Daruma Matsuura

J'ai beaucoup apprécié découvrir Tenroku, avec son histoire, ses faiblesses et son côté touchant. Dans ce sixième tome, nous plongeons encore plus dans son passé et découvrons comment sa vie est devenue une malédiction à ses yeux. Une fois de plus, l'autrice nous entraîne avec talent à travers son récit, ses illustrations et ses animations. Son adaptation et son choix narratif m'ont vraiment convaincu. Quel dénouement ! J'ai adoré.

Prendre le temps de développer des personnages qui semblent secondaires permet d'enrichir l'univers et de mettre en lumière la diversité des pouvoirs, qu'ils soient vus comme des dons ou des malédictions. Ils témoignent également de liens solides entre pairs.



Cet arc centré sur Tenroku met également en avant Botutake, l'élève de Katsuma. Son ingéniosité permet à Konosuke de se révéler un peu plus. Ainsi, l'intrigue progresse et les retrouvailles avec Tsuki sont imminentes.



La révélation concernant Tsuki, ainsi que le lien entre passé, présent et futur, et cette impression d'intemporalité de son personnage, me font penser qu'une part (bien trop) sombre réside en elle. La fameuse liste place Konosuke sur la droite, et étant donné le sinistre présage à son sujet, je crains le pire. Dans l'ensemble, c'était encore un excellent tome !

Ce tome achève l'exploration du passé d'Haretake avec le fameux geste que Katsuma ne se pardonne pas. Cette action montre un Dosuke moins suspicieux que dans le précédent tome. Il semble même dépassé par les événements. J'ai hâte de voir si ses intentions sont aussi néfastes qu'il le prétend depuis le début. La puissance des combats contre Haretake et son "alter" m'a rappelé le tome 3, où j'avais beaucoup apprécié le coup de crayon de l'autrice avec la femme aux insectes : Madara.



La deuxième partie du manga permet de poursuivre les aventures de Konosuke. La découverte de Tenroku, intimement liée aux Tsuchimikado, est vraiment bien écrite. Au début, je me demandais quand est-ce qu'il allait dévoiler sa véritable nature, et je dévorais les pages, sans apprécier le portrait d'une personne qui, dans tout ce questionnement de protection pour les personnes qui ont des dons, aurait finalement désiré plus que tout ne pas en avoir. En obtenant ce don, il perd toute envie de vivre et ne fait que tester ses limites. J'ai hâte de lire la suite !

La menace pesant sur Konosuke et Aki s'intensifie et se précise. Le sauvetage de Katsuma inaugure le tome en nous plongeant dans l'histoire de la famille Tsuchimikado et leur lien particulier avec les "dons". Gardiens du yin et du yang, leurs capacités entraînent de lourdes responsabilités, où chaque choix a des conséquences inévitables.



Nous entrons dans l'univers d'Haretake, le prodige de sa génération. Les phases d'entraînement, d'introspection, de découverte de son don et de la malédiction qui l'accompagne sont décrites avec talent et magnifiquement illustrées. J'apprécie profondément cet univers à la fois poétique et tragique. Je m'attache particulièrement au duo d'antagonistes Katsuma-Dosuke.

Chaque page me transporte véritablement dans un voyage captivant ! Vivement le prochain tome.

Dans le second tome est introduit un nouveau personnage : Aki, une prêtresse qui voyage de ville en ville pour faire des prédictions aux abords des temples. À l’aide de leurs dons respectifs, ils vont devoir cheminer ensemble pour remettre de l’ordre dans leurs vies, d’autant que la jeune Aki a vu le lointain futur de cet homme qui mourra dans ses bras.



Le trait affiné et semi-réaliste de l’auteure restitue de manière convaincante les états d’âmes des personnages, ainsi que leur évolution. Il met en opposition un Konosuke débraillé et dépressif à une Tsuki tirée à quatre épingles et raffinée. De même, les dessins sont parfois plus humoristiques pour certaines scènes plus légères.



Ces tomes préfigurent une douce romance salvatrice assortie avec un style historique et folklorique assez poussée. Un récit mélancolique et surnaturel, qui prend vie, teinté d’amour et de poésie, nimbé de mystères pour en sublimer l’intrigue.
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L’auteure de ce manga n’est autre que Matsuura Daruma, auteure de Kasane la Voleuse de Visage, l’un de mes coups de cœur de lecture 2020. D’ailleurs, les couvertures des deux séries ont la même vibe : un côté doux et aquarelle en total contraste avec l’histoire violente.



Le début nous plonge dans un Japon médiéval rempli de samouraïs. On s’attache rapidement à Konosuke, un samouraï solitaire rejeté à cause de ce qui semble être une malédiction. Alors qu’il tente de se suicider, il est mystérieusement sauvé par une jeune femme. C’est ainsi qu’on bascule dans le fantastique aux accents de conte. L’homme ne sait plus trop ce qui s’est passé et ne comprend pas bien. Et les lecteurs habitués aux histoires japonaises pourront supposer que la belle jeune femme énigmatique est un yokai, peut-être même une kitsune. Rien n’est affirmé dans le premier tome, mais la rencontre du couple avec les antagonistes tout aussi fantasmagoriques (un homme qui manipule l’eau à sa guise ou une fille qui commande aux insectes, par exemple) nous conduit dans cette voie. À voir dans les prochains volumes.



Le manga parle de la différence : Konosuke est rejeté par la société à cause de son aptitude à repousser le métal. Il est moqué et ne trouve pas de travail. Chez les samouraïs, l’honneur est plus important que tout. Il ne supporte donc pas sa position et pense au suicide. D’autant plus que sa situation lui pèse : il se sent coupable de ne pas avoir pu sauver sa mère lors d’une agression. Aussi, il rejette l’amour et ne comprend pas l’attachement que Tsuki lui porte.
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Couverture sublime, histoire poignante, je pourrais le dire à chaque volume mais c’est encore plus le cas ici, avec une très belle utilisation d’un fait de l’Histoire japonaise pour extrapoler et imaginer l’histoire d’une vie bouleversante. Coup de coeur !



J’ai d’abord été surprise dans un premier temps, au vu des personnages de la couverture, d’être face à une intrigue prenant autant de place au tripot, alors que je pensais voir celle-ci rapidement évacuée pour repartir sur les routes à la suite de Tsuki. Mais comme toujours avec Daruma Matsuura les détours ne sont pas là pour rien et ils valent le détour !



Ainsi, nous avons été plongés avec bonheur dans le drame que fut la vie de Tenroku, ce petit mafieux à la chance insolente que Konosuke affronte aux dés. Dans une explosion de pouvoirs, l’autrice raconte ce dont chacun est capable mais également ce que chacun a vécu et c’est à la fois magique et bouleversant. On découvre un Bokutake assez cruel dans sa manière de soigner les âmes, un Tenroku plus suicidaire que méchant et un Konosuke qui a encore bien des choses à dévoiler. Je suis vraiment très fan de cette gestion des mystères et du fantastique dans une ambiance historique et ésotérique traditionnelle renouvelée.



Chaque tome depuis le début met en lumière une sorte de « gueule cassée », un marginal, quelqu’un que la vie n’a pas épargnée et qui a appris à détourner, utiliser son don pour se relever. C’est poignant. L’histoire de Tenroku se pose là d’ailleurs. Se basant sur la vraie famine qui a couru au Japon entre 1833 et 1838, l’autrice met en scène un jeune garçon différent, qui a un oeil étrange, dont les parents et voisins, qui cultivent le ver à soie, vont dépérir dans ce contexte et faire un choix des plus cruels qui va durement l’impacter. Il y a de l’horreur et du désespoir sourd dans cette histoire. Il y a un chemin de vie qui prend aux tripes et bouleverse. Il y a des sentiments puissants et bouleversants, ceux de parents aimant désespérément leurs enfants. Tout y est. J’ai adoré !



Et l’autrice de mettre en scène sous forme de chute inéluctable ce destin tragique avec que Konosuke apparaisse comme le chemin de la rédemption, quelle superbe métaphore ! Notre héros solitaire, notre samouraï ostracisé devient la lanterne dans la nuit, éclairant le chemin des âmes perdues. Superbe ! Et l’autrice nous réserve encore bien des surprises avec lui et sa belle Tsuki, si je décode bien les derniers éléments, totalement inattendus, donnés dans les ultimes pages. Que j’aime cette façon d’écrire une histoire fantastique qui sans cesse renouvelle ses promesses pour aller de plus en plus loin.



L’ambiance entêtante me happe à chaque fois, les dessins me subjuguent, les destins des personnages me frappent. C’est une magnifique écriture du fantastique historico-ésotérique entre émotion, récit de vie et mysticisme guérisseur. L’âme tourmentée de Tenroku m’a bouleversée ici. J’ai adoré la tragique utilisation de cet épisode de famine. Et je suis encore toute émoustillée des promesses quant aux destinées de Konosuke et la belle Tsuki. Quel tome ! Il n’y a pas que la couverture qui est belle ❤
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Prenant dès son introduction, intriguant, mélangeant habilement historique et fantastique, voilà un titre qui se dévore aussi bien pour son graphisme que pour son propos.
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Prenant dès son introduction, intriguant, mélangeant habilement historique et fantastique, voilà un titre qui se dévore aussi bien pour son graphisme que pour son propos.
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C’est parti dans un monde où l’horreur est quotidienne. Comment vivre sainement lorsque les brimades sont permanentes ? Pourquoi ? Tout simplement à cause d’une laideur, soi-disant insupportable à contempler !

Kasane doit vivre avec un visage disgracieux alors qu’elle n’a qu’un rêve : fouler les planches… En réalité, elle a un autre rêve, c’est d’être belle mais on ne choisit pas le corps qu’on a malheureusement. Quoique, Kasane possède un rouge à lèvres permettant de voler le visage de ses victimes. L’horreur peut ainsi commencer.

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Un manga empli de dilemmes. En effet, Kasane est coupable. Coupable d’usurpation, coupable de - oups je dois me taire - coupable mais on lui pardonnerait presque. On compatit même à sa détresse. Comme tout un chacun, elle ne veut qu’une vie meilleure, être regardée sans dégoût, vivre sans crainte.

Un excellent premier tome pour conclure avant que le rideau ne tombe.

Je suis plutôt mitigée sur cette lecture. C'est assez touchant mais les éléments s'enchaînent quand je pense avoir enfin compris certains détails et je m'en retrouve finalement plus perdue et ça me perturbe un peu, c'est peut-être l'effet recherché mais j'ai trouvé ça plus frustrant qu'autre chose.

Les personnages sont attachants et complexes ce que j'aime vraiment, on sent le potentiel et le développement de chacun se qui me donne envie de continuer la lecture malgré cette impression d'être juste totalement paumée dans l'histoire.

J'ai eu du mal avec les dessins au début mais je m'y suis faite, ils sont assez sympathique avec prise de recul même si j'en suis pas super fan non plus.

Daruma Matsuura, avec son trait si unique et particulier, place les différents protagonistes de son récit sur un échiquier plutôt flou. L’autrice révèle les informations au compte-gouttes afin de maintenir l’intrigue aux yeux des lecteurs avides de connaissances.
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J'aime toujours autant le déroulé de son histoire et l'ambiance que la mangaka arrive à instiller au fil des tomes.

La tension est très palpable dans ce tome, où tout n'est qu'une question de survie. Garder sa vie pour sauver celle d'autrui ? Ou perdre la vie car on a plus rien à perdre ?

Tel est le fil conducteur de ce tome, j'ai hâte de lire la suite comme toujours !

C’est toujours un plaisir de retrouver cette série (et la belle édition papier de Ki-oon) mais le temps qui passe entre chaque tome fait quand même que ce n’est pas si simple de tout raccorder.

Elle ambiance plutôt bien pour la période également. Daruma Matsuura y déploie pas mal d’art et de talent qui nous transportent. Nous avons le droit à un petit récapitulatif des personnages et l’histoire au début du tome, ce qui fait plaisir et est utile.



La série nous offre de sacrées danses par moment en gérant bien les rebondissement et les surprises. L’amour entre notre samurai Konosuke et Tsuki fait également toujours son petit effet.

Un jeu de dés des plus endiablés nous attend pour finir notre tome, mais la suite se fera attendre.



Certaines scènes de combats sont comme une danse, valsent, et c’est plaisant pour nos yeux. Le début nous conte une histoire ou plutôt continue. L’emprise du temps qui passe représente également quelque chose de fort.

Parfois se remettre peut prendre du temps. Nous aurons plaisir à retrouver notre petite groupe hétéroclite qui le deviendra même encore plus.

Des pouvoirs sont présents, une façon de se déplacer, des émotions, du défi, de la tension, le lecteur est entraîné avec eux.



Notre samouraï fera une bien étrange rencontre avec un homme intrigant qui a des choses à nous dévoiler. Et sera entraîné dans un jeu de dés, jeu de hasard, ainsi que toute l’effervescence que cela peut provoquer, les risques, et ce qu’on peut y jouer.



Alors prêts à danser ? Le plus difficile étant certainement de devoir s’arrêter et de ne pas avoir fini l’actuelle.

Envie d’aller dans ce Japon d’autrefois, avec une aura fantastique ?



Avis express : Bonne à très bonne lecture. C’est un sacré univers. Ouiiii, enfin un tome !
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Ce manga est un ouvrage plutôt original sur le harcèlement scolaire. En effet, Kasane qui se dit « laide » se fait embêter par ses camarades de classes dès le CM1.



Fille d’une actrice dit d’une grande beauté, celle ci souffre de l’absence de sa mère depuis sa mort mais aussi de la comparaison que font ses camarades. Dotée pourtant d’un charisme exceptionnel, celle ci n’a pas du tout confiance en elle.



Mais, sa mère lui a laissé un héritage assez particulier: un rouge à lèvre qui permet à Kasane de prendre le visage de la personne qu’elle embrasse.



C’est une autre façon d’aborder le harcèlement scolaire, de façon fictive et complètement imaginaire. Même si certaines réactions du personnage principal me choquent, le manga est assez réaliste et met en avant la méchanceté de certains enfants. Il met également en lumière des personnes d’une gentillesse infinie qui souhaite aider Kasane.



Une sorte d’histoire d’horreur dont on a envie de savoir la suite.

A chaque tome, j’ai l’impression de faire une magnifique mais dramatique plongée dans le temps de cet ancien Japon et ses superstitions à travers la quête émouvante de ce samouraï sans sabre voulant à tout prix retrouver sa femme.



Dans un tome plus centré sur l’action que bien d’autres, l’autrice continue de nous charmer par les portraits âpres des gens marginaux qu’elle nous fait croiser. Tous ont des pouvoirs mais aucun ne semble heureux avec, ce sont plus des malédictions qui les tirent vers le bas où les ravagent. C’est bien triste. Mais de cette tristesse, elle tire une belle force pour rendre ce récit puissant, marquant et émouvant.



Cette fois, nous démarrons avec l’instigateur de toute cette histoire que l’on rencontre enfin et dont on nous dévoile le passé et le but : Haretake, jeune mystique issu d’une riche famille qui va vriller lorsqu’un esprit va s’installer dans son corps. Enfin grâce à cette rencontre, les tenants et les aboutissants de l’histoire s’éclairent et ça fait du bien. On prend plaisir à découvrir les prémices de sa destinée tragique magnifiquement dessinés par l’autrice qui sait y faire dans le manga en costume d’époque et les créatures folklorique comme ce tengu qui l’accompagne.



Mais ce tome est également le début de l’aventure pour Konosuke, lui, qui s’est vu enlever sa femme depuis le début mais n’a pas fait grand-chose jusqu’à présent. L’arrivée chez lui de Katsuma le tengu va lui apprendre enfin ce qu’il doit faire et nous allons le voir enfin bouger et partir à la recherche de sa femme, un mouvement nécessaire pour éviter que l’histoire continue à faire du surplace. Il n’y a rien de spectaculaire dans l’écriture choisit par Daruma Matsuura mais enfin elle bouge son héros et lui faire voir du pays aux côtés d’une fine équipe composée d’une petite aveugle et d’un enfant portant un masque de monstre, pas la plus fiable des équipes. D’ailleurs, il ne tombe pas là où il devrait tomber, bien sûr !



Cette quête d’Aki, la femme de Konosuke, va être l’un des moteurs de l’histoire, comme il l’est depuis le début, mais de manière plus active. Il n’en sera pas le seul, puisque demeure cette dynamique de rencontre d’esprits (et non de gueules) cassés. L’autrice nous fait faire le tour des marginaux du Japon d’autrefois et après la devineresse aveugle sur les routes, le jeune mystique de bonne famille, place au joueur invétéré qui voit le futur dans son oeil droit. Une nouvelle figure, un nouveau personnage, un nouveau destin et celui-ci semble aussi rude que les précédents. Tenroku semble détaché de tout. C’est la figure du parieur, tricheur, par excellence. On se demande jusque dans quelles profondeurs il va attirer le héros dont il menace à son tour la femme. Un peu répétitif mais toujours si savoureusement sombre.



Cette danse du soleil et de la lune n’en finit décidément pas et nous propose toujours un portrait plein de contrastes sur le Japon d’autrefois et ses personnages en marge de la société à cause de leurs particularités. Avec un fantastique savamment dosé, des compositions graphiques envoûtantes et des sentiments à fleur de peau, Daruma continue de nous proposer un voyage des plus âpres mais sensibles pour libérer ces âmes troublées.
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L'intrigue oscille entre passé et présent, offrant une pause calme avant de plonger à nouveau dans l'action du tome précédent. Ce changement de rythme a captivé mon attention, ravivant mon intérêt pour l'univers de Daruma Matsuura, peuplé de légendes et de mythes fascinants. Malgré mon attachement aux personnages et l'admiration pour les illustrations qui m'ont émerveillée, je reste consciente des petits défauts, notamment la longue attente et le manque d'explications sur le folklore japonais pour les novices.



L'intrigue reste enveloppée de mystères, surtout après la rencontre désastreuse de Konosuke avec les ravisseurs de Tsuki. Les révélations captivantes surviennent lorsque le mystérieux bienfaiteur, Bokutake, et le maître du tengu guérissent Konosuke. Les liens entre les personnages se révèlent, mais des questions persistent, notamment sur la mission de Katsuma Takayama auprès de la famille d'Haratake.



Le tome offre une avalanche de réponses, bien que le fil conducteur demeure parfois complexe. Konosuke poursuit sa quête, dévoilant les secrets de sa femme qui semblent la rendre toujours plus énigmatique. Haratake dévoile son vrai visage, terrifiant par le pouvoir qu'il détient. Tsuki, quant à elle, semble être une pièce maîtresse, bien que le mystère persiste quant à son rôle exact. Ce tome continue de captiver et d'immerger, laissant une impatience palpable en attendant la suite. 📚✨

Mon avis détaillé :

Wow ! Après une légère déception avec le tome 2, j'ai peut-être davantage compris l'intention de l'autrice (ce n'est pas qu'une histoire d'un samouraï sans sabre et d'une mystérieuse fiancée...) !



Quelle claque ! Quel combat contre Madara ! Quelle puissance dans la narration, dans les pouvoirs de chacun ! C'était littéralement passionnant.



L'action est lisible, majestueuse, envoutante. Les textes accompagnent avec poigne la puissance dégagée par les dessins. Bref, c'était un très bon moment de lecture et j'ai hâte de découvrir la suite !!

J'annonce, un gros coup de cœur ! Une série que je vais suivre de très près, c'est certain.

C'est un premier tome qui est très prenant, qui nous amène rapidement dans l'histoire sans en faire trop. Les dessins sont magnifiques et la fiction a un rythme bien mené. La fin du premier tome nous donne terriblement envie d'en savoir plus.

L'époque des samouraï me fascine mais en plus lorsque une once de fantastique sans mêle, que demander de plus ?

Les personnages sont attachants, Konosuke et son syndrome dépressif tourné en dérision, qui se lamente sur son sort et sa tendance à l'autodestruction.

Une très bonne entrée en matière. Je ne vous en dis pas plus, c'est une lecture qui se savoure !

J’avais lu “La voleuse de visage” et j’ai trouvé par hasard ce livre qui lui ressemblait beaucoup. Il se trouve qu’il s’agit de la préface de cette série, sur la mère de Kasane. Intrigue intéressante mais qui nous laisse sur notre faim quant à certains mystères…

J'ai été attiré par la couverture magnifique de ces deux tomes qui se complètent. J'ai moins aimé le dessin intérieur, les traits brouillons, les grandes cases. Mais il y a de l'humour et la beauté d'une histoire d'amour, une légende fantastique, un sabre de bambou, un samouraï maudit, une femme cachotière...