Citations de David Lloyd (97)
- “Remember, remember the fifth of November of gunpowder treason and plot. I know of no reason why the gun powder treason should ever be forgot.”
C'est fini, petite, c'est fini, maintenant. Tout va bien, le passé ne peut rien contre toi, sauf si tu le laisses faire.
Vous pensiez me tuer? Mais il n'y a ni chair ni sang qu'on puisse tuer, sous ce masque. Juste une idée. Les idées sont à l'épreuve des balles.
Tu veux savoir quelles sont mes volontés ? Bien. Très bien.
… Tout en haut, les Dieux…
…Savent que je vaux si peu…
Par ici…
… Quand je vais en ces lieux…
Derek… Derek, tu étais nul. Et puis tu es mort. C’est tout. Tu es mort et je ne dors plus. Tu es mort, me laissant nue devant des étrangers. Derek, quand nous nous sommes mariés, je travaillais dans une banque, et toi pour les assurances. Nous devions acheter une maison dans le Surrey. Peut-être avoir des enfants. C’était en 87. Juste avant la guerre. Et puis, en 92 tu as pris ta carte du parti. […] Et maintenant tu es mort, et je rentre seule, le soir, traversant les zones d’émeutes et de pillages, esquivant les tirs, passant devant les immeubles incendiés. Maintenant tu es mort et je me penche, et j’offre ma croupe aux regards de la foule.
Il faut avancer, parce que c’est le seul moyen que nous avons de survivre. Le seul but.
Oui, je suis fasciste, et alors ? Fascisme… c’est un mot dont le sens s’est perdu quelque part entre les pleurnicheries des faibles et celles des traîtres. Les romains ont inventé le fascisme… Un faisceau de verges liées était son symbole. Une verge pouvait être brisée, mais le faisceau tiendrait bon. Le fascisme. La force par l’unité. Je crois en la force. Je crois en l’unité. Et si la force et l’unité demandent l’uniformité de la pensée, des mots et des actes, ainsi soit-il. Je ne veux pas entendre parler de liberté, et surtout pas de libertés individuelles. Ce sont des luxes. Je ne crois pas au luxe. La guerre a mis fin au luxe.
Les gens sont soumis et désorganisés. Certains saisiront peut-être l'occasion de protester, mais ça ne sera qu'une voix dans le désert. Le bruit est proportionnel au silence qui l'a précédé. Plus le calme était absolument plus le coup de tonnerre choquera. Nos maîtres n'ont pas entendu la voix du peuple depuis des générations Evey... Et elle est bien plus puissante qu'ils ne veulent s'en rappeler.
Par le pouvoir de la liberté, j’ai de mon vivant, conquis l’univers.
Elle m’a appris que la justice n’est rien sans la liberté.
Je ne sais toujours pas qui est ce "V", mais je pense savoir ce qu'il est !
-Toi et moi, Evey. Toi et moi contre le reste du monde. Ha ha ha !
C’est du mélodrame, c’est étrange cette façon qu’a la vie de tourner au mélodrame, non ?
-C’est très important, pour vous ? Tout ce côté théâtral ?
-C’est fondamental, Evey. L’entrée en fanfare… La grande illusion… C’est fondamental. Et je vais casser la baraque. Ils n’ont plus le sens du drame, tu comprends ? Ils ont oublié leur texte, éblouis qu’ils étaient par les feux de la rampe nucléaire.
Je parlais à Dieu, pendant que mes collègues riaient. Mais je me sentais justifié par le fait que Dieu était réel, incarné sous une forme que je pouvais aimer. Quand j’ai vu ses écrans pour la première fois, ses lignes profilées, ce n’était pas une femme, couverte de sueur et de poils, mais quelque chose de froid, de dur, de sensuel. Nous nous sommes aimés, mon Dieu et moi… Mais… mais il a fini par me tromper, et à présent il n’y a plus rien. Je suis seul.
Ça, ce sont sûrement les fours… Des fours pour mettre des gens… C’est inutile. Je ne peux pas rendre ça plus réel. Et si j’avais su que ça arriverait, aurais-je adhéré au parti ? Probablement. Pas d’autre alternative… Nous ne pouvions laisser perdurer le chaos après la guerre. N’importe quelle société valait mieux que ça. Nous avions besoin d’ordre… Moi, en tout cas, après avoir perdu Cynthia et Paul comme ça… tout se désintégrait… et je voulais juste… juste…
[…] quand on est veuve, le monde est différent. On traverse un rideau invisible. Et on arrive dans un pays où les gens vous traitent différemment. C’est un endroit déplaisant. Tu n’es plus là, Derek.
- Toi et moi, Evey. Toi et moi contre le reste du monde. Ha ha ha ! C’est du mélodrame, c’est étrange cette façon qu’a la vie de tourner au mélodrame, non ?
- C’est très important, pour vous ? Tout ce côté théâtral ?
- C’est fondamental, Evey. L’entrée en fanfare… La grande illusion… C’est fondamental. Et je vais casser la baraque. Ils n’ont plus le sens du drame, tu comprends ? Ils ont oublié leur texte, éblouis qu’ils étaient par les feux de la rampe nucléaire. Je vais leur rappeler tout ça, le mélodrame, le roman-feuilleton. Le grand-guignol. Tu vois, Evey, le monde est un théâtre. Tout le reste n’est que vaudeville.