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Critiques de Clotilde Bruneau (563)
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Gilgamesh, tome 1 : Les frères ennemis (BD)

Encore une fois la saga : La sagesse des mythes ma impressionné avec des dessins à la hauteur de son scénario. Je vous conseille grandement ce livre vous ne le regretterez pas .
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Gilgamesh, tome 1 : Les frères ennemis (BD)

La collection « La Sagesse des Mythes » fait un aparté sur la mythologie sumérienne. J’avouerai que je ne connais pas du tout cette mythologie et quoi de mieux que de la découvrir avec cette collection.

En fait, ce n’est finalement pas la meilleure façon de découvrir la première des mythologies par le biais de ce récit qui est plutôt fade.

Un Roi se comporte mal, les Dieux envoient un être qui est tout le contraire de lui ; et effectivement il se révolte contre lui pour… finalement devenir les meilleurs copains du monde et se dirent « bah en fait c’est normal de taper les humains, on est plus fort ! ».

On rajoute à cela l’analyse philosophique de Luc Ferry qui n’aide pas à apprécier l’histoire de Gilgamesh, et je me retrouve fort déçu de ce premier tome qui explore un nouvel univers mythologique.

À voir si la suite me permettra de plus apprécier et mieux comprendre la mythologie sumérienne.
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Gilgamesh, tome 1 : Les frères ennemis (BD)

Moi qui n'avais pas lu Gilgamesh avec la classe en 6 ème, j'étais curieuse de découvrir l'histoire.



Et c'est à travers la série de BD de Luc Ferry que j'ai décidé de le faire.



Et j'en suis très déçue. Le récit est divisé en 3 tomes et dans celui là il ne se passe absolument rien !

À part la rencontre entre Gilgamesh et celui qui va devenir son meilleur ami. On apprend quand même quelques petits trucs sur lui mais sinon c'est le vide intersidéral !



40 pages pour une seule rencontre !



J'aurais aimé avoir plus d'actions (oui je reste beaucoup dessus mais c'est parce que je n'ai retenu que ça), limite plus d'informations, mais là rien. (Après je ne suis pas allée fouiller dans le cahier avec les tableaux et tout à la fin).



Les dessins sont réussis donc ça relève un peu la note.



Au final, j'y suis passée beaucoup de temps mais j'y reviens comme quoi en 40 pages il se passe un truc qui pourrait en durer 10 même pas. Je vais cependant continuer vers les autres tomes en espérant que ça me plaira.
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Gilgamesh, tome 1 : Les frères ennemis (BD)

Une épopée à caractère philosophique expliquée en fin d'ouvrage après la partie BD illustrée de beaux dessins; la construction des habitations en roseaux arqués est dessinée avec réalisme, respectant les connaissance de l'habitat de l'époque.

Enkidu, l'alter ego de Gilgamesh créé par les dieux car implorés par la population qui est exaspérée par les divers abus du roi.

Magnifiques illustrations tirées de Wonders of the past : the romance of antiquity and its splendours.
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Gilgamesh, tome 3 : La quête de l'immortalité (..

Le troisième tome de l'histoire de Gilgamesh m'a moins intéressée que les précédents. Et pourtant les dessins restent plaisants à regarder. J'avoue que je connais beaucoup moins la mythologie mésopotamienne que le reste mais ceci dit, on en apprend toujours.
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Gilgamesh, tome 3 : La quête de l'immortalité (..

La troisième et dernière partie de l'épopée de Gilgamesh en B.D... et on aurait aimé sur le sujet quelques mots de Luc Ferri, qui a expliqué jusqu'à la fin du tome 2 à la fin du tome ... Car Gilgamesh ne se remet pas d'un deuil, et veux trouver l'immortalité... un fait qui peut semblé contradictoire, survivre à la personne dont on se sentait le plus proche... mais la quête de l'immortalité dans ce genre d'histoire ne veut pas forcément dire sur terre... c'est bien ce que nous avons du mal à comprendre, nous les occidentaux modernes... il s'agit plutôt d'une quête spirituel qui nous met éternellement à l'abri de la souffrance, et même pour les bouddhistes, à l'abri du rythme du cycle de renaissances et de morts.... et quand on sait cela, on commence à comprendre à quoi cela rime...

Alors Gilgamesh, au début de ce volume, a déjà parcouru désert et mets pour arriver à une porte avec des gardiens... qu'il doit convaincre de le laissez passer pour rentrer sur les terres de son protecteur où vit un homme le seul qui est devenu immortel... cependant, si Gilgamesh arrive à passer d'autres épreuves terrifiantes, l'immortalité n'est -elle pas plus un cadeau accordé par les dieux, ces mêmes dieux qu'il a fâché ? Encore un volume qui ravira un adolescent passionné en mythologie, qui recherche des approches simples des grands mythes, pas forcément dans un premier temps un livre avec un texte original et un tas d'explication.... Les trois volumes seront appréciés comme première approche du sujet...
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Gilgamesh, tome 3 : La quête de l'immortalité (..

Gilgamesh ne se remet pas de la mort de son frère de cœur, Enkidu. Effrayé par la mort, il se met en quête de l'immortalité et parcourt un long voyage pour rencontrer le seul mortel qui y a accédé : le supersage Utanapishti.



Fin de l'histoire mythologique de Golgamesh, roi d'Uruk, qui va traverser beaucoup d'épreuves pour rencontrer Utanapishti. Il est prêt à braver la mort pour obtenir de ne jamais la croiser. Et au final repartir avec la sagesse de se contenter de ce que l'on a.

Une série de vulgarisation de la mythologie réussie. On peut facilement repérer les éléments qui ont été repris dans la bible, le plus flagrant étant Noe.

Le dessin est réussi est soigné et parfaitement au service de l'histoire.
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Gilgamesh, tome 3 : La quête de l'immortalité (..

Dans ce tome, Gilgamesh, toujours à la recherche de l'immortalité, se rend dans les jardins du Dieu soleil avant de traverser un océan empoisonné et trouve enfin le super sage. Malheur à lui, l'immortalité ne peut être transmise. C'est quand même l'occasion pour Gilgamesh d'en apprendre plus sur l'histoire de l'humanité et du déluge. Les rédacteurs de la Bible ont en effet plagié les sagesses sumériennes pour décrire le même épisode avec Noé. Là encore, quand Gilgamesh finit pour trouver une herbe de jouvence à défaut de l'immortalité, le serpent vient troubler le monde idéal...

Le dessin est de bonne qualité mais l'histoire est rapide. C'est quand même un excellent moyen d'entrer dans la mythologie sumérienne méconnue en Europe.
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Gilgamesh, tome 3 : La quête de l'immortalité (..

Et de trois ! Voici la conclusion, de l’adaptation en bande dessinée, façon « la sagesse des mythes », du plus ancien roman au monde. Comme pour les deux précédents, le changement de ton sera ici de rigueur.



Après la mort de son frère, Gilgamesh part pour sa dernière quête, l’immortalité, rien de moins. En chemin, il va rencontrer des créatures extraordinaires, sera mis à rude épreuve, devra remplir des objectifs, payer les conséquences de ses actes avant de toucher au but…



Progressivement, le protagoniste laisse la place à la quête et aux contrées qu’il va devoir traverser. Le voilà qui fréquente une sorte de jardin d’Eden et des lieux franchement paradisiaques, ce qui donnera forcément l’envie au lecteur de rêver… La phase finale laissera la place à un récit enchâssé, une conclusion qui joue sur l’humour.



Sans être inintéressant, l’adaptation manque quelque peu d’ambition et apparait ici cousue de fil blanc. Ne maque que la leçon sur les méfaits de l’immortalité et le tableau aurait été complet, mais au moins ce passage nous sera épargné. Scénario et dessins font de leur mieux pour occuper le lecteur, mais tout cela reste étrangement… vide.



Les dessins sont agréables et nous emmènent vers d’autres horizons. Si les hommes de pierre auraient peut-être mérité un traitement plus poussé, tout sent ici le travail de qualité. La mise en page est dynamique même si le propos ne l’est pas forcément. Force est de constater que l’ennui n’est pas au rendez-vous.



Voici donc une conclusion décevante… mais sur laquelle il serait dommage de faire l’impasse pour celles et ceux qui ont lu les deux premiers volumes.

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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

Nouveau tome pour cette série consacrée à la mythologie. L'es auteurs s'attaquent cette fois au personnage d'Héraclès. Il y aura d'ailleurs plusieurs volumes sur ce demi dieu. Le premier publié décrit la jeunesse du héro (enfin également le début de sa vie d'adulte...). Il est vrai que cette série s'adresse plus aux adultes qu'aux enfants. C'est un bon support pour ceux un peu rebutés par la lecture des auteurs anciens pour découvrir la mythologie.



Dans cet album, j'ai apprécié la qualité du graphisme. La mise en couleur la un peu perturbé au début avec à mon goût un léger voile gris sur l'ensemble de l'album, mais on s'y fait très vite. L'histoire est prenante, mais vous me direz que les scénaristes n'y sont pour rien : merci les auteurs grecs. Pour autant, le découpage et le rythme de narration sont plutôt bons. On découvre un héros tragique au sens grec du terme, issu de l'union illégitime de Zeus avec une reine tout ce qu'il y a de plus humain. Le demi-Dieu ainsi né fera ensuite l'objet de la jalousie de Héra, qui fidèle à sa réputation n'a de cesse de se venger des infidélités de son époux sur les humains (femmes séduites ou enfants de ces dernières).



Du coup, mon seule regret consiste dans le contenu du livret philosophique explicatif centré sur Héraclès et qui nous apprend tout juste que ce dernier s'oppose aux forces du chaos pour maintenir l'équilibre du monde avec la même force brutale que celle utilisée par ses ennemis. Le chat est maigre...! J'aurais préféré une analyse des relations entre Héraclés et Héra et des explications sur cette tension entre celui qui est chargé de l'équilibre du monde et cette déesse protectrice des femmes, déesse du mariage, protectrice de la fécondité et du couple...

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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

Cette première partie d’une trilogie consacrée à Héraclès fait partie des meilleurs albums de la série la sagesse des mythes.



Certes l'album est une longue introduction, mais elle a le mérite de s'intéresser au passé de celui qui n’est pas encore Héraclès. Cette partie de la vie du héros est généralement la moins connue et le scénario permet ici de s’y plonger. Il permet également d’approcher à quelques mythes secondaires (la conception, la création de la voie lactée, les dessins contrariés de Zeus, la rivalité avec Héra). Le propos est donc dense et tiendra facilement le lecteur en haleine.



Les dessins d’Annabel sont parmi les meilleurs de la série. Le style des dieux est respecté et l’univers graphique également. Mais ici les dessins vont plus loin : les interventions de Zeus sur terre sont absolument sublimes et terrifiantes. La mise en page est dynamique et les dernières planches sont composées d’une manière tout à fait adaptée à la complexité de la scène.



Le seul bémol que l’on pourra noter concerne l’appareil critique de Luc Ferry. Ses explications sont cette fois-ci liées à l'album, ce qui n'est pas toujours le cas... sauf que les commentaires se contentent d’expliquer la dualité du personnage (qui au passage est très bien développée dans le récit). Tout cela est argumenté, légèrement plus complexe, mais l'idée générale reste celle-là. Il aurait été plus intéressant, par exemple, de s’épancher davantage sur les mythes secondaires que d’insister sur un seul thème. Les révélations sur la suite restent désagréables même si elles sont cousues de fil blanc. Le philosophe ancien ministre se permet par ailleurs le luxe de critiquer nombre de supports... sans les citer. Trop post moderne peut-être ?



Si l'on s'en tient à l'histoire, cette bande dessinée reste une bonne pioche. L'album donne envie de lire la suite ! Il s’agit ici par ailleurs d’un outil pédagogique qui mérite d’être diffusé.
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

C'est une bonne idée de raconter la geste d'Héraclès en 3 tomes, cela permet de raconter toute son histoire pour avoir une vue d'ensemble sur la vie et la mort du personnage. Dans ce tome 1, nous suivons Alcide de son vrai nom de sa conception à la réception de son nouveau nom en expiation de ses fautes impardonnables (à savoir le meurtre de sa femme et de ses enfants de ses propres mains)…

Héraclès est comme Achille ou le Gilgamesh mésopotamien le premier parmi les hommes mais le dernier parmi les dieux. Partagé voire coincé entre deux mondes (remember Superman), élevé comme un être humain bien qu'il n'en soit pas un (remember Superman) il a bien du mal à trouver sa place dans la société des hommes (remember Superman), mais alors qu'il aurait facilement pu comme n'importe quel hominus crevaricus devenir de tyran de l'humanité il en est au contraire devenu le bienfaiteur et le protecteur (remember Superman)… Et j'insiste bien sur la similitude avec Superman pour mieux tailler des croupières aux conneries débitées par l'ancien ministre Luc Ferry !

Toutefois Alcide / Héraclès est un héros antique : il est héroïque non parce qu'il est un chevalier blanc au service de la veuve et de l'orphelin mais parce qu'il accomplit des exploits au-delà des capacités des simples mortels. Alcide / Héraclès est impulsif, colérique, violent, bon vivant voire luxurieux : dans ses excès, il est à l'image de ses pères… Ce qui le fait basculer c'est sans doute autant la mort de son père présumé qu'il chérissait, qui l'oblige à passer du statut de prince à celui de roi, que la mort de sa famille, qui l'oblige à passer du statut de protecteur de sa famille à celui de protecteur de l'humanité (dommage que ce passage soit aussi mal mis en scène, tant scénaristiquement que graphiquement… Morvan et Looky l'ont autrement mieux traité dans leur détournement SF de la saga !). Alcide l'insouciant devient Héraclès le tourmenté, mais dans les deux cas il reste le héros de l'humanité… Et pour ne rien gâcher tout cela est mis en scène de manière plaisante tant par la scénariste Clotide Bruneau que par le triumvirat graphique représenté par le storyboarder Didier Poli, la dessinatrice Annabel et la coloriste Chiara Zeppegno (les femmes au pouvoir, c'est assez rare en bande dessinée pour que je me fasse une joie de le signaler ^^), même si je suis obligé d'écrire que tout cela manque quand même de souffle épique…



Passons aux choses qui fâchent, à savoir les conneries débités par l'ancien ministre Luc Ferry, qui je le rappelle est censément être la caution scientifique de la série alors qu'il signe depuis le début de la série des cahiers pédagogiques aussi indigestes qu'illisibles que je qualifie sans aucun remords de gloubi-boulga (sans parler du fond, qui lui est d'une indigence sans nom).

Luc Ferry commence donc par fustiger les ouvrages de vulgarisation du personnage, à commencer par les films hollywoodiens, qui selon lui rabaisse le héros mythologique au rang de vulgaire héros de roman policier, voire d'ersatz de James Bond, ou pire encore d'ersatz de Superman, qui ne sert qu'à pâmer les jeunes filles et punir les méchants. Bon déjà il montre qu'il ne connaît absolument rien aux romans policier, à la saga James Bond et aux mondes des comics super héroïques, et cela fait tâche pour un intello qui se la pète grave dans les médias prestitués. Et ensuite il explique sa grande théorie comme quoi Héraclès / Hercule est le shérif adjoint de Zeus, destiné à faire appliquer sur Terre l'ordre que Zeus fait régner au Ciel. Comment dire ? Il ne ressort pas grandi de proposer une interprétation du personnage plus pauvre que toutes celles réalisées par toutes les oeuvres qu'il fustige pour la simple raison qu'elles sont populares et non optimates… C'est marrant parce que les autres auteurs se sont fait une joie de se foutre carrément de sa gueule en mettant en scène un Alcide qui passe son temps à pâmer les jeunes filles et à punir les méchants avant que le ciel ne lui tombe sur la tête. On y est, ils en ont sans doute marre des lubies de l'ancien ministre issu de la France d'en haut qui ici n'est pas loin d'écrire que tout ce qui vient du monde d'en bas est nul, niais et sans intérêt… Contrairement à lui, moi je les ai tous vus les films sur Héraclès / Hercule ! Alors oui je ne vais pas vous mentir il y a des nanars des familles dans le lot, mais la plupart d'entre eux respecte bien plus le personnage mythologique que Luc Ferry… (J'ai encore en mémoire cette Série B décomplexée, où un Hercule en plein doute est nommé champion des cités grecques, allégorie de la démocratie, pour affronter une Atlantide impérialiste et suprématiste, allégorie du totalitarisme)

Ce n'est pas en convoquant les mânes de Zénon de Cition, Cléanthe, Apollodore, Diodore de Sicile et Hygin, et en multipliant les citations interminable que Luc Ferry va s'en sortir à bon compte car il tire à boulets rouges sur les récupérations modernes du personnage, alors que lui construit son interprétation d'Héraclès / Hercule en piochant complètement dans les récupérations antiques du personnage. Eh Luc Ferry, tu connais les sens des mots téléologie et déontologie ???

Enfin les récits antique sont à la fois fables, contes, légendes et mythes donc on est dans un mode de narration qui n'est plus adapté au monde d'aujourd'hui : c'est contre-productif de perdre des pages à mettre en scène des anecdotes explicatives qui n'amènent rien au récit au lieu de développer le message humaniste qui en est le cœur... (Clotide Bruneau avait dit à peu près la même chose à la sortie de la série)
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

Luc Ferry continue dans sa collection pour nous présenter les plus grands héros de la Grèce antique. Il faut dire qu'il y a de quoi faire entre les dieux facétieux et les humains cupides de pouvoir.



Rien à redire sur ce graphisme accessible au plus grand nombre pour une lecture ludique et instructive. Une narration également très habile.



Ce premier tome nous présente la jeunesse du héros mythique sur fond de trame familial et de trahison. On a déjà hâte de voir se réaliser ses fameux douze travaux.



Il est juste dommage que notre héros manque tellement de consistance psychologique. Il apparaît assez fade et presque effacé. Mais bon, ce n'est que le début.
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

tome 1 : interressant
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

La collection "La Sagesse des Mythes" revient sur l'histoire des différents grands noms de la mythologie grecque.



Dans ce volume, Héraclès est mis à l'honneur, celui que beaucoup connaissent par son nom latin Hercule.



Dans ce premier volume sur trois, nous est conté sa jeunesse, de sa conception par Zeus ayant trompé une mortelle en prenant l'apparence de son mari pour la féconder, jusqu'à ce qu'il prenne conscience de son statut et du fait qu'Héra lui en veuille et le mette à l'épreuve.



Adorant la mythologie grecque, c'est avec grand plaisir que je découvre cette collection.
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

Un nouveau mythe grec narré, ici Hercule. On est bien loin du dessin animé, version que je connais beaucoup mieux que la vraie. C'est toujours avec un intérêt presque historique qu'on (re)découvre ces histoires.

Après le problème est que ça mériterait d'être un peu travaillé. C'est un peu trop brut. Les actions et les rebondissements sont vite passés, on ne va pas beaucoup en profondeur, c'est assez linéaire. Ca reste sympathique à lire et avec Héraclès on a de quoi se mettre sous la dent.

D'ailleurs on connaît assez peu la jeunesse d'Héraclès. Je ne savais même pas qu'il avait un frère jumeau. C'est un personnage assez intéressant avec beaucoup de points forts mais aussi très violents. Mais on vit tous ses déboires sans vraiment ressentir quelque chose. On reste très spectateurs.

Une fois de plus j'ai eu du mal à accrocher aux dernières pages qui nous aident à décrypter le mythe et ici plus particulièrement le caractère d'Héraclès. Ca pourrait être utile et intéressant mais c'est très laborieux à lire. J'avoue avoir fait l'impasse sur certains paragraphes.

Les dessins et les couleurs sont très jolis. Les visages sont expressifs. On y retrouve bien l'ambiance mythologique.
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

Il fut un temps où, durant mes samedis et/ou dimanches, je regardais les aventures de "Xéna la guerrière" ou de "Hercule". Oui, oui, et j'en garde un bon souvenir malgré les effets spéciaux et les histoires étranges. Et que dire des yeux d'Héra… Avant cela, ma première rencontre avec Hercule a été avec… "Les 12 travaux d'Astérix" et quel plaisir ! Un grand classique. Quel était ce héros, fort et demi-dieu ?



Dans ce premier, nous suivons la jeunesse d'Alcide, fils de Zeus et d'Alcmène, une belle mortelle, comme toutes celles que le dieu des dieux a séduites. Cette enfance sera heureuse, Alcide montre des aptitudes physique remarquables, mais doit apprendre à gérer sa force et son tempérament. Il grandit entouré de ses parents, de son frère puis finit par se marier et avoir des enfants. Héra, la femme de Zeus, ne pardonnera jamais la trahison de celui-ci et se promet de détruire Hercule. Le rendant fou, il commettra un sacrilège en tuant femme et enfant en étant possédé par des visions. Débutera alors pour lui un grand voyage en prenant le nom d'Héraclès.



Le personnage d'Hercule n'a rien de la figure parfaite : il est impulsif, impétueux, colérique, prompt à profiter des plaisirs de l'existence. Il est intéressant de découvrir sa naissance, son enfance, et cette haine viscérale que lui voue Héra (oui, car au final, il n'y est pour rien…). J'ai trouvé la BD un peu longue sur certains passages, instructifs sans être passionnant. L'histoire d'Hercule, c'est l'histoire de ses exploits, de sa force, des 12 travaux incroyables qu'il a réalisés. Malgré ses longueurs, l'histoire est une belle introduction à ses exploits.



Les dessins sont agréables, le jeu de couleur également. La scène où il perd la raison me plaît beaucoup, le visage est expressif, on devine ce qui l'accable et la culpabilité qui l'assaille.

J'ai très vite abandonné la lecture en fin de BD. Je suis toujours curieuse de découvrir les œuvres d'art réalisées et présentées, mais il y a aussi beaucoup de texte pour finalement ne rien dire ou alors si peu. Comme Antigone (oui, je sais, je reviens encore sur ce tome…), les travaux d'Hercule font partie des passages de la mythologie que j'affectionne tout particulièrement. Autant dire que j'attends beaucoup de la suite ! Et je continue à l'appeler Hercule…



En bref :



Une introduction intéressante à l'univers mythologique, dans une BD qui revient à sa naissance en tant qu'Alcide jusqu'à ce qu'il prenne ce nom : Héraclès.
Lien : https://lecturedaydora.blogs..
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

Héraclès est un nouveau héros de "la sagesse des mythes". Prévu en trois tomes, ce premier opus nous livre les secrets de la conception du demi-dieu, relativement connus. Puis de sa jeunesse où l'adolescent parfois colérique et violent a bien du mal à se trouver une place parmi les hommes, lui qui n'en est pas vraiment un. Jusqu'à ce que la jalousie d'Héra le rattrape et le condamne à être ce héros torturé largement présent dans la mythologie.



Une lecture agréable et plaisante de vulgarisation de la mythologie grecque qui aborde un héros que tout le monde connaît plus ou moins. Le fait de ne pas avoir choisi le format en tome unique est un bon choix car il permet au récit de mieux prendre son temps.

Par contre je trouve le dossier en fin d'album particulièrement imbuvable.



Le dessin réalisé par Annabel est très réussi tout en respectant la ligne éditoriale de la série.
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

On redécouvre le récit de cette jeunesse, avec les détails ultra connus, et on conclue cette lecture par une réflexion très poussée qui nous éclaire sur les tenants et aboutissants de la légende d'Héraclès !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Héraclès, tome 1 : La jeunesse du héros (BD)

Voilà encore un héros né des infidélités de Zeus : il sera maudit par Héra (alors que le fautif est Zeus) ; sa mère faillie être brûlée vive pour son infidélité (alors que le fautif est toujours Zeus) ; il sera meurtri par l’épreuve du massacre de sa famille (que les Dieux sont mesquins et cruels !) ; et il devra réaliser 12 travaux pour laver son pêché (qui rappelons-le est à cause de Héra). Je veux bien croire Luc Ferry quand il dit que Héraclès est là pour rétablir l’ordre cosmique, mais il est surtout, comme tous les héros, un jouet dans les mains des Dieux, et les Dieux ont des jeux cruels...

Passons ce côté philosophique pour le récit à proprement parler ; un récit rapide comme toujours mais très plaisant car les origines et la jeunesse d’Héraclès sont assez bien mis en scène... je regrette toujours certains passages trop vite passés en 2/3 vignettes : la tentative d’Héra de tuer Héraclès, avec 2 serpents (ou ajouter une autre tentative) ou encore le « coup de folie » du héros auraient mérité de s’y attarder un peu plus.

Un premier tome qui entame de façon plutôt intéressante le mythe d’Hėraclès... à voir si le prochain album sera une réussite car on continue avec le coeur du récit : les 12 travaux !
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