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Citations de Claire Bergeron (169)


Elle était usée et sans aucun ressort pour rebondir. Ne voyant pas d’autre issue que d’accepter son destin, elle encaissait les sévices physiques et psychologiques. Il était bien loin, le temps des débuts de son mariage où elle croyait encore au miracle qui aurait changé son mari.
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Nul ne peut désunir ce que Dieu a uni.
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Elle ressuscitait chez lui les désirs de son adolescence, l’époque lointaine où les filles le faisaient rêver et lui donnaient le goût d’une famille, d’enfants à chérir et d’une personne aimée dans son lit.
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Quand un homme a un seul garçon, il est normal qu’il veuille lui passer le flambeau.
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Une évidence peut cacher des surprises.
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Un assassin qui s’accuse avant l’enquête préliminaire ne laisse pas beaucoup de marge de manœuvre à l’avocat chargé de sa défense…
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Comme c’est un peureux qui ne s’en prend qu’aux plus faibles que lui, il va redouter la justice, dorénavant.
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Ne vous préoccupez pas de moi. Comme je l’ai dis, j’ai des souvenirs pour me tenir compagnie.
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Si la vie prend, elle peut aussi donner.
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J’ai compris très tôt dans la vie que, si tu veux être heureux, il ne faut pas t’apitoyer sur ce qui te fait défaut. Tu dois, au contraire, te réjouir de ce que tu as la chance de posséder.
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D'aussi longtemps qu'il se souvenait, son père lui avait répété que l'argent, ça se gagnait, et qu'il fallait se méfier des beaux parleurs.
– Une fortune, ça ne pousse pas dans les arbres. Si on te le fait croire, ce n'est qu'un mirage, ajoutait le sage Azarie Desmarais.
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Chacun de nous a ici-bas une part de bonheur qui lui est dévolue; il ne faut jamais cesser d’y croire.
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Au grand bonheur de sa mère, qui n’avait que lui d’enfant, Aymeric était donc resté. Il s’était construit une coquette maison à Sutherland City, sur un cap rocheux qui surplombait le lac, à distance de marche du moulin. Depuis cinq ans, il n’avait jamais regretté son choix. Les Sutherland étaient affables avec lui, le traitant plus en ami qu’en employé.
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Ce drame qu’il venait de vivre était effarant, inconcevable, le pire qui pût se produire : une famille décimée en une fraction de seconde. Quelques minutes auparavant, lorsqu’il avait abordé le chaland, ils paraissaient tous si heureux. Mademoiselle Fabiola, alors superbe dans la lumière ambrée d’une délicieuse fin de journée, semblait pour le moment être l’unique survivante.
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Quelques mois auparavant, il avait décidé que le moment était venu de rompre avec sa maîtresse. Il ne voulait plus mettre en péril son bonheur pour une aventure qui durait depuis trop longtemps. Bien sûr, la rupture n’avait pas été facile, mais il s’était montré ferme, et la dame avait fini par comprendre. Elle avait promis de conserver leur secret, de ne rien tenter pour nuire à sa réputation et risquer de détruire sa famille.
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C’est incroyable ce que l’on accumule de choses dans une vie, pensa-t-elle. Ses vêtements, ses chaussures, sa montre, tout était là, devenu tristement inutile. Elle préférait donner ses affaires à ceux qui en avaient besoin plutôt que de les jeter.
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Si tu avais vu comme il était beau, ton grand-père, dans la force de l’âge ! Le maintien noble, élégant… un éminent avocat, admiré par ses pairs. Moi qui croyais ne plus jamais aimer, j’ai été conquise dès notre première rencontre.
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Le succès des Alliés, quoiqu’important, l’était moins pour elle que d’apprendre que son garçon était vivant. Elle était bien consciente que, pour éviter de l’alarmer, Raymond faisait de son récit de guerre une joute épique presque irréelle ; Fabiola savait que le désert égyptien, avec sa chaleur insoutenable, était source d’insolation et de maladies infectieuses qui provoquaient également des ravages au sein des troupes.
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— Tu as un regard magnifique, remarqua-t-il. Jamais auparavant je n’ai vu des yeux de cette couleur. On dirait un coucher de soleil un soir d’été, quand le mauve se marie au gris du crépuscule.
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Pendant qu’elle s’abandonnait à la musique, ses pensées s’envolèrent vers Kalouch. Dans la grande maison de son père, un feu crépitait et une bonne odeur d’épices flottait dans l’air. La voix d’Anton lui parvint, aussi nettement que s’il avait été à ses côtés. « À chaque problème, il y a une solution, lui disait-il. Nous formons une famille qui n’abandonne jamais. Il te suffit de chercher et tu trouveras. »
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