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Citations de David Cenou (20)


Nous étions convaincus, et c'est toujours le cas, que remettre en question et secouer le système d'« injustice » est un droit humain.
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On ne peut pas mettre des barbelés et des miradors à toutes nos frontières. C'est une vision du monde qu'il faut éviter à tout prix.
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Il fallait maintenant retrouver ses occupants et châtier sévèrement les coupables. L’heure du sang avait sonné et plus rien ni personne ne pouvait nous raisonner. Trop d’alcool, trop de temps passé ensemble, trop de bourrage de crâne, trop de bastons, trop de fascination et de fétichisme dans notre façon de vivre pour avoir, à ce moment-là… une réflexion objective et sensée sur nos agissements
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- Vous avez un plan, chef ?
- Si j’ai un plan ? On nique leur mère !
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- Cette histoire de K.K. ne sent pas bon.
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L'élection de Donald Trump montre bien que le racisme aux Etats-Unis est un racisme systémique des institutions. (p.110)
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C’est l’histoire de ma descente dans les recoins glauques de ma vie où j’aurais pu perdre au moins la raison
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C’était si rares ces moments où l’on se sentait su forts, presque invincibles. (…) On pouvait lire la peur sur le visage des gens, quand ils osaient décoller leur regard du sol
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Je me souviens qu'en fin de livre, il est mentionné que je suis aide-soignant.
Comme si ce métier me dédouanait de tout soupçon de déviance et qu'il aurait été une forme de pénitence à laquelle je me serais voué avec abnégation.
Je serais donc guéri de ma haine, alors ? Cool, je ne représente plus aucun danger, ni pour moi ni pour les autres !
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"Vous voulez la liberté !
Vous voulez la justice !
La fin des brutalités de la police et de son invasion dans les communautés noires ! Rassemblons-nous et construisons ensemble une vraie politique de partage, afin de combler ce fossé entre ceux qui ont tout et ceux qui n'ont rien ! La nation noire n'est pas une utopie si nous la construisons sur des valeurs de collectivité !
Mes frères, mes sœurs et tous les peuples opprimés qui subissent toutes formes de répression sociale ou raciale ! Tous les moyens nécessaires devront être mis en œuvre pour tuer le mythe de la démocratie que sont les Etats-Unis d'Amérique !" (p.45)
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Pendant combien de temps vais-je encore être obligé de m’emmerder comme ça ? Un jour, je ne le supporterais plus… Je dégoupillerai…
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Je quitte mon corps...
Non...
Redescends !!!
Pas les couilles d'aller plus loin...
Stop.
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Ce que j'aime chez vous Gérald, c'est votre queue molle. J'ai l'impression qu'on me fourre une chipolata crue.
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Albert devra-t-il à son tour attendre d'être mourant pour être libéré ? (p.106)
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Ainsi les 3 d'Angola ont commencé à devenir un des plus forts symboles de l'arbitraire et de la maltraitance carcérale aux USA. (p.88)
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Malik, j'aime à penser que je suis resté très sain d'esprit. mais comment plonger dans les ordures sans en ressortir puant ? La seule chose que je sais, c'est que, en isolement, ton cerveau rétrécit et je pense que c'est durable. (p.72)
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- Tu es dehors maintenant.
- Mais je ne lâcherai jamais Angola, Angola n'est pas libérée de moi. Je n'ai pas survécu à tout cela pour dormir et me taire. L'incarcération s'inscrit dans ton corps. (p.71)
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La police avait alors une méthode bien spéciale pour "nettoyer ses archives" : si une affaire restait non résolue, ils arrêtaient un noir, de préférence jeune et avec un casier, l'accusaient, le battaient et le forçaient à plaider coupable. (p.20)
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Tolérer une grève de la faim, cela serait admettre une manifestation pacifique. Ce qui n'existe pas en prison. (p.14)
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Quand tu ne rentre pas de la nuit, j'ai peur qu'on t'ait arrêté... Sniff ! ...J'ai peur qu'on vienne perquisitionner chez nous..
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