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Citations de Catherine Doyle (92)


Par la grâce d'Ortha l'Astrée, les grilles d'or d'Anadawn s'ouvriront pour nous après mille ans de persécution et le sang de nos ennemis coulera dans le Galant. Le cours du destin s'inverse enfin, mes sœurs et frères. L'ère des sorcières va renaître de ses cendres !
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- Cette fois, ne pense pas à l'Inspirateur. Ta haine embrume ton esprit.
- Comment tu sais que je pense à sa sale face de rat ?
- Parce que je lis en toi comme dans un livre ouvert.
- Tu sais lire ?
- Tu parles trop, sorcière.
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Tu sais, George, les seules véritables barrières à la magie, ce sont les limites de l'imagination.
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- Qu’est ce que je dois faire ? demanda-t-il.
- Tu n’as qu’à marcher, mon garçon.
Son grand-père lui tendit la main.
- Tu veux bien marcher avec moi, Fionn ?
La question ne se résumait pas à ces quelques mots. Elle contenait aussi de l’espoir, de la prudence, de l’excitation… et quelque chose d’autre. Une espèce de brume grise qui ressemblait à de la tristesse. Mais, pour Fionn, la décision ne fut pas difficile à prendre. Il préférait suivre le vieil homme, où qu’il aille, plutôt que de rester seul dans le petit chalet poussiéreux.
- Oui, accepta-t-il. Je veux bien marcher avec toi.
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“This life is so complex that we rarely get to be the people we are truly meant to be. Instead, we wear masks and put up walls to keep from dealing with the fear of rejection, the feeling of regret, the very idea that someone may not love us for who we are deep in our core, that they might not understand the things that drive us.”
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La loyauté, la vraie loyauté, n’a pas de limite.
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Je sais que si tu parviens à te soucier de quelqu’un d’autre que de toi même, c’est que tu n’es pas brisée.
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- Pitié, ne me dis pas que ce sont tes peintures, fit-elle avec horreur.
Il haussa les sourcils.
- Elles sont si mauvaises que ca?
- Non. Tu n'es pas un peintre. TU ne peux pas être un peintre.
- Pourquoi pas?
- Parce que c'est beaucoup trop...trop...
- Impressionant?
- Humain. Et tu n'es pas un être humain. Tu es une bête.
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Dans une salle pleine de bêtes fauves, Alarik Felsing était la creature l plus force d'entre toutes.
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-Si je tombes, tu me rattrapes ?
-Non, mais je te ferai coucou dans ta chute.
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Les sorcières détenaient tous les pouvoirs en elles... elles avaient tout. Elles étaient tout.
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- Le Ganyève possède une magie qui lui est propre. La légende raconte que, avant qu'Eana ne demande à son faucon de se poser sur la mer, elle et le soleil étaient amants. Et que, quand elle partit pour une autre vie dans un nouveau monde, le soleil descendit du ciel pour lui donner un baiser d'adieu. Mais, si Eana pouvait supporter la chaleur, l'île, elle, en était incapable. Le baiser brûla la terre et c'est ainsi que naquit le désert. Un cadeau pour ce nouveau pays et pour la sorcière qui l'avait créé. Mais, le désert n'oublia jamais le soleil. C'est pour cela que les sables remuent sans repos, ils essaient de rentrer chez eux.
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On ne peut pas détruire la magie, Rose. Elle retrouvera toujours son chemin.
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On lui offrait la possibilité de vivre une vie dont elle avait toujours rêvé, où l'aventure, l'amour et la liberté, la véritable liberté, sortaient de la mer et l'embrassaient sur les joues chaque matin.
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Tant que les sorcières subsistent sur nos terres, elles peuvent frapper à tout instant. Elles trouvent toujours un moyen de perturber l'ordre, Rose.
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Depuis son plus jeune âge, elle connaissait l'existence de sa sœur jumelle, à l'autre bout du monde. Néanmoins, la découvrir en chair et en os la laissait pour la première fois de sa vie sans voix.
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Banba la rejoignit.
- Debout, ma fille, dit-elle tout bas. Ne les laisse pas te voir à genoux.
Derrière elle, des éclats de rire et des murmures se propagèrent dans la foule. Elle entendit les mots « pathétique » et « faible ». Pendant un instant, elle crut qu’elle allait d’effondrer et ne plus jamais se relever. Laisser la marée montante l’emporter. Avec un peu de chance, le courant déposerait son corps à Anadawn. Là où était sa place.
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Dans ces pires cauchemars, elle rêvait d'un pouvoir qui la consumait comme une fournaise, embrasant ses veines et ses os jusqu'à ce qu'elle se réveille en hurlant. Peut-être qu'un recoin de son esprit avait toujours su qu'une magie dormait en elle, prête à jaillir et à détruire sa vie soigneusement ordonnée.
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Diantre, elle était Rose Valhart, la fameuse beauté d'Eana ! Captive ou non, elle ne pouvait tout simplement pas se permettre d'errer à travers le pays avec l'allure d'un rat mouillé. Surtout si elle comptait être secourue rapidement. Il ne fallait en aucun cas que ses sujets la découvrent dans cet état lamentable.
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- Le ciel était traversé de violets et de verts si vifs qu'on aurait dit qu'ils dansaient le long de la Voie lactée, murmura-t-il. J'était rentré tard du poste de sauvetage et Winnie était dehors, assise dans son fauteuil, son beau visage tourné vers ce ciel magnifique. Un ciel à couper le souffle, continua-t-il tout bas en fixant intensément la cire. J'ai cru qu'elle dormait...
Fionn avala péniblement sa salive.
- Oh, répéta-t-il doucement.
Son grand-père leva la tête.
- Quand mon heure viendra, j'allumerai cette bougie, afin de trouver le chemin pour la rejoindre.
Son sourire était faible, mais confiant. Sûr de lui.
- Si l'île me le permet, je m'assiérai à côté d'elle sous le même ciel et nous partirons ensemble.
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