et... et que tu faisais ça pour la presse."
Extensiman (dépité): "Green Arrow porte un chapeau pour masquer un début de calvitie."

Elle a rencontré Batman, Flash, Arthur, Hal...Elle a vue Hawkman avec sa poitrine velue. Elle a même plongée dans le regard bleu azur de Superman. Et elle m'a choisi, moi.

Je hais les cimetières. Et particulièrement celui-là. Mais pour entrer en contact avec un mort, il n'y a pas mieux.

-Et Bruce, alors ? Tu crois vraiment qu'il n'a pas compris ?
-N'oublie pas ce que je t'ai dit. Clark entend ce qu'il veut entendre.
-Et ?
-Bruce sait ce qu'il veut savoir.

Une ère s'achève quand elle a perdu toutes ses illusions.

Arthur Miller

Un jour Dr Fate m'a dit "la vie est un mystère". C'est faux. On sait comment ça finit. C'est juste une question de temps. Dans les romans, c'est différent. On s'inquiète pour le sort du héros presque tout de suite. Mais c'est pas réel. Il arrive jamais vraiment rien d'horrible au protagoniste d'un roman. Mais si l'histoire s'ouvre sur un personnage secondaire...

Je m'en fiche, dit-elle en lui prenant la main. On s'embrasse et on n'en parle plus.

Viv reporte son attention sur la salle d'attente, entourée de six portes closes, toutes numérotées de 1001 à 1005, sauf celle qui se situe juste en face de nous et qui porte le numéro 1005,09. Il n'y a qu'à la Fondation nationale pour la science qu'on peut voir les salles numérotées avec des décimales.

Si fou que ça paraisse, il est venu à Washington pour changer le monde. Le problème, c'est que dix ans après, c'est le monde qui l'a changé. C'est devenu un cynique de la pire espèce : de ceux qui ne savent pas qu'ils le sont.

... ça m'étonnerait que Harris se laisse prendre une deuxième fois.
- Foutaises ! Tout le monde se fait avoir deux fois. C'est pour ça que les présidents se font réélire.

Je ne sais pas à quoi elle pense, mais je refuse de parler. Je me suis toujours dit que les gens pouvaient communiquer en silence. Quelqu’un a appelé cela la digestion mentale. Ce qui existe entre les mots. ‘p. 191)