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Citations de D.H. Lawrence (602)


Ah ! Dieu, qu’est-ce que l’homme a fait à l’homme ? Qu’est-ce que les dirigeants de l’humanité ont fait à leurs semblables ? Ils les ont retranchés de l’humanité, et maintenant il ne peut plus y avoir de fraternité ! Ce n’est plus qu’un cauchemar !
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La vie n’est acceptable que si l’esprit et le corps vivent en bonne intelligence, s’il y a un naturel équilibre entre eux, et s’ils éprouvent un respect naturel l’un pour l’autre.
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Longues, minces, fraîches, sûres dans leur arrogance d’étudiantes, elles étaient si terriblement anglaises. Elles semblaient si indépendantes alors qu’en réalité, au fond d’elles-mêmes, elles étaient prises dans un labyrinthe de contradictions et d’étroites conventions.
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D.H. Lawrence
Je suis fatigué d'entendre dire qu'il n'y a pas de tels animaux. [...] Si je suis une girafe, et les Anglais ordinaires qui écrivent sur moi de gentils chiens bien élevés, tout est là, les animaux sont différents. [...] Vous ne m'aimez pas, vous détestez instinctivement l'animal que je suis.
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D.H. Lawrence
Melville avait la nostalgie de sa Maison et de sa Mère, ces choses mêmes qu'il avait fuies aussi loin qu'avaient pu le porter des bateaux. [...] Il revint au port pour affronter sa longue existence. [...] Il refuse la vie. [...] Il se cramponne à son idéal d'union parfaite, d'amour absolu, alors qu'une union vraiment parfaite, est celle où chacun accepte qu'il y ait en l'autre de grands espaces inconnus. [...] Melville était au fond un mystique et un idéaliste. Il se cramponna à ses armes idéales. Moi, j'abandonne les miennes, et je dis : que les vieilles armes pourrissent. Faites-en de nouvelles, et tirez juste.
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Je t'aime avec mes couilles et avec mon cœur.
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Baissant les yeux, elle vit soudain le renard qui la regardait, le menton baissé, les yeux levés sur elle. Ils se rencontrèrent et il la posséda. Envoûtée, elle sut qu’il la possédait. Il la regardait au fond des yeux, et son âme défaillait. Il la connaissait, il n’avait pas peur.
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Constance avançait. De ce bois antique venait à elle une ancienne mélancolie qui la calmait un peu, qui valait mieux que la dure insensibilité du monde extérieur. Elle aimait tout ce qu'il y avait d'intérieur dans ce reste de forêt, la réticence muette des vieux arbres.
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Il passait de longs moments debout, le visage blanc et anguleux, ses yeux bleus perçants et perdus dans le lointain, à contempler farouchement et presque cruellement la mer sombre sous le ciel sombre.
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Il aimait le déchaînement et le vacarme perpétuels de la mer.
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Seulement l'espace humide, crépusculaire, baigné par la mer! C'était là la nourriture de son âme.
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Sa seule satisfaction était d'être seul, absolument seul, et de se laisser pénétrer par l'espace. Seulement la mer grise et les quelques arpents de son île baignée par la mer.
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Le crépuscule enveloppait tout, à l'extérieur comme dans son esprit et dans son âme.
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Il avait été de nouveau rattrapé par l'instinct sexuel. Non qu'il détestât le sexe. Il le considérait, de la même manière que les Chinois, comme l'un des grands mystères de la vie.
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Et les jours passaient, ainsi que les nuits, sans désir, sans ennui.
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Sirius, l'étoile verte, était visible au-dessus de l'eau. L'île était une ombre.
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L'automne était déjà là, Orion émergeait de la mer.
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Et pourtant l'île était tellement agréable. Lorsque le chèvrefeuille embaumait et que la lune étincelait sur la mer, alors, même les plus grincheux s'y sentaient étrangement attachés. Vous étiez pris de nostalgie du passé, d'une nostalgie sauvage; du temps passé, peut-être, du lointain passé mystérieux de l'île où les coeurs battaient différemment. D'étranges flots de passion vous envahissaient, d'étranges désirs charnels violents, des idées cruelles. Le sang, la passion, les désirs qu'avait connus l'île. Des rêves mystérieux, rêves à demi éveillés, aspirations à demi évoquées.
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Mais quiconque désire que le monde soit parfait doit veiller à n'avoir aucune préférence ni détestation.
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C’est la manière dont notre sympathie se répand, ou se retire, qui, réellement, détermine nos vies.
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