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Critiques de Cristina Alger (100)
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Park avenue

Paul Ross se marie par amour à Merrill, fille de Carter Darling, une riche famille. C'est l'époque des grands scandales de Wall Street et des faillites qui s'ensuivent. Paul, juriste a perdu son travail, il se retrouve embauché par son beau-père. La famille reste la famille et tout ce qui peut paraître bizarre dans les affaires doit rester secret. Le suicide de l'oncle de sa femme, Reis Morton va bouleverser tout ce petit monde. La SEC, autorité des bourses, va s'intéresser de près aux mouvements bancaires. Paul découvre que la société pour laquelle il travaille doit être une société écran, il est contacté par une de ses ancienne amie qui lu demande de jouer l'espion pour sauver sa peau. Paul parle à sa femme de ses découvertes, mais la famille pour elle passe avant tout. Il est pris en étau entre elle et les affaires de son père. Un livre qui parle de toutes ces fortunes illégales et qui représente notre société. Ce livre se lit avec plaisir parce qu'on ne sait jamais à l'avance quelles décisions vont prendre les personnages et quel impact celle-ci aura.
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Park avenue

Park Avenue, au début du XXIè siècle, dans le petit cercle fermé du monde de la bourse. Privilèges à tous les étages, débauche d’argent et règne de l’entre soi avant que la chute de Wall street et ses scandales financiers viennent briser la vie bien huilée des Darling avec comme toile de fond très éculé le système de Ponzi.

Autant dire que ces ingrédients auraient pu donner naissance à une épopée lyrique et politique de choc, à l’image des derniers films de Scorcese. Hélas, la mayonnaise ne prend à aucun instant. L’intrigue aussi mince qu’attendue s’installe avec paresse au fil des chapitres. Aucune tension nerveuse n’accroche l’attention du lecteur, pas plus que les personnages, plus pâlichons les uns que les autres. L’écriture souvent maladroite et platement descriptive fait de ce pavé un véritable pensum.

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Park avenue

Le monde de la finance à New-York, vécu au cœur d'une famille dont les collaborateurs les plus proche n'hésiteront pas, pour les sortir d'affaire à utiliser tous les moyens. Des gens vraiment biens sous tout rapport, à qui on donnerait le bon Dieu sans confession !

De nombreux personnages qu'il faut bien situer pour suivre l'histoire qui finit par vous prendre ! On a hâte de connaître la fin ! Cela nous rappelle évidemment la faillite de grandes banques américaines ...

J'ai passé un bon moment.
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Park avenue

J ai lu "PArk avenue" grâce à babelio, que je remercie de m'avoir sélectionné pour masse critique.



Dans ce roman nous faisons connaissance avec la famille Darling qui à la veille de thanksgiving va se retrouver avec un gros problème, le suicide du meilleur ami de la famille qui est un grand financier.

Une vaste escroquerie de plusieurs milliards de dollars va etre dévoiler au grand jour.

Panique à bord sur park avenue puisque la presse et la justice s'en mêle et veulent voir des têtes tombés.



Premier roman de Cristina Alger, on vois qu' elle maîtrise son sujet, ayant été elle même analyste financière. Elle s' inspire dans son roman de la crise financière de2008 au États-Unis avec l'affaire Madoff et Lehman Brother.



En commencommençant ce livre, je craignais d'être un peu perdue dans le contexte financier, mais l'auteur sait en faite rendre le sujet très abordable, ce qui m'a permis de me familiariser avec le monde de la finance.



Un livre que je recommande vivement.
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Au nom de nos soeurs

J’ai bien aimé dans l’ensemble, un bon roman à suspense du début à la fin.

J’ai aimé la plume de l’auteur.

Ça ne sera pas une lecture inoubliable, mais j’ai vraiment passé un bon moment.

Si vous aimez les lectures qui vous tiennent en haleine, ce livre est fait pour vous !
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Au nom de nos soeurs

De bout en bout, on se croit dans un film américain primé dans un quelconque festival policier. C'est élégant, c'est bien construit, les scènes et les twists se succèdent sans heurt dans ce territoire de Long Island qui est long en effet, débutant par les quartiers new-yorkais de Brooklyn et du Queens pour s'achever, plus de 150 kilomètres plus loin dans les Hamptons, lieu de villégiature huppé des new-yorkais capables de mettre 15 millions de $ et plus dans une résidence secondaire.



Tout est donc en place, du retour de la fille rebelle entrée au FBI aux comportements de cowboys de la police locale (où son père travaillait), des meurtres de jeunes hispaniques aux frasques du Jeffrey Epstein local, pour faire passer un agréable moment de lecture dont il ne restera (hélas) pas grand-chose, à la fin.
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La femme du banquier

"Il y a tout un monde offshore Miss Tourneau. Un monde d'argent sale, caché dans des comptes-écrans, qui appartient à des personnes très puissantes et très dangereuses."



Annabel et Marina sont deux femmes qui n'ont rien à voir l'une avec l'autre. Pourtant, leurs destins vont se croiser. L'une est journaliste et vit aux Etats Unis, l'autre, mariée à un banquier d'affaires, vit en Suisse...



J'ai plutôt bien aimé ce thriller qui nous plonge de le monde la haute finance. Je dois avouer toutefois qu'un mois après cette écoute, il ne m'en reste pas grand chose. Les personnages sont nombreux et l'histoire assez alambiquée. Côté positif, le thriller a du rythme et la lectrice est à la hauteur.



Je ne connaissais pas Christina Alger. En faisant quelques recherches, j'ai vu qu'elle était issue d'une d’une grande famille de la finance new-yorkaise. Elle semble effectivement bien maîtriser le sujet et nous décrit un monde impitoyable où l'humain passe loin derrière l'argent.







Une lecture agréable mais rien de transcendant.
Lien : http://www.sylire.com/2020/0..
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La femme du banquier

Un superbe livre qui nous tiens en haleine du début à la fin.

Pour les gens qui veulent de l'émotion et du quasi-réel pour les vacances, je le recommande. On ne s'ennuie pas.

Après savoir si la réalité serait proche du roman, ça c'est à chacun de le ressentir. Pour ma part, j'ai mon idée. Lorsque des noms de personnages sont cités, je trouve que l'auteure prends des risques.

Bravo à elle en tout cas, car tout est très bien expliqué, on croirait un fait divers...
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La femme du banquier

Annabel, Marina, Zoé... Trois femmes. Trois histoires. Un combat...

J'ai choisi ce roman à cause de deux mots: "banque offshore". Un milieu fermé, nébuleux, complexe. Un univers rarement abordé dans le domaine littéraire ou alors de manière trop théorique, trop financière, trop...imbuvable!

Ici, ce n'est pas le cas du tout. Au travers de ce roman de Cristina Alger, j'ai pu découvrir et comprendre les mécanismes du blanchiment d'argent, les intrications entre sociétés écrans, avocats véreux, financiers peu scrupuleux et "grands" de ce monde assoiffés d'argent.



Une intrigue à tiroirs intelligente et passionnante, portée non seulement par la plume délicate de son auteur mais aussi et surtout par trois femmes d'une force exceptionnelle. Ce roman, bien que se déroulant dans un univers ou le mâle est roi, est profondément féminin. Féminin sans être féministe. Féminin sans tomber dans les clichés.



Le style est fluide et enlevé. Le rythme ne s’essouffle jamais. Les 416 pages se lisent rapidement au point que j'en aurais souhaité plus. Pas dans l'aboutissement de l'histoire, mais plus avec ces personnages. Plus dans cet univers.



A mi-chemin entre les affaires Wikileaks et Panama Paper qui ont inspirés Cristina Alger, ce roman mêle argent, pouvoir, secrets, séduction avec une touche de glamour. Des ingrédients savamment dosés et mélangés pour vous offrir un très bon moment de lecture.
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La femme du banquier

Tout d’abord, je tiens à remercier la Masse Critique Privilégiée Babelio ainsi que les éditions Albin Michel pour l’envoi de ce roman.

Annabel a quitté New York pour suivre son mari Matthew Werner qui travaille à Genève pour la Swiss United Bank. Elle a tout pour être heureuse et mène une vie riche et paisible auprès de son mari, aussi se retrouve-t-elle totalement désemparée lorsqu’elle apprend que l’avion dans lequel il se trouvait s’est écrasé ; mais son désarroi est de courte durée, car beaucoup trop de zones d’ombres entourent cette disparition... Que faisait-il à bord de cet avion privée appartenant à Fatima Amir, la trompait-il ? Pourquoi s’est-il écrasé dans les Alpes alors que son mari était censé se trouver à Zurich en voyage d’affaires ? Annabel n’aurait de cesse de trouver cette vérité qu’on semble vouloir lui dissimuler.

Marina est journaliste au magazine Press. Elle est en passe d’épouser Grant Ellis, PDG d’une multinationale dont le père James Ellis doit se présenter aux élections présidentielles. Bien qu’elle soit en vacances avec Grant, elle accepte d’aider Duncan Sander, celui à qui elle doit tout dans la profession. Il semblerait qu’il ait enfin trouvé des données compromettantes sur Morty Reiss et de mystérieux comptes offshore ; le genre d’infos qui peut mettre des vies en danger…

Marina et Annabel sont deux femmes diamétralement opposées ayant chacune soif de vérité. Chaque chapitre alterne tour à tour entre les deux.

Suspens, corruption sont les maîtres-mots de ce roman. J’avoue avoir eu des difficultés à « entrer » dans ce roman, j’ai trouvé que le début s’accrochait à trop de détails insignifiants, mais j’ai bien fait de persister car une fois qu’on adhère au style de l’auteure on est littéralement captivée, tant par les personnages que par le suspens de cette intrigue diabolique qui nous tient en haleine jusqu’à la fin.

En bref, La femme du banquier est un thriller extrêmement addictif qui mêle suspens et rebondissements.




Lien : https://lectureenfamille.blo..
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La femme du banquier

Je remercie Babelio pour son opération "Masse critique" ainsi que les éditions Albin Michel pour la découverte de ce livre si palpitant.



Grace à ce roman, nous sommes entrainé dans un thriller. Nous sommes entrainé dans un monde politique et économique auquel nous ne nous attendons pas. La femme du banquier nous emmène dans ce monde grâce à la narration de deux jeunes femmes : Marina et Annabel. L'une est journaliste, l'autre est femme de banquier. L'une ouvre ses yeux face au monde virulent des banques, l'autre connait déjà un peu le système politique et économique. Nous avons donc deux visions du monde différentes grâce à ses deux jeunes femmes.



La plume dans ce roman est très fluide. Les descriptions nous aide à nous projeter dans les lieux et de pouvoir mettre un visage sur les personnages ce que j'apprécie toujours lors d'une lecture. Je me suis sentie, au sein de ce roman, vraiment intégrer à l'histoire. J'avais cette impression d'être dedans, d'enquêter avec Marina et Annabel. Les chapitres, les scènes sont détaillés, tout juste ce qu'il faut, ni trop, ni pas assez à mon goût.



Les personnages sont attachants. Certains cachent bien leur jeux aussi. Marina est quelqu'un de très posée, talentueuse et déterminée, ce que j'apprécie beaucoup. Elle ne lâche rien malgré les révélations qui viennent au fur et à mesure de l'histoire se poser dans sa vie. Annabel est quelqu'un qui sur le coup m'a quelque peu agacée. Une femme qui suit son mari à l'autre bout du monde, ne travaillant plus et ne faisant qu'attendre son mari, un peu nunuche au premier abord. Et bien, il se trouve que les apparences sont parfois trompeuse puisque nous découvrons en elle énormément de compétences pour essayer d'enquêter de son côté, surtout au niveau des photographies. Elle a une capacité visuelle qui m'ont impressionner. Elle est plus forte que ce à quoi je m'attendais. Sans aller trop loin, au niveaux des noms, certains personnages m'ont énormément déçu et je suis restée sur le cul pour certains aveux, je dois l'avouer.



La femme du banquier est un thriller qu'il faut lire. L'intrigue est bonne, d'actualité, certains noms sont d'actualités aussi. Nous sommes dans un monde que nous apprenons à connaitre au fur et à mesure que les pages se tournent. J'étais dedans du début à la fin. Je ne m'attendais pas à ce final, j'ai eu beaucoup de surprises. Je suis passée par diverses émotions.



Merci à Babelio pour cette découverte, j'ai énormément apprécier cette lecture. Lu en quelques jours, j'ai tout simplement adorée.
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Park avenue

Park Avenue est un roman très agréable à lire. Cristina Alger sait très bien décrire ce monde à part qui fait peut faire fantasmer les gens lambda. L’argent coule à flot et on a l’impression qu’il est à la portée de tous, jusqu’au jour où la crise passe par là.





Ici, le fantasme est brisé par la dure réalité. Sous une perfection de façade, on découvre les trahisons, les faux semblants et l’hypocrisie. L’auteur va assez loin dans la description du monde financier, avec ses institutions (la SEC), ses magouilles et ses montages financiers, comme les chaînes de Ponzi. J’ai vraiment apprécié que l’auteur prenne du temps à aller dans le détail car même si le sujet est complexe, il m’a particulièrement intéressé. De plus, c’est un sujet tristement célèbre. En voici un exemple assez récent: http://www.lepoint.fr/societe/une-pyramide-de-ponzi-fait-300-000-victimes-dans-le-monde-22-04-2015-1923498_23.php



En bref, un roman sympathique à lire pour se détendre.
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Père et fils

Je ne m'attendais pas du tout à ce style de livre du coup cela joue peut être un peu sur mon avis final.



J'ai choisi ce livre car je pensais trouver un livre sur une relation père-fils un peu dur, montrant la réalité, pas forcément noir mais plus contemporain.



Ici nous avons un livre plutôt léger avec une semi-romance à la clé. Cela n'en reste pas moins une belle lecture et agréable, tout à fait adapté pour cet été et aller à la plage par exemple.

Mais du coup loin de ce que j'imaginais.



La relation entre le père et son fils est touchante même si tout est prévisible, ce qui vient de ce côté roman d'été. C'est tout à fait le livre qui pourrait être adapté par les américains.



A lire si vous aimez les lectures légères.





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Park avenue

La littérature moderne a finalement porté assez peu d'intérêt sur la crise économique de 2008 et les scandales politico financiers qui ont succédé. Pourtant, entre les subprimes, la crise immobilière, les pyramides de Ponzi, Madoff et Lehman brothers, il y a de la matière. Peut-être est-ce trop exhaustif, peut être le prisme est-il trop large pour être conté sur quelques centaines de pages, peut-être le sujet est-il en effet plus adaptable sur un format cinématographique, qu'il soit documentaire ou romancé. Quoiqu'il en soit, l'initiative est belle, et la tentative à elle seule mérite d'être saluée, et donc, d'être lue.



C'est par le biais de la richesse et de la haute bourgeoisie new Yorkaise que Cristina Alger attaque son pavé. Logique finalement de passer par le haut de la pyramide sociale pour décortiquer la problématiques économique de la Grosse Pomme en 2008….et vendeur aussi ! Car il faut bien le dire, l'angle d'attaque, c'est « Gossip girl », sans aucune complexité technique, qu'elle soit juridique, financière ou politique. Et pourtant, ce sont bien ces trois axes qui ont fait la crise financière. La plume confirme la légèreté culturelle du roman….fine, facile, automatisée, pour ne pas dire robotisée ou recopiée, il pourrait s'agir de Marc Levy, d'Harlan Coben ou de n'importe quel auteur de roman de gare que nous ne ferions pas la différence.



La légèreté ne quitte jamais l'intrigue, le fil rouge est si volatile qu'il en parait futile. Quant à la problématique technique, au scandale juridique et financier, aucun détail, juste les gros filons avec le FBI tapant à la porte de cols blancs encravatés et gominés. On jurerait avoir déjà vu le livre sur écran, dans un épisode de NewPort Beach ou de Dallas. Pour autant, ça se lit, vite fait, sans sentiment mais avec efficacité…sans souvenir aussi, donc sans mauvais souvenir non plus.



Mais là où le bât blesse, c'est lorsque l'auteur noircit une page de remerciements et nomme Tom Wolfe, écrivain émérite dont elle a bien volontairement plagié le sujet et le ton. Mais n'écrit pas « le bûcher des vanités » qui veut ! Park avenue est au bûcher des vanités ce que Bienvenue chez les chtis est à Germinal. Quant à remercier le plagié….c'est le pompon. Dany Boon n'a pas eu le culot de remercier Zola lui !



Et enfin, quand on apprend que l'auteur n'est autre qu'une analyste de Goldman Sachs, on finit forcément surpris qu'elle ait pondu un tel « soap » alors même qu'elle avait les armes en main pour le faire son « bûcher ».

En bref, un échec...."le diable s'habille en Prada" déguisé en "Wall Street".

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Père et fils

La littérature moderne a finalement porté assez peu d’intérêt sur la crise économique de 2008 et les scandales politico financiers qui ont succédé. Pourtant, entre les subprimes, la crise immobilière, les pyramides de Ponzi, Madoff et Lehman brothers, il y a de la matière. Peut-être est-ce trop exhaustif, peut être le prisme est-il trop large pour être conté sur quelques centaines de pages, peut-être le sujet est-il en effet plus adaptable sur un format cinématographique, qu’il soit documentaire ou romancé. Quoiqu’il en soit, l’initiative est belle, et la tentative à elle seule mérite d’être saluée, et donc, d’être lue.



C’est par le biais de la richesse et de la haute bourgeoisie new Yorkaise que Cristina Alger attaque son pavé. Logique finalement de passer par le haut de la pyramide sociale pour décortiquer la problématiques économique de la Grosse Pomme en 2008….et vendeur aussi ! Car il faut bien le dire, l’angle d’attaque, c’est « Gossip girl », sans aucune complexité technique, qu’elle soit juridique, financière ou politique. Et pourtant, ce sont bien ces trois axes qui ont fait la crise financière. La plume confirme la légèreté culturelle du roman….fine, facile, automatisée, pour ne pas dire robotisée ou recopiée, il pourrait s’agir de Marc Levy, d’Harlan Coben ou de n’importe quel auteur de roman de gare que nous ne ferions pas la différence.



La légèreté ne quitte jamais l’intrigue, le fil rouge est si volatile qu’il en parait futile. Quant à la problématique technique, au scandale juridique et financier, aucun détail, juste les gros filons avec le FBI tapant à la porte de cols blancs encravatés et gominés. On jurerait avoir déjà vu le livre sur écran, dans un épisode de NewPort Beach ou de Dallas. Pour autant, ça se lit, vite fait, sans sentiment mais avec efficacité…sans souvenir aussi, donc sans mauvais souvenir non plus.



Mais là où le bât blesse, c’est lorsque l’auteur noircit une page de remerciements et nomme Tom Wolf, écrivain émérite dont elle a bien volontairement plagié le sujet et le ton. Mais n’écrit pas « le bûcher des vanités » qui veut ! Park avenue est au bûcher des vanités ce que Bienvenue chez les chtis est à Germinal. Quant à remercier le plagié….c’est le pompon. Dany Boon n’a pas eu le culot de remercier Zola lui !



Et enfin, quand on apprend que l’auteur n’est autre qu’une analyste de Goldman Sachs, on finit forcément surpris qu’elle ait pondu un tel « soap » alors même qu’elle avait les armes en main pour le faire son « bûcher ».

En bref, un échec...."le diable s'habille en Prada" déguisé en "Wall Street".

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Park avenue

Je suis absolument fan de New York. J'ai tellement aimé le visuel de la pochette que je me suis enfin attaqué à sa lecture et je ne regrette pas. Nous sommes vraiment plongé au coeur d'une affaire familiale d'une riche famille new yorkaise et c'est très prenant. Un peu à la façon Gossip Girl mais à une époque un peu plus ancienne
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Park avenue

L'histoire développée n'est pas celle annoncée : alors qu'il y aurait matière à développer un scandale boursier (chaine de Ponzi) et les aléas des procès, l'auteur ne s'attache qu'à décrire les biens des protagonistes, et leurs vies si peu enviables....Déçue donc!
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Park avenue

Ce livre est une plongée dans le monde de la finance et un portrait subtil de certains de ses acteurs, de ceux qui la font à ceux qui en profitent, en passant par ceux qui tentent de la faire tomber. Au fur et à mesure de l'ouvrage, les personnages et leurs caractères se dessinent, nous laissant découvrir des visages complètement différents de ce que l'on s'était imaginé.

Il s'agit d'une agréable lecture, bien ficelée qui mérite que l'on s'y attarde.
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Park avenue

L’histoire :



La découverte du monde de la finance, empire puissant en apparence mais si fragile en réalité. On pénètre dans l’univers de la famille Darling qui devra affronté les remous d’un scandale financier.



« Paul Ross a épousé Merrill, fille de Carter Darling, un financier milliardaire. Le jeune avocat sudiste s’est vite habitué au luxe de sa vie new-yorkaise : appartement sur Park Avenue, weekends dans les Hamptons… Lorsque Paul perd son emploi, Carter lui propose de diriger l’équipe d’avocats de son fonds spéculatif, une fabuleuse opportunité alors que le pays connait sa pire crise financière depuis la Grande Dépression. Mais la chance ne va pas durer : à la suite d’un événement tragique, les Darling se retrouvent sous les feux des médias, compromis dans un scandale qui pourrait radicalement changer leur vie. Paul doit alors choisir son camp : sauver sa peau et trahir sa femme et sa belle-famille, ou bien protéger l’entreprise familiale coûte que coûte. »





Mon avis;



Qu’il m’est difficile de cerner ce livre. Est-ce l’attrait de la couverture, fort belle, ou des critiques enthousiastes lues qui m’ont fait acheter et lire ce roman, je ne sais pas. Attention j’ai lu ce livre jusqu’au bout et j’ai apprécié de nombreux passages, d’où mon ambiguïté à le commenter. Au bout de 100 pages j’attendais encore que l’intrigue commence, même si elle se dessinait doucement, très doucement, trop doucement. Je ne suis pas fan de la finance et même si il faut bien situer le sujet, je me suis perdu dans certaines explications trop « techniques ». On sent que l’auteur est une ancienne spécialiste du milieu.



Le sujet est, hélas, d’actualité, un « magouille » financière et le château de cartes qui s’écroule entraînant une famille particulièrement dans la tourmente. Faut-il coûte que coûte sauver les apparences ou être honnête, c’est la question que se pose Paul, le gendre. Et ce dernier est attachant, tout comme son épouse. On jongle entre la famille, les autres protagonistes qui ont un rôle plus ou moins important dans l’histoire. Le style



Certains passages du roman sont prenants, l’intrigue, la découverte de cette famille et le final. Mais je trouve que l’on se perd dans de longues descriptions, heureusement que je me suis accroché mais j’ai peu que certains n’est pas le même courage. C’est dommage j’attendais peut-être un peu trop de ce roman.







Mon petit point positif



La couverture, que je trouve superbe ;-)
Lien : http://www.tamisier.eu/park-..
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Park avenue

A travers ce roman nous plongeons dans le monde de la finance. Ces dernières années on a beaucoup entendu parler de scandales financiers, de fraude dont étaient responsables de grandes banques. Cristina Alger nous fait pénétrer dans le concret du drame, c'est-à-dire quand tout se fissure quelle est la réaction de chacun, quelle valeur va-t-il défendre, jusqu’où ira la compromission. On mesure les répercussions d’une débâcle financière sur l’individu, la famille et le milieu professionnel. On peut dire que l’on vit la crise de l’intérieur. Intéressant quoiqu’à mon avis on se perd un peu au début car on nous présente beaucoup trop de personnes. G.B.
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