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Citations de Céline Delhaye (52)


C'est son visage que je vois quand j'ouvre les paupières, le matin, celui qui ne me quitte jamais dans la journée, où que je sois, et c'est la dernière image que je visualise avant de m'endormir et de rêver d'elle.
[...]
Je veux m'endormir en sentant son odeur et sa peau douce. Je veux grimacer quand elle met ses pieds glacés sur mes mollets pour les réchauffer, batailler avec elle quand ses mains cramponnent toute la couverture, lui boucher le nez quand elle ronfle un peu fort, je veux être celui qui la réconforte quand elle fait un cauchemar.
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— Tu mérites un homme bien. Celui sur qui tu pourras compter quand tu seras au plus mal, qui te soutiendra, qu'importe tes décisions. Celui qui te fera vibrer juste en te touchant. Pas un mec qui squatte ton lit le temps d'une nuit et qui repartira le lendemain en oubliant ton visage. Ton si beau visage... Egalement un homme qui ne te rabaisse pas devant les autres.
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Durant notre enfance, elle m'a toujours défendu. Une fois adultes, nous nous sommes perdus de vue. Aujourd'hui, alors que nous sommes enfin réunis, je peux tenir ma promesse et la protéger. Je suis conscient qu'il s'agit là d'une marque de possession, mais tant pis. Les actes de ce pervers m'ont tout bonnement retourné le cerveau. J'ai vu rouge, je suis devenu incontrôlable. Personne ne touche ma Cassie, point.
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— Parce que je suis une fille ? Pfff, n'importe quoi ! Je n'ai pas besoin d'un garde du corps, j'ai assez de force pour cela. Et c'est pas parce que t'es un garçon que t'as pas besoin d'un coup de pouce. Nous sommes comme ça et nous ne changerons pas. De plus, j'aime quand je te protège.
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Quand on vit les plus beaux onze mois de sa vie, sans aucun nuage noir à l'horizon avec un mec qui nous traite comme une princesse pour ensuite nous lâcher, on pense ne pas être assez bien pour qui que ce soit.
Le premier amour est aussi merveilleux que cruel. Il s'agit de la première fissure dans le coeur, la première cicatrise qui ne se referme pas totalement.
Et Maxime a pris plaisir à entailler le mien.
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Tout le monde a un pote, mais rares sont ceux qui ont l'Ami avec un grand A ; celui qui reviendra toujours, même après des années d'éloignement, celui qui ne sera pas fâché par ton silence ni jaloux envers ceux avec qui tu te lies, parce qu'il se sait indétrônable dans ton coeur. Il s'agit de la fondation d'un édifice indestructible, le pilier sans lequel rien n'est possible.
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Il n'y a rien de pire que les préjugés sur un adolescent. Ils peuvent détruire les rêves et briser les personnes fragiles. C'est pourquoi je suis plus que fier d'elle. Elle a mis du temps pour trouver un rythme, mais, comme je le savais, elle s'est battue corps et âme pour sortir de cette ville, la tête haute. Elle s'est nourrie de l'orgueil qui l'emprisonnait afin de le transformer en une fierté immense, donnant des claques au passage dans la figure de certains prétentieux.
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On veut tous croire à nos rêves et parfois, il nous faut une motivation pour ne pas flancher. Le mien était de quitter ma ville e tous les préjugés pour écrire mon histoire. Pas celle que les autres avaient tenté de créer à ma place. Et ils étaient ma motivation, tout simplement. Je ne voulais pas leur donner raison, même si cela signifiait m'éloigner de mes parents. Dix ans plus tard, j'ai mon bac, mon BTS et mon agrégation, je vis à Paris et suis prof de microbiologie.
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Je les scrute encore une fois, puis écarquille les yeux en repensant à notre fenêtre que j’ai laissée ouverte à cause de l’odeur immonde de la bougie. J’ai complètement oublié de la refermer, et avec nos corps en sueur, cette idée nous a totalement échappé.
— Franchement, si quelqu’un doit se plaindre, c’est bien nous ! renchérit *******. Même avec le coussin sur les oreilles, je t’entendais grogner. Sérieusement, tu te transformes en quel animal quand tu passes la nuit avec une femme pour émettre des sons pareils ? Et sérieux, cinq fois ? Tu voulais achever ma Callie jolie ou quoi ? 
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Hier, nous étions des hommes. Aujourd’hui, nous sommes des barbares. Demain, peut-être serons-nous morts. Dans tous les cas, on entendra parler de nous ces vingt prochaines années. 
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La douleur est insoutenable. Je sens mon dos se déchirer à chaque morsure du cuir sur ma peau. Le sang coule, le malaise est proche, mais je tiens. De toute façon, je n’ai pas le choix. Je ne pensais pas ressentir un jour la souffrance atroce d’Aleyna, mais maintenant, je sais. Nous avons toujours été liés. Notre amour, nos corps, notre esprit, notre compréhension… désormais, nous partageons également cette torture.
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— Tu es à moi ! répété-je en le pinçant durement.
Elle crie de surprise, mais elle se cambre automatiquement, la douleur étant maintenant remplacée par une vague de plaisir. Comme pour la faire réagir, je place mon autre pouce sur son clitoris.
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Je me retourne en l’appelant une dernière fois, mais il ne me répond pas. Et juste dans l’embrasure de la porte, j’arrive à l’apercevoir.
Une fois.
Une dernière fois.
La dernière image que je vois, c’est lui, de dos, tête baissée, comprenant qu’ils ont gagné.
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Quelques larmes s’échappent contre mon gré, menaçant d’exploser. Du coup, je la serre plus fort et plonge ma tête dans ses cheveux.
— Tu es mienne, tout comme moi, je t’appartiens pour l’éternité. Jamais personne d’autre que toi et moi.
En captant ma détresse, Aleyna relève la tête et me fixe. Je tourne la mienne et ferme les yeux pour qu’elle ne me voie pas aussi faible et qu’elle se sente coupable de quoi que ce soit. 
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— Diablesse ! Vipère ! grogné-je lorsque sa bouche englobe mon gland.
Elle n’attend pas plus longtemps et commence déjà à en lécher le contour avant de m’enfoncer plus profondément entre ses lèvres. Je presse les paupières et les mâchoires, à deux doigts de perdre la tête.
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Je suis épuisée de cette journée, de cette vie. Lasse d’avancer d’un pas pour reculer de trois. Fatiguée de devoir puiser dans mes maigres forces pour maintenir la tête hors de l’eau.
Je n’y arrive plus, je n’en ai plus envie.
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Petite coquille vide, je ne suis qu’une enveloppe de chair et de sang qui englobe le néant. Les horreurs défilent en boucle devant mes yeux, mais elles ne me font rien, à part m’emmurer dans la tristesse et la désolation, la violence et les cris.
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 Aleyna est devenue mon poignard. Elle m’a transpercé avec ses répulsions, elle m’a étouffé avec ses cris, et mon cœur s’est arrêté quand elle le suppliait de se réveiller. 
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Avez-vous déjà eu l’impression d’être poignardé en plein cœur avec seulement des mots ? Cette sensation horrible d’étouffer alors que rien ne compresse votre gorge ? Cette douleur atroce à la poitrine quand votre cœur s’arrête ? 
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« Je suis tombée amoureuse de toi. »
Je suis amoureux de toi aussi, ma chérie...
« C'est toi que je désirais, Alex. »
Je t'ai toujours voulue, ma chérie...
« Je t'aime Alex, s'il te plaît, dis-moi que tu restes avec moi. »
Je t'aime bien plus encore, mon ange. Je souhaitais passer le restant de ma vie auprès de toi, te faire sourire, te faire rire, te combler d'amour. J'espérais dormir tout contre toi, passer la journée à te contempler, nicher ma tête dans ton cou et te montrer à quel point je t'aime. Je t'aime, je suis fou de toi, je me meurs à chaque mètre me séparant de toi.
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