AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Celia Aaron (25)


𝓤𝓷𝓮 𝓯𝓸𝓲𝓼 𝓼𝓮𝓾𝓵, 𝓵𝓸𝓲𝓷𝓼 𝓭𝓮 𝓒𝓪𝓶𝓲𝓵𝓵𝓮, 𝓳’𝓮𝓾𝓼 𝓵𝓪 𝓼𝓮𝓷𝓼𝓪𝓽𝓲𝓸𝓷 𝓺𝓾𝓮 𝓽𝓸𝓾𝓽 𝓶𝓸𝓷 ê𝓽𝓻𝓮 𝓼𝓮 𝓯𝓲𝓼𝓼𝓾𝓻𝓪, 𝓮𝓽 𝓳𝓮 𝓯𝓾𝓼 𝓯𝓸𝓻𝓬é 𝓭𝓮 𝓶𝓮 𝓶𝓮𝓽𝓽𝓻𝓮 à 𝓰𝓮𝓷𝓸𝓾𝔁.
Commenter  J’apprécie          10
Malgré les efforts que Camille faisait pour être impolie, son naturel refaisait inexorablement surface. Chacun de ses mots et de ses gestes révélait sa nature chaleureuse et vivante.
Commenter  J’apprécie          10
Un lien forgé dans la haine et renforcé par l'amour
P.332
Commenter  J’apprécie          00
Une nouvelle vie.
Un nouveau départ.
Un battement de cœur qui a pris vie dans les ténèbres va s'épanouir à la lumière de notre amour.
Commenter  J’apprécie          00
Il ouvre les yeux et regarde au plus profond de moi, là où il peut voir son reflet.
— Tu es tout ce dont j'ai besoin.
Commenter  J’apprécie          00
Pour mettre fin à une partie de mon tourment, je dois lui causer de la douleur. Et le pire, c'est que je le veux.
Commenter  J’apprécie          00
Je le regarde dans les yeux, notre communion est plus profonde que jamais. Deux âmes entrelacées l'une autour de l'autre alors que nous nous approchons du précipice.
Commenter  J’apprécie          00
Je regarde sa bouche, sachant les délicieux secrets qu'elle camoufle. Comme sa langue qui glisse contre la mienne. Comme son souffle qui se coupe quand je la touche. Comme son âme qui essaie de se libérer de mon emprise jusqu'à ce qu'elle cède et s'ouvre à moi, pour me montrer toute la vérité dans sa forme la plus pure.
Commenter  J’apprécie          00
Prétendre, voilà une chose à laquelle je suis excessivement doué, et c'est la clef de la survie par ici. Mentir, dissimuler, camoufler l'entière vérité.
Commenter  J’apprécie          00
Puis il se tourne et m'attrape, me tire à lui et colle ses lèvres aux miennes. Ce n'est pas un baiser doux. Ce n'est pas une requête, pas même un ordre. C'est une totale et complète annihilation de ma personne pour créer un nous à la place.
Commenter  J’apprécie          00
Puisque Sebastian pensait que j’étais la femme idéale, que nous étions faits pour être ensemble, peut-être que si je lui prouvais le contraire en étant insupportable, il changerait d’avis. Pour la première fois depuis que je m’étais réveillée dans son lit, je ressentis un soupçon d’espoir.
Commenter  J’apprécie          00
Elle s’était comparée à un animal de compagnie, mais elle était plus que ça. Tellement plus. Je n’avais jamais eu envie de toucher quelqu’un comme j’en avais envie avec elle. Je suivis des yeux les courbes de son corps sous la couette. Elle était magnifique. Des seins ronds, une taille fine, des hanches généreuses… Je fermai les yeux en imaginant lécher chaque centimètre de son corps qui était pour moi le plus tentant des desserts.
Commenter  J’apprécie          00
La peur qui se dégageait d’elle était comme le parfum d’une viennoiserie, douce et envoûtante. Elle m’enivrait, me rappelant à quel point j’avais besoin d’elle. Elle éveillait mes sens ; me redonnait vie. J’avais faim de toutes ses émotions. J’avais envie de les savourer, l’une après l’autre, jusqu’à en être repu.
Commenter  J’apprécie          00
La fierté était une émotion que je comprenais parfaitement. Cela faisait partie de l’instinct de conservation, un mécanisme complexe qui habitait chaque être humain.
Commenter  J’apprécie          00
Il faut que tu apprennes à voir au-delà des apparences. Que tu cherches ce que ressent réellement la personne, au fond. Que tu comprennes ce qu’elle attend de toi. C’est cela qui fait que tu es humain, le fait de te connecter aux émotions et aux besoins des autres.
Commenter  J’apprécie          00
J’adorais voir ses hanches se balancer devant moi. Elle était comme un cadeau de Noël qui devait être déballé avec soin ; je prendrais mon temps avec elle, le moment venu.
Commenter  J’apprécie          00
Ce contact était exactement ce dont j’avais besoin. Le diable qui était en moi avait besoin de sentir près de lui l’ange qu’elle était.
Commenter  J’apprécie          00
Je ne quittai pas Camille des yeux, observant chacun de ses gestes avec attention : sa manière de placer ses cheveux derrière ses épaules, ou encore son léger déhanchement lorsqu’elle s’appuyait sur son pied gauche. Mon besoin de la posséder s’intensifiait à chaque battement de mon cœur, mais je décidai d’agir avec précaution et de rester patient. Le piège que j’avais échafaudé ne pouvait être déclenché que le moment venu ; je devais attendre et me contenter de la regarder. Mais je sentais que cela ne suffisait pas.
Commenter  J’apprécie          00
Depuis qu’il était en âge de sortir, Grégory était un oiseau de nuit, et il n’avait jamais peur d’être lui-même, y compris dans l’atmosphère poussiéreuse de l’école. Je l’aimais beaucoup. Nous étions devenus amis dès le jour de mon arrivée, lorsque j’avais reconnu en lui un visage frais et moderne, désireux de former la jeunesse de demain.
Commenter  J’apprécie          00
Lorsque nous rentrâmes chez lui, je lui avais dit que je n’étais pas encore prête à dormir avec lui. Il avait accepté, mais j’avais senti sa déception. Nous sortions ensemble depuis plusieurs mois et il s’était montré plus que patient. Pourtant, je n’étais toujours pas sûre de vouloir passer à l’étape suivante. Je n’étais pas vierge, mais cela faisait longtemps que je n’avais pas couché avec un homme. Je n’étais même plus certaine de savoir comment on faisait…
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Celia Aaron (65)Voir plus

Quiz Voir plus

Antigone

Comment s'appelle les deux frères d'Antigone ?

Etéocle et Eric
Etéocle et Polynice
Polynice et Jason
Polynice et José

10 questions
219 lecteurs ont répondu
Thème : Antigone de Jean AnouilhCréer un quiz sur cet auteur

{* *}