Catherine Preljocaj

Catherine Preljocaj a été tour à tour chef de publicité pour un grand hebdo, puis chargée de la communication de la première cuvée du festival les « Eurockéennes ».



A 30 ans, elle est confrontée au cancer. Dix ans plus tard est publié son récit : Le bonheur pour une orange… n’est pas d’être un abricot. Une épopée vivante, sans pathos et même emprunte d’humour. Une histoire de femme, immigrée albanaise, aux prises avec une double culture qui la rend malade… Elle en guérit ! Aujourd’hui, Catherine est consultante en développement personnel.



« Je n’ai jamais lu un auteur qui réussisse à décortiquer tel que vous le faites le ressenti de ses ressentis… Merci de tout cœur, de ma part et de celle de mes amis qui vous ont lue. J’anime depuis 12 ans des groupes de rencontre et de soutien pour personnes atteintes du cancer, hommes ou femmes… »

Renée D.



« Je vais “prescrire” votre livre tant je crois qu’il apporte de lumière sur ce que peuvent vivre beaucoup de personnes malades actuellement. Il faut cesser de retourner l’agressivité contre soi mais plutôt la retourner contre les événements et les situations qui vous ont fait du mal sans pour autant se sentir coupable. Vous démontrez très bien qu’il y va de la survie. »

Pr Édouard Zarifian



« C’est parce qu’elle s’en est sortie, physiquement et moralement, que Catherine Preljocaj force notre attention et notre estime. Elle nous donne du courage et l’on referme son Bonheur… plus optimiste qu’on ne l’avait commencé. »

Jean-Louis Servan-Schreiber



Le bonheur pour une orange… n’est pas d’être un abricot est un hymne à l’humain et à sa capacité de guérir et de grandir par-delà les plus grandes souffrances.



http://mieux-vivre.ch/07_1700/Prejlocaj-C_Le-bonheur-pour-une-orange.pdf
Lien : http://mieux-vivre.ch/07_170..

J'ai acheté le livre avant notre voyage en Albanie, y cherchant quelque chose de l'Albanie. L'essentiel du livre se déroule à Paris.

Je suis une très mauvais cliente pour les autobiographies "j'ai eu un cancer, voilà comment j'ai souffert et comment je m'en suis sortie...."

En revanche, comment on gère une double culture m'intéresse. Comment une fille peut survivre avec la menace d'un "crime d'honneur" si elle refuse de se marier selon la coutume dans sa communauté. Comment on peut somatiser ce traumatisme.

J'ai aussi été intéressée par la recherche de l'histoire de sa famille, la fuite d'Albanie d'Enver Hoxha, le départ du Monténégro.
Lien : http://miriampanigel.blog.le..