Clotilde Bruneau

Nouvel album de la sagesse des mythes paru depuis peu, ce tome inédit met en scène Typhon, personnage assez méconnu du panthéon des olympien et de la farandole divine grecque. Cet épisode narre le combat des Dieux contre cette créature monstrueuse et prête à tout pour venir à bout de Zeus. Je l'ai trouvé plutôt pas mal et dynamique !

Qui ne connaît pas le célèbre chevalier Lancelot ? Héros de la quête du Graal, défenseur de la reine Guenièvre dont il est secrètement amoureux et chevalier de la Table Ronde. Un héros qui a traversé les âges et qui est toujours admiré pour ses valeurs de droiture et de justice. Mais, justement ces valeurs chevaleresques et cet amour ne sont pas des hasards. L’origine de cette histoire remonte à l’époque de l’amour courtois chanté par les troubadours.



Les mœurs ont changés et la littérature aussi, ce n’est plus la femme qui se meurt d’amour pour le beau chevalier, mais l’inverse. C’est à lui de prouver son amour à travers de nombreuses épreuves que la femme choisit pour lui. A la fin, s’il triomphe de tous les défis, il peut recevoir un gage de cet amour : un baiser, voire plus…



C’est exactement ce qui est montré ici, Lancelot n’hésite pas à monter dans la charrette du déshonneur si c’est pour sauver la reine ! Et pour la sauver, il traversera de nombreuses autres épreuves afin de se montrer digne d’elle et de son amour, et cela même s’il ne reçoit rien en retour. Pour ceux qui connaissent l’histoire de Lancelot et Guenièvre, elle ne lui cède pas de suite, car déjà mariée, mais je m’avance trop vite, il faudra lire la suite des 3 tomes suivants afin d’avoir le dénouement.



Encore un chouette album de cette collection, le cahier explicatif qui se trouve à la fin est très intéressant et bien réalisé. On comprend bien ce qu’est l’amour courtois, son apparition et ses codes. Pour ma part, je connaissais déjà, mais ça m’a rafraîchi mes connaissances. Je suis moins fan des dessins, mais ils sont de qualités. Bref, pas grand-chose à redire, belle découverte !
Lien : https://sambabd.net/2024/02/..

On ne présente plus Lancelot. Le chevalier à la charrette au service du roi Arthur et prêt à se damner pour la reine Guenievre.. Plusieurs auteurs l'ont évoqué dans de multiples histoires et ici, dans cet album le voici mis à l'honneur dans la catégorie contes et légendes de la sagesse des mythes.

Guenievre a été enlevée par Meleagant et Lancelot s'est jurée de la secourir, à ses risques et périls et en passant tout un tas d'épreuves. Je l'ai lu sans surprise mais pour le plaisir !

Le fine amor



Présidée par le philosophe Luc Ferry, La Sagesse des Mythes s’ouvre vers d’autres horizons. Après avoir exploré les mythes antiques, la collection se penche sur contes et légendes… et c’est tout naturellement qu’elle nous immerge dans la Geste arthurienne en mettant en scène l’un de ses plus emblématique personnages : Lancelot, fils du roi Ban de Bénoïc qui fut élevé par la Dame du Lac…



Figure archétypale du chevalier et de l’amant courtois, Lancelot va se lancer avec Gauvain, le neveu du roi Arthur, à la recherche de la Reine Guenièvre, enlevé par le cruel chevalier Méléagant. Le chevalier va subir une série d’épreuve destinée à éprouver sa valeur et ses sentiments pour la Reine.



Ce récit initiatique est mis en image par le dessin somptueux qui évoque le remarquable travail de N. C. Wyeth par ses compositions et l’élégance de son trait, rehaussé par les couleurs lumineuses de Ruby… Fidèle au roman éponyme de Chrétien de Troyes qui créa le personnage, ce Chevalier à la Charrette s’avère captivant et ravira les amateurs des récits primitifs gravitant autour de la figure d’Arthur…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..

Lancelot. Qui ne connaît pas ce chevalier héroïque des légendes arthurienne ? Mais connaît-on vraiment ses épreuves comme l'a écrit Chretien de Troyes? C'est ce que nous propose cet ouvrage de la sagesse des mythes qui s'épanouira sur 4 volumes.



L'idée était belle mais pour moi elle ne s'est pas du tout concrétisée. C'est brouillon, confus, presque incompréhensible par moment. Un enchaînement d'actions et de personnages qui semblent sans queue ni tête.

Je passe sur les 7 pages de fin d'album qui essaie de nous expliquer ce qu'est l'amour courtois de manière terriblement ennuyeuse et académique, ce qui pourrait être résumé en 3 phrases...

Heureusement, le dessin sauve l'ensemble en présentant un aspect graphique expressif et dynamique.

Un peu déçu par ce premier volume d'une série consacrée au plus célèbre chevalier de la table ronde.

Je savais l'auteure capable du meilleur avec sa série sur la mythologie Grecque. Ici, pourtant, il y également matière mais j'ai trouvé l'ensemble beaucoup trop "sage". On est à la limite de la légende et de l'histoire, il manque un souffle épique, une tension amoureuse qui est restée pour moi au niveau intellectuel, sans ressenti.

Beaucoup de belles femmes rencontrées certes, avec des couronnes dans les cheveux, des sourires enjôleurs, mais peu de compréhension de leurs rôles, de leurs motivations. Viviane est-elle l'une d'entre elles?

Le dessin est beau et précis dans tout ce qui est décors, ajoutant au côté "réaliste" qui justement m'a un peu empêché de me sentir en terre de légende. Mais le propos est trop souvent obscur, les actions peu lisibles. Quand Lancelot rencontre la charrette qui va lui donner son sobriquet, il est quasiment impossible de comprendre ce que représente celle-ci. Un non-initié ne peut pas saisir à ce moment de lecture.

Le pire est sans doute l'appendice pédant d’académisme de fin d'ouvrage qui veut nous expliquer l'amour courtois, et qui en claironnant que ce n'est pas à faire car ennuyeux, nuance avec le fin'amor... Heureusement de très belles illustrations font oublier le peu d'intérêt du propos du rédacteur qui n'ayant sans doute pas compris à qui s'adresse ce genre de bande dessinée, a simplement demandé à une pseudo-intelligence artificielle de lui pondre un article académique.

Car pour qui ? Normalement un public jeune ou adolescent, qui veut se frotter aux mythes fondateurs sans se plonger dans Chrétien de Troyes en version originale, le douzième, ça pique un peu...

Gageons que ceux qui peuvent apprécier cette BD, à juste titre car elle est très respectueuse du modèle, seront en mesure de se délecter de l'original...

Euh c'est une histoire ça?



Ok, il y a 4 tomes de prévus. Mais celui-là n'est pas digne d'être un tome séparé. On a affaire à une petite introduction et à peine le temps de se mettre dans l'histoire qu'il est l'heure d'attendre la sortie du tome 2. Ce sera certainement sans moi pour la suite.

Le chevalier (presque) parfait



En s’emparant du plus célèbre des récits de Chrétien de Troyes, Clotilde Bruneau nous propose une remarquable adaptation de ce récit mettant en scène Lancelot, l’amant-martyr, le chevalier parfait qui ne pourra prétendre à trouver le Graal à cause de l’amour, tout aussi parfait mais coupable car bientôt consommé, qu’il éprouve pour la Reine Guenièvre, l’épouse de son roi.



Les couleurs lumineuses de Ruby mettent joliment en valeur ce récit en soulignant les dimensions éminemment chevaleresques et romanesques de la figure de Lancelot qui va, après s’être humilié dans la charrette du bouvier, affronter de nombreuses épreuves pour délivrer la Reine, captive de Méléagant, sorte de double en négatif de Lancelot, aussi orgueilleux et vaniteux que ce dernier est humble…



Que vous soyez amateurs de la geste arthurienne ou joueur de Pendragon mythique jeu de rôle de Greg Stafford, cette série est clairement faite pour vous…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..

"La planète d'Ashkabaar" est le 22eme tome d'une série s'inspirant vaguement du "Petit Prince" de Saint-Exupéry. Ici, la guerre se prépare entre les Cristallites et les Sphérolites, deux peuples différents mais qui se ressemblent tout de même beaucoup.



Je ne vais pas tourner autour du pot. Ce livre n'a absolument aucun intérêt. L'intrigue est basique de chez basique et il n'y a aucune explication, aucun rebondissement. C'est d'une niaiserie incroyable. Seuls les graphismes sont attrayants même si ça manque d'imagination.

Je ne sais pas ce que valent les autres tomes de la série mais celui-ci ne rend pas du tout hommage à l'oeuvre d'Antoine de Saint-Exupéry.

En compagnie du renard, le petit prince parcourt l'univers, venant en aide aux uns et aux autres menacés par le serpent.

La trame est bien construite, le personnage de l'astronome est intéressant, de même que celui du renard. Mais le Petit Prince m'a semblé un peu falot. Peut-être aussi en raison du graphisme ?

Cette lecture ne fut certes pas désagréable, mais ne m'a pas non plus donné envie de découvrir les autres titres de la série.

Comme pour le volume consacré à Vercingétorix, j’ai tout de suite accroché au style graphique de cette bande dessinée. Là encore le travail fait à partir des faits historiques et le parti pris de se concentrer sur les événements marquants de la vie de Charlemagne sont un vrai régal. Ici, il y a plus de matière pour donner vie à ce grand personnage. On voit l’importance que la religion avait à cette époque dans la vie des gens et surtout de ce roi qui deviendra empereur. Là aussi, on entrevoit les enjeux politiques et stratégiques d’un royaume aussi vaste où vivent des gens différents quant à leurs coutumes, leurs langages et leurs croyances.

De nouveau, le dossier en fin de volume est très intéressant pour savoir ce qui est vrai et ce qui a été rajouté sur des suppositions par les auteurs. Au final, je me suis rendu compte que l’on ne s’intéressait pas assez à ce genre de personnage dans notre éducation.

Pour conclure, j’ai encore passé un bon moment de lecture avec ce tome-ci. Et j’espère un jour, trouver ceux sur Jeanne D’arc, Alexandre le grand et bien d’autres.
Lien : https://la-bibliotheque-du-l..

Daphné se réveille en retard. Il faut dire que la veille, le s’est prise une cuite phénoménale et a en plus, accepté une petite pilule sans savoir ce que c’était. Daphné, lors de ses soirée, rêve de conquérir le cœur d’un homme dont elle est amoureuse. Mais ce matin là, Daphné a une importante réunion de travail. La belle et délurée jeune femme se précipite car elle est déjà en retard. Elle s’arrache littéralement de chez elle et dehors, voilà qu’elle voit du sexe partout. D’innocentes affiches se transforment, un arbre prend subit la forme d’un pénis géant, deux vielles dams qui parlent de leur arthrose au doigt dans le bus se mettent à se carrosser de façon très chaude. Le monde se transforme en scènes pornographiques géantes. Daphné à la gueule de bois mais elle hallucine. Au début, elle pense que tout le monde voit e qu’elle voit mais se rend très vite compte qu’elle est La seule à percevoir le monde avec ce regard mal tourné. Au travail, c’est un véritable calvaire. Sa patronne voit son malaise et l’autorise à se porter pâle. Mais dehors, ça va de mal en pis. La pauvre se retrouve entre dégoût et excitation. Elle va consulter sa meilleure amie qui est médecin. Elle sort de l’examen sans réponse et affronte de nouveau des scènes pornographiques sur son passage Elle craque, elle est excitée mais doit absolument se réfugier chez elle avant que la folie ne l’atteigne…



Inscrit dans la collection des Editions Glénat « Porn’Pop », cette bande dessinée est crée par trois femmes. L’une au scénario, l’autre au dessin et la troisième à la couleur. C’est vrai qu’elle à les fragrances de fantasmes au féminin mais aussi des craintes que pourrait suscité le sexe en général, surtout si une femme veut librement assumer ses désirs et satisfaire son corps et ses besoins de plaisirs. Daphné est une jeune femme. Elle court après l’amour et se gâche lors de soirées bien arrosées. Elle n’est pas spécialement prudente et accepte les expédients qu’on lui offre. Inconsciente, peut-être immature et irresponsable, elle se laisse piéger par le plaisir immédiat. C’est une femme moderne, libre mais qui tout de même se fixe des barrières juste parce que c’est une femme. Cette bande dessinée se veut un brin féministe Elle est pleine d’humour, de bons gags. Le graphisme est dynamique, plein de charme. Parfois explicite. Le scénario semble léger mais se veut plus profond qu’on ne pourrait le croire. C’est une perle rare dans les publications érotiques. Vraiment à lire le sourire au lèvre, avec gourmandise et sans préjugé. Juste l’image des deux dames âgées qui se caressent sans pudeur dans les transports en commun, une image qui brise plusieurs clichés. Celui de la sexualité chez les séniors, sur l’homosexualité féminine, sur le simple fait de s’octroyer du plaisir sans tabou. Cette bande dessinée, au graphisme charmant, au scénario souriant, est juste un pur moment de bonheur. Lu en version KINDLE avec une très belle numérisation.

Un livre léger qui se lit d'une traite, on se demande à chaque page ce qui va se passer ensuite. Les situations saugrenues s'enchaînent et se ressemblent un peu. Le chaos avant la fin est bien représenté, on s'y noie comme dans un brouillard épais.

Le style cru ne destine peut être pas ce livre à toutes les mains, mais les quelques messages qu'il porte sont à mon goût assez importants pour inciter à sa lecture.



Les dessins sont très agréables, et, la préface le note et je le confirme, la mise en couleurs est excellente.

J'ai pas aimé... :(

L'idée était sympa et originale mais il ne se passe rien dans l'histoire.

C'est une succession d'images, avec un fil conducteur mais sans suspense, sans surprise.

La fin est expédiée et on ne comprend même pas comment cela arrive.

Je n'ai donc pas accroché à cette histoire, c'est dommage...

Daphné se réveille avec la gueule de bois. La veille, non seulement elle a consommé de l'alcool, mais en outre on lui a donné un comprimé dont elle ignore la nature (malgré la forme suggestive). Celui-ci va lui faire voir du sexe partout. ● Lorsqu'on a lu le résumé qui précède et les premières pages de l'album, on a tout lu, car il n'y a pas d'histoire et la fin est rapidement évacuée sans aucune explication. ● L'intérêt se résume donc à voir les choses prendre l'apparence de sexes masculins et féminins et le monde changé en gigantesque orgie. Pour moi, c'est plutôt limité ! ● Certes, les dessins sont bien faits et les couleurs belles, mais ça ne suffit pas !

Un trio de filles (scénario, dessin, mise en couleur) à l'origine de cette drôle de comédie érotique.

Daphné, une jeune femme décomplexée - mais pas trop – et qui bosse à Paris dans une agence de communication se réveille un petit matin toute tourneboulée de sa soirée de la veille, vestiges d'une cuite d'enfer.

Le premier hic, c'est que nous sommes en semaine, qu'elle doit aller travailler et assurer une réunion de travail suffisamment importante pour que son état ne passe pas inaperçu… Flûte, flûte, flûte…

Le second hic, c'est qu'elle a avalé la veille une pilule mystère qui permet à son cerveau momentanément mais durablement dérangé des visions pornographiques et psychédéliques germant à foison depuis mille et un objets du quotidien.

Daphné arrivera t'elle à se sortir de ce méchant guêpier ?

Un scénario qui ne se prend pas du tout au sérieux, un dessin Porn'Pop vraiment plaisant et plein d'humour, un graphisme dynamique, de l'autodérision, une multitude de thèmes abordés dont ceux de la sexualité chez les séniors et l'homosexualité…

Une histoire qui pourrait sembler olé olé mais plus dense et plus profonde qu'on ne le croit agrémentée de dessins psychédéliques ébouriffants.

Une bonne pioche dans les publications érotiques souvent lourdingues, ce qui n'est certes pas le cas ici.

"Las Vegas Parano au royaume du porno "



Avoir l'esprit mal tourné peut être handicapant...

Voici une BD érotico-humoristique dans laquelle notre héroïne sous influence d'une drogue se met à voir des hallucinations sexuelles à tous les coins de rue. Une histoire drôle et une drôle d'histoire.

Le trio de femmes à l'origine de cette BD adulte s'est fait plaisir.

Une bande dessinée sans prétention qu’il faut prendre avec beaucoup d’humour pour en profiter pleinement.



Daphnée, jeune femme célibataire travaillant dans une boite de communication, se réveille un matin avec une gueule de bois carabinée. Peu à peu, en se rendant à son travail, elle se rend compte avec effroi qu’elle a des hallucinations sexuelles : tout, autour d’elle, se transforme en scènes pornographiques et en objets du même acabit. Qu’a-t-elle bien pu prendre comme drogue la veille au soir pour se retrouver dans cet état : Daphnée va devoir affronter la situation !



Le dessin est assez beau et très dynamique, les situations et les expressions des personnages sont très bien rendues, les couleurs sont très gaies. J’ai beaucoup aimé la mise en image.



Le propos est totalement sexué, très très érotique voir pornographique.



Les auteurs nous proposent une tranche de vie de Daphnée, une comédie, autour d’une journée délirante emplie de fantasmes. J’ai trouvé beaucoup d’humour à cette histoire proposée et ai passé un bon moment bien sympathique.



Bien sûre, c’est une bande dessinée adulte : à ne pas laisser à portée de petites mains innocentes…

Voilà ce qu'on pourrait appeler une véritable comédie sexuelle. La scénariste Clotilde Bruneau est connu pour son travail de longue haleine sur la collection « La sagesse des mythes ». Là, elle change littéralement de registre. C'est juste un peu plus libérée et plus adulte !



On va suivre une trentenaire Daphnée qui se réveille assez mal d'une cuite monumentale. Elle voit du sexe partout, mais vraiment partout que cela soit dans la rue ou à son travail ce qui peut poser de sérieux problème surtout en pleine réunion. Elle est même obligée de consulter un docteur et cela continue de plus belle ! A-t-elle l'esprit mal tournée comme l'indique le titre de cette BD de la collection porn pop ?



Les thèmes sont ceux de la libido, des fantasmes, du désir également. C'est joliment mise en image dans un humour assez décapant.



C'est intéressant de voir tout un quotidien qui devient sexualisé. Au-delà de l'absurdité, c'est un autre regard sur la sexualité au féminin. J'ai trouvé cette idée très sympathique d'autant que l'exploitation est fort bien réussie.



Certes, il ne faut pas être prude pour lire cette BD mais parfois, cela fait du bien d'avoir quelque chose d'originale et de mâture sans tomber dans le porno chic. Excellent, et surtout très drôle.

Vérone, 14e siècle.

Deux familles riches se voient une haine féroce sans même pouvoir l'expliquer. Et pourtant un jour une Cappelletti va tomber amoureuse d'un Montechi.

Une histoire mondialement connue grâce à la pièce de Shakespeare mais ce qui l'on sait moins c'est que celle-ci une adaptation d'un conte italien qui est elle-même inspirée d'une légende mythologique racontée par Ovide dans les Métamorphoses.

Donc voilà pas de grande surprise sur le scénario, le même amour passionné et mièvre et la même tragique fin du couple. C'est tout juste si on ressent les émotions qui devraient normalement déborder d'amour et de drame.

Le dessin est tout juste correct avec un trait un peu trop épais et des proportions disgracieuses dans les visages.