Les Anciens Canadiens - Il s'agit du livre de Philippe-Aubert de Gaspé,
de l'oeuvre la plus populaire peut-être qu'il y ait dans notre littérature canadienne. Nulle part nos anciens n'ont été mieux racontés, mieux décrits, photographiés et ressuscites : et s'il n'est pas nécessaire que la critique rappelle ce livre à l'attention et à la sympathie du public, peut-être n'est-il pas inopportun qu'elle essaie d'en préciser la valeur, et de définir, à l'aide des documents qu'il nous fournit, l'esprit qui l'a conçu.
𝓵𝓮𝓼 𝓭𝓮𝓻𝓷𝓲𝓮𝓻𝓼 é𝓿è𝓷𝓮𝓶𝓮𝓷𝓽𝓼 𝓵'𝓪𝓿𝓪𝓲𝓮𝓷𝓽 𝓭é𝓯𝓲𝓷𝓲𝓽𝓲𝓿𝓮𝓶𝓮𝓷𝓽 𝓬𝓸𝓷𝓿𝓪𝓲𝓷𝓬𝓾𝓼 𝓺𝓾'𝓲𝓵 𝓯𝓪𝓵𝓵𝓪𝓲𝓽 𝓵𝓮 𝓹𝓵𝓾𝓼 𝓼𝓸𝓾𝓿𝓮𝓷𝓽 𝓪𝓽𝓽𝓮𝓷𝓭𝓻𝓮 𝓵𝓮 𝓹𝓲𝓻𝓮 𝓭𝓮𝓼 𝓪𝓾𝓽𝓻𝓮𝓼 𝓪𝓯𝓲𝓷 𝓭𝓮 𝓷𝓮 𝓳𝓪𝓶𝓪𝓲𝓼 ê𝓽𝓻𝓮 𝓭éç𝓾.
Pour la premiere fois, Marion comprit que sa famille avait d'elle l'image d'une pauvre nunuche qui croyait encore que Disney n'avais pas menti sur toute la ligne niveau Prince Charmant ou qui s'attendait à voir débarquer à sa porte une réplique de Colin Firth, en haut de forme si possible. C'était pathétique. Et blessant.
Noël, ce n'est pas se précipiter pur aller toujours plus vite, c'est savoir prendre le temps, savoir patienter pour mieux apprécier. (...) Ce n'est pas reporter les bons moments au lendemain, c'est savoir profiter de chaque moment avec les gens que l'in aime. Ce n'est pas arrêter d'y croire parce qu'on a passé l'âge, c'est y croire encore et toujours parce que la magie est précieuse.
Juste une question. C'est quand la dernière fois que tu as permis à quelqu'un de passer la tranchée que tu as creusé autour de toi?
Pour cette famille, c'est ce Noël qui compte. C'est de pouvoir profiter de ces moments en famille. Maintenant. Pas dans un an. (...) Chaque moment est important. Précieux. Il faut profiter de chaque instant qui s'offre avec les siens. Cette famille se fiche que le dessous du sapin déborde de cadeaux si cela signifie qu'ils ne sont pas tous ensemble ...
Elle préfèrerait que son hymen se ressoude de lui-même que de finir avec un type de ce genre.