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Citations de C.J. Lyons (24)


Elle devrait aimer cet homme – quelle femme saine d’esprit ne l’aimerait pas ? Il était doux, attentionné, honnête, beau, et ce soir il avait prouvé son courage. Elle était attirée par lui, appréciait sa compagnie… Peut-être était-ce de l’amour ? Peut-être attendait-elle de ressentir quelque chose qui n’existait même pas ? Comment diable était-elle censée savoir ?
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Il n’était ni patient, ni philosophe, ni brillant, et n’avait pas bon caractère. Il faisait simplement son boulot, en s’efforçant au maximum de ne pas retomber deux fois dans les mêmes erreurs.
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C’est le vin qui parle. Tu me connais : un verre et je raconte des bêtises. Ce soir, j’ai presque bu une bouteille entière, je n’ai laissé que de quoi avaler mes médicaments. Un an. C’est censé être la durée du deuil. Une année, c’est tout ce qu’ils te donnent. Eux. Qui sont-ils, eux, de toute façon ? On les emmerde.
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C’était plus facile quand il y avait école. Je restais tard, me portais volontaire pour toutes les activités extra-scolaires auxquelles je pouvais participer, en évitant à tout prix le couloir où se trouvent la crèche et les petites classes, préparant mon trajet pour échapper aux rires des enfants de l’âge de Josh comme si je traversais un champ de mines.
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Une étincelle de rire est née en moi et est montée, comme la mousse dans une bouteille de bière qui a été trop secouée. Je n’ai pas pu l’empêcher de déborder.
J’ai tellement ri que j’en ai pleuré. Et une fois que les larmes se sont mises à couler…
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Quoi que dise son père, elle ne quitterait pas la fac, et elle ne renoncerait pas à son rêve. Il pouvait la mettre à la porte, lui couper les vivres, elle s’en fichait.
Sauf que non. L’argent lui importait peu – même si elle ne savait pas trop quel genre de travail elle pourrait trouver –, mais l’opinion de son père comptait pour elle. Quand elle était petite, la pire punition qu’il pouvait lui infliger, c’était de ne plus lui adresser la parole. Aujourd’hui, Maria était une adulte, mais elle avait quand même besoin de lui, besoin de l’amour de son père.
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Les filles mûrissent plus vite que les garçons
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L’âge, pour lui, signifiait obsolescence, perte de contact avec le « monde réel » où, seules, sa présence d’esprit et ses capacités lui permettaient d’échapper à la mort. C’était pire que d’être redondant, cela signifiait être inutile.
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Ce qu’il y a de bien, avec la technologie, c’est qu’ils n’ont pas besoin de rester à portée de voix pour tout écouter.
Le Bureau équipait systématiquement les téléphones portables de micros omnidirectionnels et d’enregistreurs. Mais, même si les appareils pouvaient enregistrer en toutes circonstances, ils ne pouvaient pas envoyer de signal à l’équipe en renfort s’il n’y avait pas de réseau.
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Cette fille est une bombe prête à exploser.
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Devait-elle être un loup dans un costume d’agneau ou un agneau dans un costume de loup ? Ils avaient pour habitude de traiter les femmes comme leur propriété. Fallait-il être humble et docile ?
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Fouine était petit, à peine un mètre soixante-dix, mais il compensait en étant le plus vicieux des enfoirés que Goose ait jamais rencontrés. Le gars avait la quarantaine, une tête de belette qui collait à son surnom, le crâne rasé marqué d’un tatouage des Faucheurs, et une foule d’ex-femmes et de petites amies, toutes plus radasses les unes que les autres.
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Il y avait plus de jugement dans le silence de sa mère que dans le coup de marteau du juge.
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Caitlyn ne faisait pas dans la relation sérieuse, elle ne l’avait jamais fait. Elle n’avait que des liaisons qui duraient un peu plus longtemps que la moyenne et qui se finissaient en engueulades, avec les hommes qui partaient en colère, blessés dans leur ego, et elle qui soupirait de soulagement de l’avoir échappé belle.
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L’adrénaline. Ça déforme tout. La bonne nouvelle, c’est que ça affecte également les méchants. Ils ont les mêmes limites.
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D’après la rapidité de sa croissance et la valeur de ses actions, qui ne cessait de monter en flèche, les tissus humains étaient une denrée très monnayable.
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Apparemment, l’argent ouvrait encore plus de portes au Mexique qu’à Miami, car Caitlyn et les Alvarado franchirent la douane à la vitesse d’un éclair. Après un bref trajet en taxi, ils furent introduits dans le bureau du chef de la sécurité du Rêve des Caraïbes, Ian Broadman, dont on leur promit qu’il ne tarderait pas à les rejoindre.
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La jungle était un curieux mélange de petits arbres qui luttaient pour obtenir une parcelle de lumière du jour et de géants végétaux qui s’élançaient vers le ciel avant de déployer leurs branches. Les uns comme les autres conspiraient pour retenir Maria prisonnière d’une bulle d’humidité et d’ombres.
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Se planquer, c’était ce qu’elle faisait le mieux. Sur le plan émotionnel, ça consistait à dissimuler la souffrance d’une enfance solitaire, à essayer constamment de se montrer digne de l’amour de son père, ou à s’échapper dans le monde des livres et de son imagination. Sur le plan physique, elle avait un don pour détecter les choses cachées. Son père disait que sa vision valait mieux que des lunettes 3D  : il lui suffisait de regarder quelque chose pour le traduire en dimensions multiples. C’était grâce à ça qu’elle avait pu localiser le temple à partir des images-satellites du professeur.
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Les seules personnes qu’elle aperçut furent un fermier amish et ses fils qui labouraient un champ dans le lointain. Leurs charrues, tirées par des chevaux, soulevaient un nuage de poussière dorée qui scintillait dans la lumière de mars. Difficile de croire que ces gens vivaient dans la même réalité qu’elle.
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