AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Charlotte Dordor (38)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Le retour de Janvier

Nous sommes le 3 janvier 2023, ce livre sort en librairie le 5 janvier 2023 et je constate que 9 personnes l'ont notés et 8 personnes ont rédigés une critique.

C'est formidable !

Combien de romans après une dizaine d'années d'existence n'ont encore aucune critique ...
Commenter  J’apprécie          43
Le retour de Janvier

Peut-être parce qu'il évoque des lieux que je connais et auxquels je suis attaché (Charente-Maritime, Auvergne, Lozère), reconnaissables ou complètement transformés par le changement climatique, le parcours de Janvier m'a touché. A travers lui et les personnages qu'il croise, on découvre la vie quotidienne et les bouleversements d'une France de fin du monde pas si loin de nous, banalement terrible. Le retour de Janvier est prenant, très évocateur, crédible, mélancolique et romanesque. Quelque part entre deux romans lus ces derniers temps : L'Annonce de Marie-Hélène Lafon et Viendra le temps du feu de Wendy Delorme - en mieux.
Commenter  J’apprécie          40
Le retour de Janvier

L'autrice nous fait partager sa peur du futur par rapport au dérèglement climatique qui est déjà en cours malheureusement.

Elle va très loin dans ce qu'elle écrit.

Livre d'anticipation ou réalité à venir ? Le plus tard possible sera le mieux...

On suit le personnage de Janvier avec intérêt. Ses doutes, ses décisions, ses rencontres aussi.

J'espère qu'elle décrochera un prix pour ce très bon roman.
Commenter  J’apprécie          30
Le retour de Janvier

Charlotte Dordor nous offre une fiction climatique avec des descriptions efficaces, des personnages et situations crédibles qui nous font adhérer au récit. Bravo à elle pour ce premier roman !

Janvier Bonnefoi est militaire dans une France qui se débat avec la montée des eaux, la chaleur excessive, les épidémies, les migrants, les pénuries de denrées alimentaires, d’essence, d’électricité... Il est agriculteur de métier et va décider de fuir La Rochelle où il s’était exilé suite à un conflit familial avec son frère ainé. Il quitte son poste, déserte. S’en suit un périple à travers la France, pas celle des villes où il craint d’être repéré mais celles des champs. Les réalités sont très différentes selon les régions, les campagnes s’en sortent mieux. Les rapports humains sont difficiles, c’est la méfiance qui domine, la peur de l’Autre. La violence, celle de la survie, est omniprésente.

Janvier rencontre Adèle, une femme mystérieuse qui a une ferme, de l’argent. Ces deux êtres isolés de tout vont s’épauler mutuellement. Janvier s’occupe de la ferme, contre le gite et le couvert. Il a besoin d’une pause, la vie sur les routes est dangereuse, des bandes de migrants se sont organisés dans la forêt. Adèle va pourtant accueillir, construire une petite communauté... Elle sera rattrapée par sa vie d’avant, on comprendra alors pourquoi elle s’est réfugiée dans ce coin de France, d’où lui vient son argent...

Janvier poursuivra sa route, il rentre à Lachamp S/ Lignon, chez lui, où sa mère, son frère sont là. Il est à sa place, il n’y a pas de temps pour les disputes, il faut survivre.

L’auteure a un style efficace, direct avec de très belles descriptions, la scène de la barque dans La Rochelle est superbe.... On s’attache à Janvier, cet homme taiseux, tout en retenu. Une invitation à réfléchir mais pas que...

Commenter  J’apprécie          30
Le retour de Janvier

Janvier est un jeune homme qui a quitté la ferme familiale, en laissant sa mère et son frère gérée la ferme. Il s'engage comme conscrit. Nous sommes dans une époque proche et tout ce que le GEC a prédit se réalise. La Rochelle est envahie par les eaux malgré les digues érigées. Janvier est un conscrit et essaie d'aider les habitants qui n'ont pas pu être évacuer. De belles pages avec Janvier dans sa barque dans les rues submergées de La Rochelle.

Cette dystopie se passe dans un futur proche, certaines situations nous menacent, des situations politiques, sociales, climatiques se rapprochent de nos vies. Et cela fait de cette lecture un cri d'alerte face à ses changements climatiques, nous ne parlerons plus de tempêtes mais de cyclones. La société devient une société de surveillance, de non informations, des informations officielles et quelques fake news. Des vagues de migrants, que ce soient des migrants politiques, des migrants climatiques. Et cela va conduire à des comportements de repli sur soi.

Ce roman nous entraîne avec Janvier sur les routes et son retour vers sa ferme familiale. Il fait des rencontres, comme ce vieil homme qui lui ne veut pas quitter son appartement à La Rochelle, cette étrange femme qui s'installe dans une ferme et il va rester quelques moments avec elle. Et ces albanais qu'ils vont recueillir, mais à qui peut on faire ou pas confiance.

De belles pages sur cette planète qui se transforme, j'ai apprécié de naviguer dans les rues de La Rochelle, de déambuler sur les routes avec Janvier. Janvier, cet homme qui essaie de comprendre, d'essayer de continuer d'aller de l'avant malgré tous ses moments difficiles. Que faire, rien ou militer, interpeller. Mais comment réagir avec des attentats qui peuvent tuer des innocents, aider les migrants..

Un roman qui nous questionne sur l'avenir, sur ces changements climatiques et sur ce qui pourraient se passer si nous ne faisions rien? Mais que faire ?

La fin de ce texte ouvre une suite et j'aimerai savoir ce que deviendra Janvier lors de ce retour dans sa famille.

#LeretourdeJanvier #NetGalleyFrance
Commenter  J’apprécie          32
Le retour de Janvier

Dans une France débordée par les eaux, on suit le périple de Janvier qui cherche à regagner son village en faisant des rencontres et des détours.

Une écriture précise, riche et une intrigue qui m a happé du début à la fin.

Un magnifique roman d anticipation qui ne sombre ni dans le pathos, ni dans la cataclysme mais nous propose de suivre le parcours d un homme ordinaire qui avance dans un monde progressivement transformé par le déclin écologique. Un héros qui reste un homme qui aime, qui vit, qui avance.
Commenter  J’apprécie          30
Le retour de Janvier

Version Femina m'a fait parvenir ce roman en avant-première, pour le coup de cœur de janvier 2023.

Bon, je dois avouer que je ne suis pas vraiment rentrée dans l'histoire. Elle était un peu étrange au départ, quand il était dit qu'on circulait en barque dans les rues de La Rochelle, etc. Je n'ai pas réussi à m'y projeter et je pense que cela m'a un peu gâché la lecture.

Après, ce n'est que mon avis personnel, et vous pouvez bien évidemment en avoir un tout autre !
Commenter  J’apprécie          31
Le retour de Janvier

Un premier roman surprenant, fort réaliste et très crédible. C’est aussi un roman d’anticipation même si aucune date n’est mentionnée. Il nous plonge dans une France pas si éloignée de la nôtre, la France de demain, en fait. Construit au présent, avec des phrases courtes et nerveuses, il nous fait cheminer aux côtés d’un jeune héros au prénom suranné, depuis La Rochelle jusqu’à ce village de Lozère où l’attendent une mère inquiète et un frère arrogant.



Dès les premières pages Janvier nous emmène en barque dans une ville submergée par les eaux où les habitants ont déserté les rez-de-chaussée. Conscrit civil, il y a été nommé instituteur. L’armée a investi le pays. Les écolos sont presque tous devenus écolos-terroristes. C’est l’état de siège sur tout le territoire. Et il n’y a plus que deux saisons : la canicule et les tempêtes, accompagnées d’épidémies, de quarantaines et d’évacuations de la population.



Janvier, se sentant « devenir fou de solitude et de silence« , ressasse ses souvenirs et surtout les disputes familiales, celles-là même qui l’avaient poussé à s’enrôler. Il décide de rentrer chez lui, car « quand le monde s’écroule, on ne cherche plus le dépaysement, on se réfugie chez soi. » Il a « le goût du retour. » Sur le chemin, tantôt à pied, tantôt à vélo (volé bien sûr), il fait des rencontres, heureuses ou malheureuses. Surtout Adèle, jeune veuve mystérieuse et enceinte, vivant seule dans une ferme du Cantal. En bon paysan, il s’installe et entrevoit la perspective d’un avenir avec la jeune femme et son bébé. Mais la vie en décidera autrement…



Charlotte Dordor raconte cette histoire, parfois grave et angoissante, parfois lumineuse et poétique, dans une écriture toute simple mais addictive. Les personnages sont attachants. Le tout est empreint de la nostalgie d’un temps qui ne reviendra pas. « Mais on arrive encore à être heureux, parfois. »
Commenter  J’apprécie          20
Le retour de Janvier

Ce 1er roman est une dystopie mettant en scène une France en partie sous l'eau sur sa côte ouest. Il débute à La Rochelle et se poursuit en road movie durant lequel Janvier tente de rejoindre sa ferme natale dans une France sous régime d'extrême droite qui a collapsé. La plupart des gens s'ancre dans le deni du dérèglement climatique et pour les autres basculent dans le terrorisme?/résistance écologique. L'armée est omnipotente.

Il y a bien d'autres choses dans cette histoire et le personnage de Janvier est complexe, pas forcément sympathique mais attachant. Il me fait penser aux inspecteurs du film La nuit du 12 de Dominik Moll.

Je l'ai dévoré !
Commenter  J’apprécie          20
Le retour de Janvier

Dans un monde au bord de l'effondrement, Janvier décide de rentrer chez lui dans la ferme familiale cantalienne qui l'a vu grandir.



Une dystopie qui commence chez moi - pour ainsi dire - dans la ville de La Rochelle noyée sous les eaux - déjà, ça avait de quoi me mettre "l'eau à la bouche" (façon de parler car cette eau-là, il vaut mieux éviter de la boire !).

J'ai vraiment été séduite par ce roman autour du changement climatique et des conséquences humaines (sociales, migratoires, politiques, sanitaires) qu'il génère.



L'histoire me semble crédible, le personnage de Janvier est complexe, bien travaillé. Il est aussi porteur d'un message car son prénom "Janvier" fait référence à Janus, dieu de la transition dans la mythologie romaine (il a deux visages l'un tourné vers l'avenir, l'autre sur le passé).

Et puis son nom - Bonnefoi - en dit aussi beaucoup sur cette idée de "croyance" justement qui est ici à l'œuvre.



Dans ce monde frêle, au bord de la rupture, La Rochelle est évacuée, une épidémie émerge, on parque les gens comme du bétail pour les mettre en quarantaine.

Janvier décide dans un dernier sursaut de lucidité, de s'éloigner et de rentrer chez lui, c'est-à-dire dans la ferme familiale située dans le Cantal d'où il est originaire. Là-bas l'attendent sa mère et son frère qui s'occupent de l'exploitation.

Là où tout commence et tout se termine ? La boucle serait-elle bouclée si facilement ?

Vous vous en doutez, ça ne sera pas si simple !

Car, Janvier va devoir affronter, tel le héros d'une quête, quelques ennemis (ses propres démons aussi) et pas mal de difficultés.



Cette marche solitaire lui permet de réfléchir à ce qui l'anime, peut-être à retrouver du sens dans ce monde qui devient fou.

Et puis, le long de ce cheminement, et malgré le contexte violent, l'autrice nous donne à voir, par contraste, la beauté inépuisable de la nature. Un amour qui se prolonge dans une sorte d'écriture pastorale de fin de monde vraiment magnifique.



J'attends le prochain roman avec impatience maintenant !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          20
Le retour de Janvier

Excellent premier roman de Charlotte Dordor. J’ai adoré suivre Janvier tout au long de son odyssée dans cette France différente de la notre mais qui pourrait bien le devenir. Ce futur n’est pas gai, mais pas angoissant car nous sommes portés par ce héros qui pense pouvoir encore changer le monde à son niveau, en faisant ce qu’il sait faire et en aidant l’autre. On tremble pour lui et ses compagnons, on leur en veut, on les comprend. On est surtout très triste que son chemin s’arrête car on aurait voulu rester avec lui encore un peu plus longtemps.

Livre déjà offert 2 fois, car une bon livre comme celui-ci ça se partage.
Commenter  J’apprécie          20
Le retour de Janvier

Un premier roman dans la veine des productions récentes….un monde chaotique frappé par les attentats, les pénuries, les révoltes, les pandémies…



Ici, on ne sait pas vraiment quel est ce mal qui frappe les populations entre Ebola, et révolutionnaires écolos….



Deux personnages vont se rencontrer par hasard, chacun essayant de fuir sa vie et de retrouver le calme d’avant.



Ils vont se soutenir, se construire une nouvelle vie….et puis, repartir chacun de leur côté.



Un arrière-goût d’inachevé dans cette histoire, des personnages qui restent en suspens….je ne suis pas du tout rentrée dans ce récit.

Peut être ce sentiment de désarroi et de vie déprimante qui peuple les sorties littéraires de ces derniers mois.



A chacun de se faire son avis.
Commenter  J’apprécie          20
Le retour de Janvier

On ne va pas se mentir, le héros du bouquin, j'en ferais pas mon mec. Comment, vous demandez-vous, avec sa bobine de joli minet au corps affûté, n'aurais-je pas été émoustillée ? Bon d'accord, au fond j'ai végété dans ma délibération, un gaillard robuste, le délire du paysan qui moufte pas, physiquement puissant, le genre à tracter des brouettes de purin sans fatigue, après examen, pour en faire un quatre-heure, ça passe, puis faire la dégoûtée ne cadrerait pas avec mes fantasmes crades de citadine. Mais non, toute jachère sentimentale mise à l'écart, incroyable fourbi que je vous déconseille, le foutu bonhomme n'a pas tapé dans mon coeur. Il faut dire que le livre n'est pas de ceux où l'on s'amuse festivement.



Oui, je derive. Donc le bouquin. Une sorte de dystopie écologique. D'abord l'eau joue doucement, mais pas longtemps, soiffarde telle une pocharde, elle fait de l'oeil à nos plages enplastiquées, puis n'y tenant plus, elle déborde, le galbe roulé, vient peloter nos côtes dans une prodigalité heureuse. Les rues bétonnées se gorgent au rythme des marées, l'urbain devient l'extension de l'océan.



On spécule tels des devins désastreux, restera ou restera pas ? Les hésitations atermoyées ne font pas long feu, ces parages mouillants deviennent casse-gueules et foutent tout le monde dehors.

Je me fraye donc un chemin, baignant à poil dans la mélasse, dans un futur passablement tout pété. Ce dernier hâble, en bonne santé, me prend par la taille - sans consentement - pour aller faire la fête au bar. Très bien. Je rejoins mon poto Janvier, oui, je vous l'accorde, confusant comme prénom, ma scolarité n'en a jamais croisé, donc, ce mec, ce paysouz, Janvier, brave type pas jobard, acidule ordinairement sa vie dans ses champs, réconfortants comme une caresse, en Lozère. Bien sûr, ça c'était avant le bain d'emmerdements.



Le climat se carapate. Coffré dans les catastrophes climatiques, dorénavant ça chie partout, les degrés grimpent, c'est en bombe que le mojito devient flotard, pas sérieux, la terre s'écaille à vue d'œil, fripée comme les valseuses d'un octogénaire, faire pousser trois radis convoque un art divinatoire, bref les climatosceptiques peuvent aller se rhabiller.



Je promène mon regard de cake sur ce futur fiévreux, pas brillant, cette chaudière échauffée par la connerie humaine. L'autrice nous endort sur l'époque et je lui fais raison, pas besoin de lire le rapport du GIEC pour savoir que ça sent le cramé et que ce futur nous colle indécemment au cul. Cette merde noire barbouille mon éco-anxiété, impossible de me rincer le palais avec cet effondrement qui me fait coucou, c'est-à-dire si peu fantaisiste tellement réaliste, j'ai envie de pleurer dans les jupes de ma daronne.



Et figurez-vous que j'ai un sang de glace, il faut se lever tôt pour me faire déballonner. Que des rats fourrent leur crocs dans mes orifices et me tètent dans des bruits de succions inconvenants, bof, mon imperturbabilité paramètre tranquillement mon débit sanguin. Mais ce qui me file des suées, et Madame Dordor se déhanche plutôt bien sur ce rythme, c'est la guérison que propose l'humanité face au cataclysme. Cette protection magique qui consiste à décamper des zones flinguées en se réjouissant d'aller déconner sur les terres encore potables. On se convainc que l'état actuel de la planète, sa détérioration aggravée, est l'état nature.



Les gouvernements s'adonnent frivolement à leurs jeux favoris, petites politiques de couloir, de la démagogie populiste bien garnie. Résultat, ils se bottent pour un plan d'enfer. On appuie sur la pédale comme des macaques très cons, histoire de se faire avoiner un peu plus la gueule, l'agriculture intensive se poursuit, très récréative pour déglinguer la planète, on appuie un peu plus, les escares plein le croupion, on fait varier l'inclinaison pour éviter la crampe, le libéralisme scintille apprêté dans ses peaux formidables, LED basse conso bien entendu, oui monsieur, on le veut ce modèle capitaliste, je le riverais au pieu, mes tripes en frémissent, ça fait bander le phallus que je n'ai pas. On en ricane de cette décroissance, pouah, qu'ils s'arrachent ces cassos de réac, ces efféminés qui s'enmanchent avec leur tofu, qu'ils aillent graisser leurs discours d'écolos ailleurs !



Et c'est à peine si ce Janvier renâcle dans ce jus de rognures d'ongles. Il voyage à pince dans l'idée de rallier son patelin perdu, il glissouille d'un chapitre à l'autre avec un stoïcisme sans pitié.

C'est d'ailleurs cette affaire-là qui me pose problème. La chaleur des sentiments fait défaut, tout au plus si ça grésille, on donnerait sa place pour vibrer un peu plus dans ce futur chiasseux, humecter nos joues du feu intérieur des personnages, lesquels pataugent sans piment véritable.

Leurs égratignures, tristes et douces, restent sourdes dans une histoire qui a pourtant de quoi bouleverser. Néanmoins, soyons indulgent, pour un premier livre, c'est plus qu'encourageant !
Commenter  J’apprécie          11
Le retour de Janvier

Janvier est un homme 'inoffensif'. On le rencontre alors qu'il vit à la Rochelle, ville régulièrement recouverte par la mer. Il va devoir rentrer chez lui suite à l'évacuation de cette ville et à un début d'épidémie.

Son retour prendra du temps et lui fera rencontrer bien d'autres personnages.

Récit d'un retour à la terre et à un mode de vie simple. On s'attache à Janvier, bien plus complexe qu'il ne se l'avoue.
Commenter  J’apprécie          10
Le retour de Janvier

Dans Le Retour de Janvier, le monde en question fait face à de violentes tempêtes et à la montée des eaux. Toute l’époque, pas très éloignée de la nôtre, où se ­déroule l’histoire est justement prise entre deux eaux : la catastrophe a-t-elle déjà eu lieu ou est-elle encore à venir ? Clair-obscur du désastre ou myopie de ceux qui y font face ?
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
Commenter  J’apprécie          10
Le retour de Janvier

Roman absolument captivant qui ne m'a pas quitté durant 3 jours et qui ne me quitte toujours pas 2 semaines après ma lecture. Derrière un style agréable et travaillé, le message est profond et résonne dans l'actualité, ce qui le rend d'autant plus inévitable !
Commenter  J’apprécie          10
Le retour de Janvier

Avec ce premier roman de science-fiction, Charlotte Dordor signe l’odyssée intimiste d’un retour à soi, sur fond de crise climatique. Entre La Rochelle et la Lozère
Lien : https://www.sudouest.fr/cult..
Commenter  J’apprécie          00
Le retour de Janvier

L’histoire, qui se situe dans le futur, peut-être même dans un futur pas si lointain, est celle de Janvier Bonnefoi. Il a quitté la propriété familiale pour vivre à La Rochelle, ville prise par la montée des eaux. Là-bas il vit en solitaire, surveillant les grandes marées pour pouvoir se déplacer en barque et aller dispenser ses cours.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Charlotte Dordor (80)Voir plus

Quiz Voir plus

Qui suis-je ? Les auteurs en C

Né en Algérie, j'ai publié La Peste et La Chute. J'appartiens au mouvement littéraire de l'Absurde. Qui suis-je ?

Couteline
Char
Céline
Camus

9 questions
98 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}