Citations de Dale Carnegie (183)
Lorsque vous commencez à parler, jetez-vous dans votre exposé, cherchez de tout votre tête à produire un impact mental et émotionnel sur votre auditoire. Il y a neuf chances sur dix pour que vous parliez avec plus de force et d'effets naturels favorables que vous n'auriez pu l'apprendre dans les livres.
"Le style abstrait, a dit le philosophe français Alain, est toujours mauvais. Vos phrases doivent être pleines de pierres, de métaux, de chaises, de tables, d'animaux, d'hommes et de femmes."
Si vous avez décidé [de votre sujet] assez tôt, vous aurez l'appréciable avantage de faire travailler votre inconscient. Dans vos moments de loisir, vous pourrez y penser, trier vos idées. Le temps perdu, quand vous rentre chez vous, peut être utilisé à en retourner les aspects dans votre esprit. Pendant cette période d'incubation, des idées surgiront de l'intérieur, simplement parce qu'en le retournant sans cesse et suffisamment à l'avance, votre inconscient aura travaillé à le mettre au point.
Il] me parut être l'orateur le plus humilié que j'aie jamais vu. Il avait prononcé son discours comme Rousseau dit qu'on doit écrire une lettre d'amour : commencer sans savoir ce qu'on va dire et terminer sans savoir ce qu'on a dit.
Sans la maîtrise de cette capacité fondamentale à parler aux autres et à les écouter, les membres d’une société, d’une école ou d’une famille ne peuvent réussir durablement.
Nul n’a plus besoin d’un sourire que celui qui n’en a plus à offrir.
Ci-gît, dans son bon droit, William Jay
qui traversa la rue, ayant priorité.
Mais il n'est pas moins mort
Que s'il avait eu tort
Chaque été, je vais pêcher sur un lac du Maine. En ce qui me concerne, je raffole des fraises à la crème. Mais je sais que, pour quelque raison mystérieuse, les poissons préfèrent les asticots. Aussi, lorsque je pêche, je ne pense pas à ce que j'aime, moi. Je pense à ce qu'ils aiment, eux. Je n'appâte pas mon hameçon avec des fraises à la crème. Je choisis plutôt quelque beau ver, quelque sauterelle, que je balance devant le poisson.
/!\ La critique est une étincelle dangereuse, une étincelle qui peut causer une explosion dans la poudrière de la vanité.
/!\ Quand vous vous adressez à un homme, rappelez-vous que vous ne parlez pas à un être logique ; vous parlez à un être d'émotion, à une créature toute hérissée de préventions et mue par son orgueil et par son amour-propre.
Vous vous ferez plus d'ami en deux mois en vous intéressant sincèrement aux autres que vous ne pourriez en conquérir en deux ans en vous efforçant d'amener les autres à s'intéresser à vous.
Les nerfs qui relient les yeux au cerveau sont bien plus gros que ceux qui viennent des oreilles et l'expérience nous apprend que nous sommes plus impressionnés par les images que par les sons.
Il arrive parfois qu'on ait des difficultés à se faire comprendre. L'idée est claire dans notre esprit mais demande des explications pour l'être également dans celui de nos auditeurs. Que faire ? Cherchez une comparaison que le public comprendra, rattachez ce qui lui est inconnu à quelque chose de familier.
En commençant [...] avec une phrase répondant à l'une des questions : Qui ? Quand ? Où ? Quoi ? Comment ? Pourquoi ? vous utilisez un des plus vieux moyens du monde pour établir le contact : le récit. "Il était une fois...", sont des mots magiques qui ouvrent les vannes de l'imagination enfantin. Avec un procédé similaire, vous intéressez vos auditeurs dès les premiers mots.
Beaucoup d'orateurs n'alignent pas leur objectif sur celui de la réunion, aussi échouent-ils souvent.
Pour maintenir le contact avec le public, parlez à vos auditeurs de ce qui les intéresse le plus, c'est-à-dire eux-mêmes.
... vous devez distraire ou on ne vous écoutera pas.
... la vieille méthode Coué ? [...] les psychologues modernes sont d'accord pour affirmer que l'autosuggestion constitue un stimulant des plus actifs pour apprendre rapidement, même si au départ, on n'y croit pas. Combien plus puissante alors sera une autosuggestion sincère !
Emerson a dit : "La peur fait échouer plus de gens que n'importe quel fléau au monde."
L’homme qui peut se mettre à la place des autres, qui peut comprendre le mécanisme de leurs pensées, n’a pas à s’inquiéter de ce que l’avenir lui réserve.