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Critiques de Charly Delwart (68)
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Chut

Portrait d’une ado grecque qui décide de ne plus parler et d’inonder de graffitis les murs de la ville d’Athènes sur fond de crise. Le fond est très intéressant, il donne un visage plus humain à ce qu’on peut suivre aux infos (ceci dit, l’auteur est français, et je me demande dans quelle mesure ce qu’il raconte est ancré ou non dans la réalité). Je suis plus mitigé sur le style qui pourra en rebuter plus d’un(e). Personnellement je m’y suis fait, mais ce n’est définitivement pas un coup de cœur.
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Chut

Chut se passe en Grèce. Une jeune fille vit sa crise d'adolescence en parallèle avec celle de son pays. Son mal-être s'accompagne d'un problème de communication avec les autres. Comprenant que les mots, qu'elle entend dans les médias ou dans sa bande d'amies, reflètent peu ou mal la réalité, elle décide d'arrêter de parler parce que parler lui prend trop d'énergie si elle veut rester sincère. Une énergie qu'elle préfère consacrer à comprendre ce que traverse son pays. C'est pourquoi elle ne se coupe pas pour autant du monde. Marquée par les graffitis qui fleurissent dans la ville d'Athènes, dont elle fait le rapprochement avec ceux des années hippies, elle se penche sur le passé de sa famille et de son pays pour trouver ses propres slogans. Elle est vite inspirée par la sagesse de sa grand-mère et celle des philosophes antiques !

Ce livre, un petit peu exigeant dans son sujet et dans son style, nous permet de toucher du doigt la dure réalité de la vie des Grecs, toujours d'actualité, et de mesurer l'impact sur les vies personnelles de cette crise sans précédent.
Lien : http://0140005e.esidoc.fr/ru..
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Chut

Le Belge Charly Delwart s'emploie (...) à donner une voix et un visage aux millions de Grecs écrasés par la catastrophe économique qui frappe leur pays.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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Chut

Athènes, de nos jours. Dimitra Aegiolis grandit. Tout la perturbe, son corps, sa vie, sa famille, cette ville, ce pays dans lesquels elle vit et qu'elle ne reconnait pas. Et pourtant, Dimitra n'a que quatorze ans, la vie devant elle et tout à découvrir. Un jour devant sa glace, devant cet inconnu qu'est ce corps qui se transforme, elle prend une décision importante, celle de ne plus parler pendant un temps encore indéterminé. La décision prise, il faut l'annoncer, à cette famille qui se délite, ses parents qui se séparent, sa sœur qui ne la comprend pas, son frère qui s'éloigne (pour fuir ou pour se protéger ?) à l'école et à ses professeurs dubitatifs et perplexes, à cette grand-mère à qui elle n'a rien à reprocher, mais qui finalement aime son silence.

Alors la parole est remplacée par les mots, ceux que Dimitra va lire dans les bibliothèques, pour s'imprégner des paroles des sages de la Grèce antique, des grapheurs, connus ou pas, qui crient leurs mots sur les murs des villes du monde. Dans cette ville aux murs constellés de graffitis, d'affiches, de cris de révolte, petit à petit, Dimitra a trouvé un vecteur pour ses pensées, son cahier pour communiquer, ses mots sur les murs pour s'exprimer. Timides et désordonnés tout d'abord, puis plus structurés, percutants, aux intentions mieux affirmées, ses mots sur les murs sont comme des messages et des bouteilles à la mer pour ceux qui l'entourent, pour les passants, pour les touristes. le tout dans une Grèce en pleine période de crise financière et politique, le chômage, les déficits, les manifestations, la révolte conte le FMI et les banquiers du monde qui ne laissent plus vivre les hommes en paix.

L'intrigue est intéressante et m'a bien plu, mais que dire de cette écriture, des phrases sans verbes ou sans pronom, qui s'étirent indéfiniment sans ponctuation, des phrases aux structures étranges qui perdent le lecteur. C'est fastidieux à lire. Certes l'écriture est voulue ainsi par Charly Delwart, mais honnêtement je m'y suis perdue et j'ai parfois eu envie de fermer le livre uniquement à cause de ça. C'aurait été dommage, mais du coup je n'ai pas eu un grand plaisir à lire ce roman. Mais Chut, je ne vous en dis pas plus, vous pouvez aller voir par vous-même.




Lien : https://domiclire.wordpress...
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Chut

Ecrire au marqueur pour redonner de l'espoir, pour inciter au travail de la conscience et lutter, à coups de mots, contre le chaos qui s'installe : « si un tombe, nous tombons tous », « savoir, c'est se souvenir », « toucher le fond, remonter ». Sur un mur : « ça va aller, je suis là » ; et à l'entrée du métro : « on traverse cela ensemble ». L'odyssée urbaine de cette jeune fille est un très bel hymne à l'espoir. Elle va avoir 15 ans, et nous interroge tous.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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Chut

Dimitra s'insurge, décrit et écrit le quotidien dans ses cahiers et sur les murs de la ville. C'est une immersion dans la crise grecque, le quotidien de tout un peuple qui s'indigne. Coûte que coûte, Dimitra doit se construire alors que son univers s'écroule, pour garder la tête haute elle s'éveille a la politique, elle disperse ses petites phrases...

Un roman sur l'adolescence, une crise sur fond de crise. Un instant de lecture touchant.

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Circuit

Le propos de ce roman mérite tous les éloges. Un cadre au chômage, par un pur hasard, se retrouve dans un bureau d'une chaîne de télé d'info en continu, est pris pour une nouvelle recrue, et va alors pervertir de l'intérieur le média à sensation… Savoureux, inattendu et jubilatoire, cette histoire ! Seul (petit) défaut, le style qu'adopte l'auteur, une sorte de grandiloquence bavarde, nuit à l'efficacité du récit tant il est difficile de s'y adapter. Une sorte de péché d'ambition littéraire… Si l'on parvient à ajuster son rythme de lecture – il faut lire très vite pour atténuer la lenteur des phrases – on profite à plein de la satire vigoureuse et, à mes yeux, pertinente, du monde la communication audiovisuelle.

°

Cette histoire ferait d'ailleurs un excellent film, au point que je parierais volontiers que les droits d'adaptation ont été acquis, sans toutefois avoir débouché sur un tournage – à moins que j'aie mal cherché sur le web.
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Circuit

Un texte original, farceur, étrange. Charly Delwart tient sa plume comme une caméra. Il zoome, zoom-arrière, zoom- avant. Il enchaîne les travellings, use d'une écriture méthodique et minimale qui parvient à rendre logique la succession des déraillements. Une histoire écrite dans un style très contemporain avec une musicalité très rythmée qui vous habite longtemps.
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Citoyen Park

Dimitri Nablowski est devenu Yung-Wan, le nouveau dirigeant du Kamcha. On le berce de la légende de son père, toujours différente, mais grandiose.

Je n'ai rien compris à ce livre que j'ai abandonné après avoir lu péniblement (et très courageusement!) la première partie. Je craignais pour ma santé mentale : pour moi, les phrases n'ont ni queue ni tête. On dirait que l'auteur a jeté sur le papier des mots puisés au hasard dans un sac : « Eux à pouvoir rentrer chez eux, la croyance de bientôt. » ou « Un gap devant lui, il avait continué de réfléchir mais des questions. »

C'est moi qui suis stupide ou il y a vraiment un malaise, là ? J'aimerais bien connaître quelqu'un qui a lu le roman jusqu'au bout et l'a aimé pour qu'il m'explique.

Pour ma part, je me suis empêchée de jeter ce bouquin par la fenêtre : il aurait pu assommer quelqu'un car il compte quand même plus de cinq cents pages !
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Citoyen Park

Grâce à la maison d'édition Seuil, j'ai pu lire Citoyen Park, le troisième roman du belge et parisien Charly Delwart dont l'idée de départ m'interessait beaucoup.



Ce roman nous emmène en effet sur les chemins sinueux de la politique et de la représentation, notamment cinématographique, en proposant une biographie romancée de Kim Jong-Il, fils du « fondateur » de la Corée du Nord et son « Dirigeant bien-aimé » entre 1994 et 2001.



Car le Kamcha du Nord, le pays où l'auteur situe l'intrigue de ce Citoyen Park ressemble étrangement à la Corée du Nord. Les personnages et les situations de ce roman n'étant pas purement fictifs, toutes les ressemblances avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne seront pas fortuites.



Si le roman doit être salué par l'ampleur et l'ambition de son sujet, hélas, les bonnes intentions du départ s'effacent devant le style choisi par l'auteur, assez lourd et indigeste. Monocorde, usant de phrases heurtées et souvent incomplètes, l'écriture de Delwart n'est certes pas académique, mais rend la lecture de ce roman assez éprouvante.



Et avaler les plus de 500 pages de cette biographie romancée tourne malheureusement assez vite à la corvée. Bref, un citoyen park dont on peut éviter d'y faire un tour...
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Citoyen Park

Au XXIe, le régime nord-coréen fait figure d’épouvantail. Il apparaît si anachronique, archaïque, obscur et son dictateur si caricatural et romanesque que l’on pourrait aisément les considérer comme purement fictifs. C’est peut être pour cette raison que Charly Delwart a eu pour ambition d’écrire un roman racontant l’ascension et l’exercice du pouvoir par un certain Jung-Wan, régnant d’une main de fer sur le Kamcha du Nord, et qui s’avère étrangement ressemblant à Kim Jong-Il.

Bercé par l’image d’un père héros de l’indépendance, Jung-Wan n’aura de cesse de sublimer la réalité et la révolution kamchéenne pour mieux assumer sa fonction. Avec une foi inébranlable, un regard froid et lointain, il use de tous les artifices pour endosser le costume légué en héritage, réécrit son histoire et celle du pays quelles qu’en soient les conséquences pour la population.



Un roman, vraiment ? C’était peut être un projet trop ambitieux pour ce livre qui en fin de compte se refuse à revendiquer son véritable genre. Trop fidèle à l’histoire de la Corée du Nord, dénué de tout élan d’imagination susceptible d’emporter le lecteur, Citoyen Park ressemble avant tout une biographie insuffisante. La maigreur de la qualité de l’information, la raideur du style, l’approche didactique et monocorde de l’écriture sans oublier les répétitions peinent à enthousiasmer.

Pour qui connaît les lubies de Kim Jong-Il, rien de bien nouveau, le livre reprenant la biographie officielle aussi bien que les anecdotes notoirement connues.

L’auteur use et abuse d’une plume sèche jusqu’à l’os alors que le personnage se veut flamboyant, éloquent. Enfin, en l’absence de souffle épique, la construction littéraire est enfermée dans la quête obsessionnelle du pouvoir de Jung-Wan, l’organisation du pays pour assouvir sa démagogie, si bien que j’ai refermé le livre avant de parvenir à la dernière page. Ce qui est très rare.

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Databiographie

Sur le bandeau qui orne la couverture sont dessinés, sur fond de papier écolier à petits carreaux, cinq carrés de différentes tailles. Au centre de leur surface, des indications chiffrées en m2 et à côté des noms de ville. Et la légende " surface que j'aurais pu acheter avec le budget dédié à ma psychanalyse". Comment aurais je pu résister à une telle accroche ? Des informations qui n'ont rien à voir entre elles sont réduites à l'état de données. Voilà qui suffit à leur conférer une légitimité à cohabiter, quelle idée ! Et tout le livre alterne ainsi infographies et notes plus ou moins en rapport en s'organisant autour de grandes thématiques. Derrière le choix de chaque information, il y a une quête identitaire assumée, l'idée que cette "micro data" peut autant dire sur ce qu'est un homme que le brassage algorithmique du big. C'est déjà tout un programme. Mais bien sûr, décider de mentionner le nombre d'ongles coupés ou rongés, de pensées de drames potentiels par an, de fois où l'auteur a dit merci (397850) ou non merci (759790) est déjà une attaque en règle contre le projet scientiste de laisser parler les chiffres. Derrière leur juxtaposition, il y a une volonté malicieuse, poétique ou subvertive : la rencontre d'un parapluie et une machine à coudre sur une table de dissection, façon 21e siècle. La précision toute mathématique des données met fatalement en lumière l'impossible décompte, la vanités d'espérer effectivement cartographier exactement l'impression de vivre dans le présent, le passé ou le futur selon les âges de la vie, la proportion entre les fois où le narrateur a ri, fait rire. Et ce fossé entre la volonté affichée et l'impossibilité d'y parvenir est aussi un révélateur identitaire. C'est un livre concept, vertigineux et amusant qui invite à tester incessamment la distance que prend le lecteur avec son contenu, qui invite à projeter ses propres chiffres et décomptes. Qui fait entrer dans une forme d'intimité parfois plus inconfortable que certaines autobiographies aussi apparemment cliniques et aseptisées que soient les donnés fournies.
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Databiographie

Merci Charly Delwart pour cette autobiographie hors du commun! Je suis tombée par hasard sur ce livre dans une vente de seconde main, et ai été directement happée par les statistiques farfelues choisies par l'auteur pour se définir. C'est drôle et ça fait réfléchir sur ce que l'on mettrait soi-même en avant en écrivant une databiographie.
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Databiographie

Charly Delwart, nous emmène avec lui dans son autobiographie mais choisi de l’aborder par les faits, les chiffres, nous dévoilant ainsi sa databiographie.



Ce livre, de style non identifié, vous entraine aux travers des chapitres explorer les différents aspects de la vie de l’auteur via divers graphes et réflexions plus ou moins longues en rapport avec le sujet. Mais en parcourant, le sourire aux lèvres, les données de la vie de Charly, c’est notre propre parcours, nos propres choix que l’on commence à analyser et a remettre en question.
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Databiographie

Charly Delwart se pose toujours beaucoup de questions. A partir de ses questions et des réponses éventuelles, il s’en remet aux statistiques. Une bonne occasion de nous parler de lui.



Attention, OLNI (Objet Littéraire Non Identifié) ! Une idée très originale. L’auteur nous parle de lui en fonction des représentations graphiques qu’il a établi en fonction de différents thèmes (la vie, la mort, le couple, le sport, …). Une manière originale et intéressante d’un auteur de se livrer à ses lecteurs.



Même en n’étant pas très fan des maths et des statistiques, j’ai complètement adhéré à ce roman. Il vous fera réfléchir à vos propres statistiques en fonction de votre vécu, à votre propre humanité, individualité. Un livre qui vous remet au centre de l’humanité et qui nous montre au final que nous ne sommes pas grand-chose, juste un minuscule grain de sable dans cet univers. Vous vous retrouverez forcément dans certaines statistiques.



Bref, j’ai beaucoup aimé !
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Databiographie

Dans une autobiographie à mi-chemin entre littérature et art contemporain, Charly Delwart met à plat les « petites données » de son existence.
Lien : https://www.lemonde.fr/criti..
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Databiographie

Databiographie est un livre de type expérimental dans lequel Charly Delwart tente d’analyser sa vie au moyen de données statistiques présentées sous forme graphique. À l’ère du big data, le résultat est à la fois amusant et intéressant.



Chronique complète sur le site du Suricate Magazine
Lien : https://www.lesuricate.org/d..
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Databiographie

Conseillée par ma libraire, qui l'a déjà offert à plusieurs de ses amis, je me suis plongé dans la lecture de cette biographie particulière.

A mon sens, il est important de ne pas la prendre au premier degré. Le grand intérêt de cet ovni littéraire réside dans sa grande capacité, si vous vous laissez prendre par la main, à vous proposer un moment d'introspection.

C'est brillant, intéressant et ludique. J'ai eu très souvent le sourire aux lèvres et je pense que rarement un roman m'aura autant fait réfléchir à ma vie et à la Vie.

Petit bémol peut être pour la longueur du livre, car une fois l'exercice lancé, certains éléments peuvent paraître un peu redondant. Mais l'écriture est belle et la fin du livre est superbe de sens et de réflexion.

Voilà un beau roman, écrit en Je mais qui pour une fois, se lit également en JE. Merci à l'auteur et bonne route à lui.

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Databiographie

"Databiographie " de Charly Delwart (336p)

Ed. Flammarion

Bonjour les fous de lectures ….

Ce mec est un grand malade, complètement déjanté !

Il ne pouvait être que belge !!!

Charly Delwart s'est toujours posé beaucoup de questions sur tout.

Fou de statistique, il a décidé de transformé toutes les données recueillies au cours de ses 44 ans de vie et de les transformer en graphiques tous les plus improbables les uns que les autres.

Nous découvrons non seulement la vie de Charly mais aussi la notre.

Résumé très intéressant de la vie d'un homme ordinaire.

Beaucoup de schémas nous parlent, certains nous font sourire, d'autres réfléchir.

Voici, en un peu plus de 300 pages, la vie d'un être humain à l'heure du Big Data.

Ludique et original.

Beaucoup aimé .
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Databiographie

Cette œuvre est une biographie originale où l’auteur parvient de façon originale, au travers des chiffres et des graphiques, à se présenter à nous. Elle reprend des sujets très variés, comme par exemple, au hasard, « nombre de fois où on m’a pris pour », « superficie de pizza ingérée », « photographies prises sur un an », « nombre d’insecte qui m’ont piqué/que j’ai écrasé »,… et tant d’autres encore… Les thèmes recouvrent le comportement civique, le sport, la famille, etc… Pour le comptage, l’auteur s’est basé sur ses souvenirs et sur les statistiques de la moyenne de la population.



Comme pour toute chose, une personne ou une vie ne peut pas se peser à de simples données chiffrées. C’est l’envahissement des big datas dans nos sociétés qui a donné l’idée à l’auteur de la réaliser. Et ce clin d’oeil s’accompagne d’ailleurs de textes intéressants.



Je m’y suis évidemment un peu projetée, ce qui n’a pas donné pas grand-chose de bien reluisant à première vue. Et certains graphiques interpellent la réflexion, surtout sur l’évolution au cours de la vie.



C’est agréable à lire et drôle. Les graphiques sont esthétiques. Je n’ai ressenti d’ennui à aucun moment.

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