Daniel Picouly

Et si on redessinait le monde ? Un titre attractif , une invitation au voyage : à déposer dans les mains des enfants et des adultes pour échanger de manière poétique. En effet il y a de la poésie et des réflexions qui incitent au débat tout en douceur. Un atlas original aux illustrations superbes, il faut prendre le temps de regarder et d'apprécier cette belle harmonie textes et dessins avec en fond les différents continents.Un tour du monde si plaisant où on peut toujours rêver d'un monde meilleur !

Donnons des couleurs à la vie.

Une verve langagière agréable, et un univers enfantin. En effet c'est le anrrateur, l'adoelscent de 14 ans qui nous présente les événements qu'il vit lors de ces vacances à Fort de l'eau en Algérie. C'est par ses yeux, ses émotions que nous sont relatées ses expériences, et leur description se présente avec des références enfantines, l'évocation de héros sportifs,d'événements sportifs. Un bon moment où se mèlent fiction de l'adolescence avec ses grands moments, le trouble de l'amour, de l'amitié et la réalité en toile de fond d'événements historiques plus lourds.

après deux ans j'ai finit par finir ce livre et je peux vous dire sue je me suis fait violence.

L'histoire nous est racontée par un narrateur jeune adolescent, avec son langage oralisé et un style assez complexe. Cela part un peu dans tous les sens, j'ai eu envie de finir le livre vite, pour voir où cela mène mais je reste sur ma faim, déçue : des évènements incompris, les problématiques du narrateur incomprises également,... Je n'ai malheureusement pas su appréhender l'intrigue et le style de l'auteur...

Je n'ai pas adhéré du tout. J'ai recommencé le livre à 2 reprises du début, mais je n'aime pas du tout l'écriture. Trop de fioritures dans le langage, je n'arrive pas à rentrer dans l'histoire, çà part un peu dans tout les sens. Pour moi abandon en milieu de course. :(

Daniel Picouly dresse un panorama de ces affiches qui ont marqué des générations d’écoliers… et gravé en profondeur les stéréotypes.
Lien : http://rss.nouvelobs.com/c/3..

La mixité éducative fut longtemps combattue par la morale catholique qui y voyait sans doute une source de désordre sexuel. On trouve encore dans certaines communes rurales quelques bâtiments publics aux frontons gravés "École de filles" "Ecole de garçons". La séparation était imposée.

Il faut aussi bien admettre aussi que l'éducation des filles n'était pas toujours une priorité!

La mixité des écoles de la République (et par défaut dans les établissements privés) devient la norme dans les années 60.



Notre société a depuis fait face à d'autres défis: dépénalisation de l'homosexualité, mariage gay, théorie du genre...



C'est donc avec beaucoup d'amusement que l'on feuillette ces planches éducatives pour le certificat d'étude. Une autre époque où le talent des filles devait se cantonner à l'aspect familial et pratique du quotidien de la maison, quand les garçons devaient apprendre un métier.



On peut gloser sur ce sexisme décomplexé, on doit surtout s'amuser de cet enseignement pratique et manuel qui nous fait bien défaut aujourd'hui.



Je vous invite donc à des moments de nostalgie éducative. Je suis certaine que comme moi, vous allez apprendre plein de choses.

On se bouscule, on se court après , on s'éparpille... de beaux moments ; de beaux personnages. Un écrit sympathique ; vivant mais .... une impression de "pas fini" ; ou de "pas compris"

improbable rencontre de chester aimes et alexandre dumas pour un mélange plutôt réussi (pour peu qu'on apprécie dumas et chester himes)

action capes et d'épées et retour de l'homme noir la ou on ne l'attends pas

merci de m'avoir raconté le chevalier de st georges!

sans parler d'un traitement de l'après révolution sans trop de concessions

merci mr picouly!

Polar de capes et d'épées, enquête à conclure avant la décapitation de marie Antoinette, rythme effréné, rebondissements,personnages attachants.Un bon moment de lecture.

C’est un très beau et très bon livre. On se laisse très vite prendre au jeu, on espère que la reine sera sauvée, même si on connaît tous l’issue qui lui est réservée. C’est un petit bijou d’écriture dans lequel Picouly a su instiller une bonne dose d’humour et quelques moments d’une très grande drôlerie, tels les fameux En-bourgeois inventés par Le Mac (avec une petite figurine en cadeau pour les enfants) qu’on mange sur le pouce et debout (ça ne vous rappelle rien ?) ou encore ces « Fous-de-balle » qui font vibrer les foules… Ce livre est un vrai moment de bonheur… Presque jouissif pour celles et ceux qui aiment la bonne littérature… A lire.

J'ai relu ce livre ainsi que le deuxième tome afin de lire le 3ème sortit récemment et de me remettre en mémoire les personnages et l'histoire.

Il m'a encore plus plu que lors de la première lecture.

Les personnages sont attachants, l’histoire farfelue mais tellement drôle. Daniel Picouly place des passages d'une drôlerie peu banale.

Un grand J'AIME.

c’est mon premier Picouly. Je trouve le monsieur très agréable à écouter mais n’avais jamais eu l’occasion de le lire.



J’ai adoré la fantaisie qui se dégage de ce roman, délicieusement anachronique. Impression que l’auteur nous fait des clins d’œil, qu’il s’amuse follement à écrire ce roman. En tous cas je me suis bien amusée à le lire.



Au delà de la fantaisie il y a aussi les dernières 24h de Marie-Antoinette. L’histoire a jugé la reine. Ici nous passons quelques heures avec la femme. Incroyablement touchante.



De la fantaisie, de l’émotion, cela aurait suffi à de nombreux auteurs. Mr Picouly s’offre le luxe d’un suspens très efficace. J’ai eu la même sensation qu’en regardant Titanic. On sait très bien comment ça va finir. Mais juste pour cette fois on voudrait bien que l’inéluctable n’ait pas lieu…



Quel merveilleux auteur, qui sait se montrer déroutant au détour d’une page pour mieux faire surgir l’émotion qui était en embuscade à la suivante.

Paris, octobre 1793, nous sommes à la veille de l’exécution de Marie-Antoinette. Deux commissaires noirs, Ed Cercueil et Jones Fossoyeur sont à la poursuite d’un mystérieux enfant, enfant métis couvert de plaques blanches, dit l’enfant léopard. Ils ne sont pas les seuls à le chercher dans les ruelles sombres de la capitale mais tous ne lui veulent pas du bien. Qui est cet enfant qui compte tellement pour la reine elle-même ? Ed et Jones n’ont que douze heures pour le trouver.Je n’ai jamais réussi à véritablement entrer dans l’histoire. Trop d’invraisemblances et de situations peu crédibles. C’est un bon livre pour se divertir grâce à une histoire bien enlevée et originale mais l’intrigue n’est pas totalement convaincante.

laissez tomber ce livre, lisez plutôt "Le champ de personne"

Ma première lecture d'une oeuvre de Daniel Picouly. J'ai trouvé ce roman très original. J'ai bien aimé cette plume alerte, qui nous fait pénétrer dans les coulisses du Paris de l'époque révolutionnaire . J'ai acheté d'autres livres du même auteur, conquise par "L'enfant Léopard" et très heureuse de cette belle découverte.
Lien : http://araucaria.20six.fr

CHALLENGE ABC 2013/2014 (8/26)



Encore un prix (le Renaudot 1999) qui m'échappe totalement. Loin de moi l'intention de critiquer plus érudits que moi mais voilà, je me réjouissais à l'idée de me plonger dans un roman historique et je me suis trouvée mêlée à une folle cavalcade, à la poursuite d'un enfant-léopard (le supposé fils naturel de la reine déchue Marie-Antoinette et d'un homme de couleur), à laquelle je n'ai rien compris, tant le nombre de personnages qui couraient à mes côtés était important. Quant à leurs différentes motivations, le doute subsiste encore dans mon esprit.... Le moins que l'on puisse dire c'est que l'auteur a vraiment laissé libre cours à une imagination débridée.

Cette première rencontre avec Daniel Picouly a été, en plus de l'histoire, contrariée par le style d'écriture. Trop "ampoulé" ? Pas du tout, je dirais cette fois-ci trop "popu". Jamais contente ? Peut-être !

D'accord, nous sommes au lendemain de la Révolution, la guillotine n'a pas le temps de refroidir. Justement certains sont en train de statuer sur le sort de la tête de Marie -Antoinette. Tombera ? Tombera pas ? C'est le peuple qui parle, son langage est fleuri mais pourquoi le rendre si difficile à saisir ?

Les seuls moments que j'ai appréciés sont ceux passés en compagnie de la Reine, à quelques heures de son exécution. On y retrouve alors des phrases pleines d'émotions lorsque, devant l'inéluctable, elle laisse parler son cœur de mère et se bat pour conserver ce qui lui reste de sa dignité de femme.

Parfois certaines références à notre époque (le premier fast-food avait déjà vu le jour), quelques bons mots, m'ont fait sourire mais je ne retiendrai absolument rien de cette histoire abracadabrantesque dans ce Harlem parisien.

Ce n'est pas un coup de coeur c'est une révélation !

Passionnant, drôle, intrigant, attachant, haletant, bien écrit...

C'est fou ce que les livres d'histoires deviennent intéressants quand on y met le style.

On se distrait , on se documente , on est épaté par cette écriture brillante , alerte et si simple à la fois . Mr Picouly nous régale une fois de plus.

Des intrigues entremêlées autour des dernières heures de Marie-Antoinette, et de la quête d'un "enfant léopard". Certains veulent tenter de libérer la reine avant son exécution, d'autres veulent retrouver cet enfant dont l'importance et le mystère questionnent. Les personnages vont se croiser dans les rues d'un Paris prêt à tourner une page historique, ambiance finement relatée par l'auteur.

L'histoire, en elle-même, peut paraître un peu répétitive au fil de la lecture, mais les amateurs de roman historique devraient apprécier les différents événements du récit, ainsi que le style alerte de Daniel Picouly.