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Critiques de Buchi Emecheta (15)
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La cité de la dèche

Intéressant ce titre, non ? La "dèche", le dico nous dit que cela vient de déchéance/déchoir par apocope.



En anglais, le titre choisi par l'autrice est "In the ditch".

Proximité phonétique des plus heureuses. "ditch" signifie "fossé" et on sent toujours la proximité du sol, de la chute et de l'abîme.

La pauvreté, la dèche quoi, c'est un piège, un fossé profond dans lequel on s'embourbe et dont il est difficile de s'extraire.



En 1972 paraît ce premier roman de Buchi Emecheta, autrice nigériane, émigré au Royaume-Uni. On y fait la connaissance d'Adah.

Adah est une femme. Mère. De cinq enfants de moins de 6 ans. Célibataire car séparée de son mari. Noire. Émigrée en Angleterre. Pauvre.

Et comme les autres personnages de l'histoire, vous vous figurez déjà qui elle est, comment elle pense, quel a été et quel sera son parcours.

Comment aurait-elle pu échapper à ce glissement vers la cité de Gros-Minou, surnommée la cité de la dèche ?

Comment aurait-elle pu éviter cette étiquette des plus collantes de "famille à problème", de "parasite vivant des allocs" et autres charmants qualificatifs ?

Évidemment, dans son appart non chauffé, qui suinte l'humidité, avec les ados qui pissent dans la cage d'escalier et les chiens qui chient devant son appart, les voisines qui jettent leurs poivrots de maris à la porte, la crasse, les odeurs de poubelles, les ragots et les jours de famine, Adah ne mène manifestement pas la belle vie. Et pourtant, elle en arrivera à ne plus vouloir partir.



Buchi Emecheta est une autrice fort peu connue en France mais très appréciée Outre-Manche où ses oeuvres sont régulièrement rééditées. Elle a publié 16 romans, quelques livres pour enfants et une autobiographie, la majorité n'ayant jamais été traduits en Français... Quel dommage !

De fait, si vous voulez la découvrir, vous devrez vous contenter d'éditions qui ont plus de 20 ans, le choix sera restreint à 6 ou 7 titres et je vous souhaite bien du courage pour les trouver.

Néanmoins, maintenant que vous avez lu cette modeste chronique, vous pourrez peut-être, au détour d'un désherbage de médiathèque ou d'une flânerie chez une bouquiniste, croiser ce nom sans indifférence. N'hésitez pas à vous laisser tenter.



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Le double joug

Campus universitaire, amours de jeunesse, projets pour l'avenir.

La découverte du sexe, l'ascension sociale, l'amitié.

Peut-être que ça vous parle ?

Mais le contexte faisant tout : au Nigéria, début des années 80.



Double joug : la tradition, le patriarcat, l'appartenance sociale et tribale d'un côté, les études, les projets personnels, le désir d'émancipation de l'autre.

Le roman est construit sur cette tension que connaissent les jeunes Nigérians sous l'influence occidentale post-coloniale.



Ce court roman était intéressant mais j'en garde un souvenir mitigé. Selon moi, l'autrice est passée à côté de ce qu'elle voulait dépeindre dans une bonne moitié du roman : j'avais l'impression d'essayer d'examiner une peinture en observant le cadre (une analogie des plus poussives...désolé).

Et pour cause, le personnage féminin aurait dû avoir davantage de place dans ce roman qui se propose de montrer le double joug porté par les femmes en particulier. Ceci étant dit, le roman de Buchi Emecheta, écrit par une femme africaine, et publié au début des années 80, était déjà assez insolent pour l'époque.



A lire ! Et puisque le sexe faible a partout et de tout temps porté le fardeau des contradictions sociales, se nourrir des expériences de toutes ces femmes, réelles ou fictives, ne peut que nous inspirer.









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La dot

Buchi Emecheta est une Nigériane, née en 1944 à Lagos, décédée en 2017 à Londres. Elle a écrit LA DOT en 1976.



A toi Aku-nna, te souviens-tu quand Tatie Uzo nous racontait ses histoires pétries de leçons philosophiques à propos de ceci ou de cela près du poteau électrique, le soir venu? 



Ce récit se passe dans les années 1960, après la période coloniale Britannique. C'est un témoignage venu de Lagos. Dans une chaleur suffocante, Aku-nna est une jeune fille de 13 ans, studieuse, gentille, qui vit  son petit frère de 11 ans et leurs parents. 

Leur père fait de son mieux pour les protéger, notamment en ayant installé derrière sa porte d’entrée une gourde contenant de la potion magique, car un homme ne doit pas laisser sa famille sans protection. Son père met un point d'honneur à ce que ses enfants soient instruits, en les envoyant à l'école. 

Leur vie bascule quand ce dernier meurt. 



Aku-Nna et son frère partent avec leur mère. Ils doivent alors se rendre à Ibuza, un petit village reculé. Pour les enfants c'est une première déchirure, quitter Lagos, où ils ont passé leur enfance, où vivent tous leurs amis, où le corps de leur père repose dans une tombe sans nom. Ils sont submergés par l’émotion, mais ils n’ont pas le choix, c’est l'une des lois non écrites des enfants du Niger. 

Aku-nna est alors recueillie par son oncle polygame et aveuglé par son amour pour l'argent. Elle doit alors s'adapter pour vivre sous le joug des coutumes traditionnelles innombrables et immuables. Sa mère Ma blackie va devenir la 4ème épouse de son oncle, celle-ci est ravie de son sort.

Aku-nna va se rendre-compte assez vite que sa destinée va dépendre de son oncle et de ses traditions et non de ses propres choix.

Elle va devoir se battre pour sa liberté quand à 15 ans, elle a ses règles pour la première fois.

Aku-nna est réduite à constituer pour son oncle une dot juteuse, elle va être mariée de force par une nuit sans lune et étouffante… car les traditions en Afrique font que la femme n'est qu'une simple valeur pecunière.

Pour Aku-nna, c’est le temps de l’horreur.

Pour gagner sa liberté, elle va s'exiler avec celui avec qui elle jetait des bananes dans le Niger, c'est un esclave, qui est aussi son professeur avec qui elle vivra une grande passion amoureuse et de grands renoncements. 



L'autrice Buchi Emecheta décrit la dualité forte entre les mœurs traditionnelles Africaines vues comme démodées et les mœurs Européennes,vues comme modernes par les habitants du Nigeria. Les croyances païennes ou chretiennes. Ce peuple se trouve alors à bricoler un assemblage malheureux des deux et se retrouvent entre ces deux croyances.

C’est une Afrique en pleine mouvance dans laquelle évolue Aku-nna, notre héroïne et d'une ville et d'un village à l'autre, les traditions et les mentalités diffèrent.



L'autrice à la plume franche, intègre et sans lyrisme dénonce en 10 chapitres bien rythmés, la dignité des femmes qui est réduite à néant, leur place dans la société.

Ce livre m'a fait bondir, frémir et des passages m'ont fait hurler.

Buchi Emecheta je veux vous rendre hommage, je vais lire tous vos livres dans lesquels j'ai hâte de retrouver votre révolte, et votre combat pour les femmes africaines, et les opprimés.
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La dot

Un livre qui me revient en mémoire bien des années après l'avoir lu.

Si j'ai envie d'en parler, c'est parce qu'il m'a marquée, et même émue.

Le sujet : le sort des femmes en Afrique ( là, c'est au Niger). le livre est présenté sous forme de roman, une sorte de saga même, avec des rebondissements.

Il est bien écrit, avec sensibilité ,sans pour autant tomber dans le pathos.

Il évoque le sort des femmes mais aussi des peuples écartelés entre modernisme et tradition, souvent fragilisés, perdus parfois.Surtout la jeune génération.

A relire peut-être actuellement pour mieux comprendre comment dans certaines contrées isolées existent encore des populations prisonnières de lourdes traditions, maintenues dans l'obscurantisme.

Pour mieux comprendre aussi l'ampleur des difficultés que rencontrent ceux qui veulent s'en extirper.

Pour les femmes, c'est encore plus difficile, bien sûr, insurmontable pour certaines...

C'est une lecture facile et rendue intéressante par la forme. L'intérêt principal est le témoignage de cette auteure, la réflexion qui en découle et l'envie de poursuivre l'investigation, juste pour mesurer ( si besoin était ) les effets pervers des endoctrinements divers et variés.
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La dot

poignant et triste mais l'espoir est présent pour l'avenir.

effacer les idées de mésalliance et le funeste sort fait aux Femmes d'Afrique et d'ailleurs.
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Les enfants sont une bénédiction

Un livre bouleversant sur la condition de la femme au Nigeria sur plusieurs générations.



Un récit passionnant tant le destin de chacune de ses femmes nous rappelle les combats féministes passés et s’inscrit parfaitement dans ceux d’aujourd’hui : lutte contre les violences des femmes, l’égalité entre les hommes et les femmes deviennent réalité…



Dans ce roman, on s’attache immédiatement à chaque personnage et l’écriture simple et fluide nous permet une immersion totale si bien que je me voyais avancer dans les pas de l’héroïne. Une mère courage.



La résilience est déconcertante chez cette femme.



Son courage ne réside pas dans un combat pour améliorer sa propre condition mais dans celui de subvenir aux besoins de toute sa famille, ses enfants sont sa priorité.



Battue, humiliée, elle reste fidèle à son mari, aux traditions/coutumes.



Dans ce roman, le désir d’enfant vs « une femme n’existe dans la cité que dans le rôle d’une mère » est pour moi le principal sujet du roman.



En tant que mère, faire plaisir à ses enfants et les voir heureux étaient son seul salut. Pour le père, bien au contraire, les enfants doivent aider leurs parents et subvenir à leurs besoins. Chaque enfant du couple va vivre sa propre vie sans réellement se soucier de leur mère, encore moins de leur père. Une autre question prédomine également tout le long du roman : Qu’attendons-nous finalement de nos enfants, de nos parents ?
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Citoyen de seconde zone

Quel magnifique roman! Quelle puissance !

J'ai découvert ce roman sur les bancs de l'université et j'en conserve un souvenir extrêmement fort. La lutte d'une femme et qui plus est d'une femme noire dans le Londres des années 60, d'une mère de 5 enfants qui a pour épée de Damoclès, la précarité et l'isolement qu'elle subit quotidiennement.



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Citoyen de seconde zone

Ce livre retrace le parcours d’une jeune Nigériane qui quitte son pays afin de rejoindre son mari installé en Angleterre. A travers le récit de son enfance et ses premiers pas en tant qu’adulte, c’est la position de la femme qui est dressée dans ce pays africain. Loin d’être égalitaire vis-à-vis des hommes, Adah va être confronté de nouveau à des discriminations en Angleterre à cause de sa couleur de peau et de la persistance des mentalités de la communauté africaine. Ce livre se lit très facilement et permet de découvrir le combat d’une femme pour essayer de faire bouger les lignes. Le personnage Adah semble très proche du parcours de l’auteur. Je le recommande vivement.
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Les enfants sont une bénédiction

A lire absolument pour ce personnage attachant de "super mother" nigérianne aux prises avec les difficultés de la vie au coeur d'une ville tentaculaire : LAGOS.
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Citoyen de seconde zone

Adah n'a qu'un rêve : aller à l'école le plus longtemps possible, étudier et partir au Royaume-Uni. Avec acharnement, elle va tout faire pour le réaliser et ce n'est pas une chose aisé pour une fille, considérée comme tout juste bonne à rapporter de l'argent à sa famille grâce à sa dot. Malgré les pressions familiales elle arrive à poursuivre ses études et rejoint un jour son mari Francis en Angleterre. Là elle découvre la vie d'une "citoyenne de deuxième classe", que les Blancs qu'on lui avait appris à considérer comme des êtres supérieurs sont "aussi faillibles que les autres", qu'elle ne peut plus compter sur l'aide du clan familial pour élever ses enfants... Mais aussi, petit à petit, elle découvre qu'en Angleterre, elle peut s'assumer entièrement et fait le dur apprentissage de la liberté.

Adah subit tous les malheurs du monde : la pauvreté, la faim, son mari la bat et vit à ses crochets. On pourrait être rebuté par tant de misère...



la suite sur http://leslecturesdeclarinette.over-blog.com/article-5076278.html
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La dot

Il y a quelques années j’ai découvert « La Dot » de l’auteure nigériane Buchi Emecheta et je ne me rendais pas compte à quel point ce livre serait une illumination pour le lecteur que je suis, mais de façon totalement personnel. La force du roman.



Commençons pas le commencement. « La Dot ». Retour ligne automatique

De ce roman, dont on peut tirer d’innombrables leçons, toutes aussi intéressantes les unes que les autres, soulignons juste le fait qu’il mette en scène l’imposante et forte « Ma Blackie », femme qui devra faire tous les sacrifices, notamment celui de céder au du Levirat, afin d’élever, en veuve, ses deux enfants Nna-Ndo et Aku-Nna. Je mets de côté toutes les péripéties que devra affronter cette famille ; les humiliations, les renoncements, les concessions de Ma Blackie, pour me focaliser sur le destin de Aku-Nna. Retour ligne automatique

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Cette famille de Lagos, grande ville plongée dans la modernité, va devoir déménager pour Ibuza, village reculé du Nigéria et va devoir vivre, subir, une belle-famille engoncée dans ses traditions, machiste et superstitueuse. La jeune fille, Aku-Nna, brillante et jolie, va tomber des les nasses amoureuses de Chiké, ‘instituteur du village. Là, on se dit que l’on tombe sur une amourette banale d’une fille issue d’une famille noble que la famille refuse catégoriquement à un homme, bien qu’intellectuel, bien que fils de commerçant riche, descendant d’une lignée d’anciens esclaves.Retour ligne automatique

Ce qui m’avait frappé, à l’époque de ma lecture, c’était la manière dont le clan de Ezechiel Odia, le défunt mari, c’était retrouvé déclassé par rapport à la société nigériane. Le clan, issu de l’ethnie Ibo, n’est plus fait que d’analphabètes, de poivrots conservateurs et totalement rétrogrades. Et Chiké, fils d’ancien esclave, représente ceux qui dans la société nigériane sont les nouveaux tenant du pouvoir. C’est cette dichotomie qui m’avait marqué. L’irruption des blancs dans les sociétés nigérianes a provoqué le changement de paradigme car les père-blancs catholiques, en obligeant à la conversion au christianisme, ont également poussé les parents à envoyer leurs enfants à l’école missionnaire. Mais contrairement à La Grande Royale, tante de Samba Diallo personnage principale de l’immense « Aventure Ambigüe » de Cheikh Amidou Kané, les nobles Ibos refusèrent d’envoyer leurs fils à l’école de blancs. Là où le chef des Diallobés écoute sa sœur et envoi son fils, futur chef de clan, en Europe afin « d’apprendre cet art de vaincre sans avoir raison », les parents et grand-parents de Okonkwo et Ezechiel Odia ont choisi d’envoyer les fils d’esclave à l’école, ceux qui, selon eux, ne servent à rien et ont le sang assez impure pour perdre le temps à apprendre des choses qui ne servent à rien. Retour ligne automatique

Deux générations plus tard, les Ibos se retrouvent dans une société sans dessus dessous où ceux qui détiennent le pouvoir ancestral, l’autorité culturelle, ne sont plus aux manettes du pouvoir administratif, politique et économique. Et l’on a la situation, que l’on retrouve aujourd’hui encore, au Mali par exemple, où une famille de cul-terreux interdit formellement une union avec un prétendant fortuné car « issu d’une caste basse ».



(Suite sur http://loumeto.com/mon-cote-fun/narcisse/article/la-dot-de-buchi-emecheta-ibos-et)
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Citoyen de seconde zone

Ici le citoyen de seconde zone, c'est la femme : elle est sacrifiée au bien-être de son mari, de sa belle-famille et de ses enfants, mais ce sacrifice-ci est volontaire... en venant en Europe, Adah va remettre en question l'échelle des valeurs à laquelle elle était éduquée.J'ai aimé ce roman qui m'a rappelé une amie nigériane de la fac. Elle aussi s'était échappée pour être plus libre en France. Au prix de plusieurs ruptures, comme l'héroïne du livre.



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Les enfants sont une bénédiction

Buchi Emecheta s'attache d'abord à décrire la diversité des cultures au sein d'un même pays. Nnu Ego est d'abord déroutée du métier de son second époux, puis d'autres coutumes qui ne sont pas celles de son village. Elle doit s'adapter, et ne comprend pas toujours pourquoi. Par exemple, elle trouve dégradant que Naïf s'abaisse à travailler pour «l'homme blanc». Elle est pourtant bien forcée de reconnaître que cela l'aide à vivre.



C'est également un monde en mouvement que dépeint l'auteur. Les choses bougent, certains enfants de notre héroïne savent qu'ils s'en sortiront par les études, et leur ambition les fait agir de manière que leur père ne comprend pas. Nnu Ego en souffre, mais elle sait que les enfants agissent pour leur propre bien, et ne leur en veut pas de cette espèce d'individualisme. Pourtant, ils ne sont pas ingrats. C'est seulement qu'ils ne peuvent pas aider leurs parents financièrement tout en payant leurs études.

Les filles aussi, à leur manière, veulent échapper au joug paternel et au destin qui leur est tracé, car elles souhaitent que leurs maris leur plaisent.

[...]

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Lien : http://www.lalivrophile.net/..
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Gwendolen

Gwendolen est élevée par des gens qui ne savent pas communiquer, qui sont un peu rustres... D'abord, sa grand-mère, puis ses parents. En effet, elle finit par se rendre en Angleterre, chez ses parents.

C'est une très gentille petite fille qui ne rêve que de l'amour de ses parents. Elle est prête à donner sa confiance à qui se montre chaleureux avec elle. Malheureusement, elle évolue au milieu de personnages trop simples.

Sa grand-mère la comprend, mais la pauvreté la rend aigre.

Sa mère ne voit en elle qu'une boniche. Plus tard, on pense qu'elle saura la comprendre, mais non. La superstition reprend le dessus, et elle ne veut pas voir la détresse de sa fille. La souffrance et la colère l'aveuglent. Elle finira quand même par comprendre ce qui se passe.

[...]

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Gwendolen

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