Catharina Ingelman-Sundberg

Je trouvais que le titre était rigolo et comme c’était une petite trouvaille chez Emmaüs, je me suis dit pourquoi pas ?!



Ben, finalement le titre est en énorme contraste avec le contenu de ce roman. Je n’ai pas rigolé, mais je me suis plutôt ennuyée. Je ne sais pas si c’est lié à la traduction française ou au style de l’auteur, mais je ne suis pas arrivée à m’approprier l’histoire. Beaucoup d’informations tirées en longueur qui n’ont aucune valeur ajoutée. J’ai mis du temps pour le terminer, mais j’aurais mieux fait de l’abandonner.



On passe à autre chose.



Challenge ABC

Challenge Plumes Féminines

Challenge Multi-défis

C'est vrai que lorsque l'on est dans un maison de retraite et soumis à des restrictions constantes (de nourriture, de couvre-feu le soir, de sorties, d'exercice) et que l'on voit à la télévision des reportages sur la vie en prison, du moins dans les pays scandinaves, on peut envier le confort de vie des prisonniers: nourriture de meilleure qualité, sorties dans les espaces extérieurs de promenade, séances de sport ....

De fil en aiguille en peut en venir à souhaiter échanger sa place en maison de retraite contre une place en prison, et le groupe de nos cinq héros octogénaires en déambulateur vont s'y employer en commettant des délits passibles de un ou deux ans de prison ferme, comme des vols et un braquage de banque ....

Bien raconté, et même avec un certain suspense, ce livre se situe dans le lignée de "Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, de Jonas Jonasson, un petit cran en dessous cependant: on sourit souvent, on a envie de connaître la suite, c'est bien fait même si on rit un petit peu moins.

Il faut dire que faire rire à jet continu c'est très difficile dans tous les domaines, et notamment en littérature: tout le monde ne s'appelle pas John Kennedy Toole, indépassé à ce jour avec "La conjuration des imbéciles".

Bonne traduction de Hélène Hervieu

Je viens juste de finir ce roman et je me suis régalée :)

Cette bande de personnes âgées est sympathique, ils sont tout cinq différents mais complémentaires. Ils s'ennuient dans cette maison de retraite et vont tout faire pour en sortir.

Leurs aventures sont rocambolesques et il y a beaucoup d'humour.

J'ai aimé l'histoire, les personnages et je trouve l'ensemble bien ficelé.

Encore un roman que je recommande :)

J'ai eu beaucoup de mal à le finir...pas drôle du tout !!

Ce livre m'a tout de suite attirée par son titre qui laissait présager une bonne dose d'humour. Je n'ai pas été déçue. Comment braquer une banque sans perdre son dentier, c'est l'histoire d'une joyeuse bande de petits vieux attachants qui s'ennuient dans leur maison de retraite et décident de se recycler dans le crime ! Après tout, quand on n'a rien à perdre, on a tout à gagner... C'est à peu près ce que se disent Stina, Märtha et Anna-Greta, accompagnées par leurs deux chevaliers servants, le Râteau et le Génie. Et si leur petite aventure venait à tourner court, après tout, les repas que l'on sert en prison ne seront jamais pires que ceux de la maison de retraite.

Ce livre est un concentré d'humour. Les personnages ont tous un caractère bien à eux, de la chef de bande méticuleuse qui ne laisse rien au hasard jusqu'à la boute en train au rire retentissant. Ces novices du grand banditisme volent des tableaux de maîtres comme des enfants chaparderaient des bonbons. Ils sont fiers de leurs exploits et sont les premiers à en rire. Et qui irait soupçonner ces délicieux grands-parents ? L'aventure semble même un peu trop facile, jusqu'à ce que la police s'en mêle...

On passe un excellent moment, on sourit de bout en bout. Un livre qui donnerait presque envie de vieillir !

C'est un scandale: on est mieux traité dans les prisons suédoises que dans les maisons de retraite! C'est du moins ce que pensent Märtha, Stina, Anna-Greta, le Génie et le Râteau; aussi, nos cinq octogénaires vont-ils se faire la malle afin de commettre un hold-up et aller en prison où, pensent-ils, ils seront mieux que dans leur maison de retraite "Le Diamant" où la nourriture est infecte, où ils doivent être au lit à 20 heures , où ils n'ont pas le droit de faire du sport ni de sortir... Evidemment rien ne se passe comme prévu et de coffres-forts vidés en vol de tableaux nos cinq sympathiques vieillards vont vivre des émotions fortes. C'est un roman drôle et léger, un peu long au démarrage, un moment de lecture ludique qui nous interroge quant à la perception des personnes âgées et à la place que nous leur accordons dans notre société occidentale. Décidemment, nos amis Scandinaves après nous avoir prouvé qu'ils maîtrisaient parfaitement les règles du polar avec des auteurs comme Stieg Larsson, Camilla Läckberg ou Arnaldur Indridason; semblent déterminés à nous montrer qu'ils savent aussi rire et faire rire! Attention donc après Jonas Jonasson, voici Catharina Ingelman- Sundberg...

Märtha et ses amis vivent dans une maison de retraite où ils s’ennuient et les coupes budgétaires qui suppriment les petits plaisirs quotidiens n’arrangent en rien la vie monotone de ces cinq retraités. Ils décident donc de commettre un vol dans un musée pour finir en prison car ils pensent que la vie y sera bien meilleure. Mais tout ne sera pas aussi simple qu’ils le pensaient…

Le titre prête à sourire et je pensais passer un moment cocasse avec les péripéties de ces cinq personnes âgées mais malheureusement je n’ai pas réussi à trouver un grand intérêt à cette histoire loufoque que j’ai trouvée trop invraisemblable, trop tirée par les cheveux sans doute ! Je me suis ennuyée même et eu bien du mal à terminer ce roman. Dommage…

C'est un bon roman feel-good, parfait pour cette période de l'année. Néanmoins, j'ai trouvé le milieu du roman long. En effet, l'action ralenti sans que ce soit utile, selon moi. Mais rapidement, l'intrigue repart. L'histoire est bien ficelée, les personnages sont marrants et bien stéréotypés.

Catharina Ingelman-sundberg : comment lire ce livre sans en perdre goût



Catharina ingelman-sundberg, “ comment braquer une banque sans perdre son dentier “ paraît comme une marque vestimentaire bas de gamme essayant d’entrer dans le monde la haute couture française.

L’ouvrage dont fait sujet cette critique se nomme « comment braquer une banque sans perdre son dentier », écrit par Catharina Ingelman-Sundberg notamment connue pour la série d’ouvrage se nommant senior League.

Ce livre nous parle d’une bande de personnes d’un certain âge vivants dans une maison de retraite, où la vie y est morose, la nourriture fade, et où rien ne donne envie d’y rester. Tous ces éléments font que cette bande de vieux amis vont chambouler leur quotidien d’une manière peu commode, ils décident de braquer des banques au risque d’une meilleure vie en prison, mais très vite l’histoire tourne au désastre.

Afin de débuter, le sujet de cette histoire parait bien comme la seule trace de qualité dans toute la gamme monotone de l’histoire, cette intrigue se fait donc voir comme des fermetures en or sur des chaussures faites à base de faux cuir. Ainsi commence l’histoire, dommage que le reste de la tenue tourne au désastre visuel.

En poursuivant, ce livre comporte un nombre de pages un peu trop conséquent pour ce que l’histoire devrait réellement faire, et cela pousse le lecteur à abandonner la lecture de ce récit, dû au nombre trop conséquent de motifs sur l’ensemble de la tenue. Le lecteur subit forcément une démotivation qui parfois se transforme même en un arrête définitif de la lecture vers son milieu.

Ensuite, en lisant ce livre, un lecteur ayant une quinzaine d’année peut très bien penser que la gamme d’habits produits par la suédoise ciblent une clientèle type, qui s’apparenterait à toute personne ayant plus de 40 ans, un jeune de 15 ans peut très bien aimer ce genre d’écriture mais très peu apprécient vraiment, le style d’écriture et l’humour de Catharina passe chez un jeune lecteur comme « vieillot », dommage car cela gâche l’intrigue, le sujet et le titre accrocheur du livre, les reliures ont mal été cousues et auraient dû contenir des fils un peu plus jeunes.

Comme cette critique le montre bien, de l’avis d’un jeune lecteur, la lecture se compare à une marque très bas de gamme produite par un haut couturier français, l’estime de Catharina se situait bien hautes par rapport à ce qu’elle a produit.

Le titre m'a de suite attiré. Plein d'humour, je me disais que tout le livre devait être de ce style. Je me suis trompée, ou plus exactement, je n'ai pas compris le sens de l'humour suédois. Je ne vois pas d'autres explications.



Bref, après un démarrage très difficile, il m'a fallu deux semaines pour lire les deux cent premières pages, j'ai enfin trouvé un peu de plaisir à lire, avec quelques aventures un peu plus mouvementées. C'est pourtant très bien écrit, mais ce n'est surtout pas mon style. Il y manque un peu de magie, de fantastique ou de castagne. Qu'attendais-je donc en lisant les tribulations de ces personnes âgées, suédoises de surcroît ?



Cela dit, le travail de recherche et l'imagination de l'auteur quand à la façon dont ces nouveaux truands vont réaliser leur différents méfaits est assez impressionnant. Mais on ne m'y reprendra plus, même si je suis certaine que ce livre plaira à beaucoup, ce n'était pas pour moi.

L'auteur, à travers ce roman, m'a fait passé un vrai moment de détente. Nous suivons l'aventure des cinq séniors qui décident de tout plaquer et fuir cette maison de retraite ennuyeuse à mourir pour faire le casse du siècle ! Les comparses tour à tour, grincheux, joyeux, loufoques mais surtout attachants nous font vivre des moments uniques et des situations totalement ubuesques ! Ce qui est d'autant touchant c'est qu'à travers les pages, l'auteur ne manque pas de nous ramener aussi à une triste réalité !

J'ai trouvé ce roman terriblement d'actualité avec la description de la vie en maison de retraite avec la nourriture réduite, les économies pour toutes les activités et les interdictions de sortie. A tel point que les personnages ont l'impression qu'ils seront plus heureux en prison !

Le roman est agréable à lire, les cambriolages un peu tordus ce qui est amusant, ce sont tous les problèmes physiques qui les handicapent pour mener à bien leurs vols.

des délires en permanence, en suivant cette joyeuse bande de retraités tous aussi fous les uns que les autres, on ne regarde plus les vieux de la même façon!

Si vous êtes en maison de repos nul doute que ce petit roman devrait être un bon moyen de vous évader. Ceci dit, le thème n'est pas nouveau; en 1974 sortait sur les écrans Home sweet home, film franco-belge de Benoit Lang racontant la révolte des pensionnaires d'un home pour retraités.



Un livre agréable à lire, léger, plein de tendresse et qui vous fait sourire, ce n'est déjà pas si mal pour passer un bon moment. Peut-être qu'avec 100 pages de moins il y aurait plus de rythme et l'humour serait-il plus enlevé ? Sûrement qu'il serait plus facile à tenir en mains pour des petits vieux qui n'ont pas tous la capacité d'encore faire de la gym à plus de 80 ans.



Pour un humour plus jubilatoire et plus de profondeur je vous recommanderais le Producteur de bonheur de Vladimir Minac que je viens de lire récemment et qui semble délaissé par les lecteurs, lectrices de Babelio.

Impossible, dès la,première page, j ai abandonné. Pas mon style même si je suis sure qu il est très drôle

Titre original suédois : "kaffe med rän" traduction française : "café avec du riz", c'est quand même plus simple mais certainement moins vendeur !

C'est drôle, bien écrit, sans prétention.... livre de détente.

Plaisir un peu gâché par les souvenirs un peu trop présents des livres de Minna Lindgren .... même recette, même volonté de casser les tabous relatifs à l'âge.

D'un côté nous avons,

Catharina Ingelman-Sundberg, auteur suédoise très populaire. Elle a commencé sa carrière en tant qu’archéologue sous-marin et a participé à plusieurs explorations, à la recherche, notamment, de drakkars ensevelis. "Comment braquer une banque sans perdre son dentier" est paru en Suède en 2012.

De l'autre,

Minna Lindgren, journaliste finlandaise connue pour ses éditos farfelus. En 2009, elle a reçu le prestigieux Bonnier Journalism Prize pour son article sur le décès de son père.

"Kuolema Ehtoolehdossa", le premier livre de sa trilogie est paru en 2013, traduit en 2015, "Les Petits vieux d’Helsinki mènent l’enquête".

D'un côté comme de l'autre, ces livres sont touchants et décapants. Ils défendent le droit des personnes âgées de vieillir librement.

Une façon comme une autre de montrer que la vie de petits vieux et petites vieilles peut encore offrir de très bons moments dès lors que l'on reste capable de partager la joie d'être encore ensemble, de pouvoir faire des activités ensemble.

Dans tous les cas, il semblerait que la qualité de vie dans les maisons de retraite en Suède tout comme en Finlande, ne soit pas plus enviable que celle de France ....

A lire ! Très drôle !!
Lien : http://www.wonderbook.fr/com..

Ce livre est plutôt sympathique et ressemble un peu au vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire. On a presque envie de devenir autant fringuant pour leurs +75 ans passés. On ne perd pas une minutes avec ces vieux en déambulateur qui n’en ratent pas une pour boire un peu d’alcool de mûres et rendre dingue les personnes qui les entourent avec leur combines (cacher des choses dans leur déambulateur, trouver des astuces pour ne pas se faire repérer, etc.). Tout va vite et on ne se rend pas compte qu’ils sont bien actifs et même plus que les jeunes. C’est un moment de plaisir à lire ce livre.

Le titre et la quatrième de couverture ont tout de suite attiré mon attention. Et finalement ce livre n'est qu'une suite de déceptions. Je n'y ai pas trouvé l'humour promis, les situations sont rocambolesques, il y'a des personnages qui ne servent a rien et ne font pas avancer le récit. Je pense à Liza la prisonnière. Quand je pense que j'ai acheté les deux premiers livres de la série en pensant passer un bon moment. Je crois que je vais avoir du mal a trouver la motivation pour lire le deuxième. Qui sait?.. Peut-être qu'une bonne surprise m'attends, sait-on jamais?

Le Diamant, Résidence pour personnes âgées n’est plus ce qu’il était. Tout ce qui rendait la vie agréable aux résidents a disparu. Plus de pâtisseries gourmandes, l’accès à la salle de fitness leur est maintenant interdit, le couvre-feu doit être respecté, quant aux sorties de l’établissement, elles sont strictement limitées !

Un documentaire à la télévision leur fait entrevoir un paradoxe : les délinquants en prison sont bien mieux traités qu’eux. Et germe alors dans la tête de Martha une idée lumineuse : quitter cette Résidence pour intégrer une prison …

Martha et ses 4 amis vont tout tenter pour réaliser leur objectif, mais ils n’avaient pas tout prévu …



La description de cette Résidence rappelle, par certains côtés, celles que nous connaissons, et ces Résidents ressemblent également à ceux que nous pouvons y croiser !

Ce polar très particulier, bourré d’humour, se lit sourire aux lèvres ! Beaucoup d’humour, mais de l’émotion aussi ! Jai passé un excellent moment en compagnie de ces 5 cambrioleurs amateurs !