Citations de David Lloyd (97)
Cette intégrité là était importante à mes yeux, est ce si égoiste ?
On n'a pas grand chose en ce monde, si ce n'est ça. C'est un tout petit espace en nous... mais dedans, nous sommes libres.
La justice n'est rien sans la liberté !
La capitale écoute, quelque chose cloche. Il y a quelque chose qui cloche dans la voix du destin. Une toute petite chose qui projette une ombre très longue sur l'avenir. Car quelque soit cet avenir, ce ne sera plus pareil.
- Je suis le roi du 20eme siècle, le croquemitaine, le vilain... la honte de la famille.
Poor dominoes ! Your pretty empire took so long to build ; now, with a snap of history's fingers... down it goes.
La vie est un théâtre, une grande illusion. Et je vais casser la baraque.
Nous devons tous continuer, c'est le seul moyen de survivre.
Les peuples ne devraient pas craindre leur gouvernement, c'est le gouvernement qui devrait craindre le peuple.
Poor dominoes ! Your pretty empire took so long to build ; now, with a snap of history's fingers... down it goes.
L'autorité n'admet que deux rôles : le bourreau et la victime, transforme les gens en poupées qui ne connaissent plus que peur et haine, tandis que la culture plonge dans les abysses. L'autorité déforme ses enfants et change leur amour en un combat de coq... L'effondrement de l'autorité aura des répercussions sur le bureau, l'église et l'école. Tout est lié. L'égalité et la liberté ne sont pas des luxes que l'on écarte impunément. Sans ceux-ci, l'ordre ne peut survivre longtemps sans se rapprocher de profondeurs inimaginables.
Trop de télé est nocif, et tu as encore des devoirs à faire. Ici tu trouveras les livres et l’équipement qui te permettront de préparer des explosifs à partir de café, ou des drogues psychédéliques pour le prix d’un bidon d’eau. Si tu t’en sers, fais-le avec sagesse.
Contrairement à la télé, on n’a jamais assez de la science, malgré ses désagréments nucléaires. Avec la science, les idées peuvent germer sur un lit de théorie. La pratique leur permet de se développer… Mais le jardinier sait faire attention, car certaines mauvaises herbes peuvent tout gâter. Et parfois, les fleurs les plus chatoyantes sont les plus toxiques.
L'anarchie a deux visages : créateur et destructeur. Le destructeur abat les empires, prépare le tapis de ruines sur lequel le créateur peut construire un monde meilleur. L'achèvement de sa tâche rend ses outils de destruction inutiles! Donc, plus besoin d'explosifs! Plus besoin de destructeurs! Ils n'ont pas de place dans notre monde meilleur! Portons un toast à nos poseurs de bombes, à nos bâtards, terribles et impardonnables! Buvons à leur santé. Pour ne plus jamais les revoir.
Ni le public, ni les acteurs ne savent si la pièce est terminée, ils jettent des regards inquiets mais le masque sourit, figé...
Lorsqu'elle sentira le chaos la talonner, l'autorité ourdira les plus viles intrigues pour préserver un semblant d'ordre... Mais un ordre sans justice, sans amour et sans liberté, ce qui ne pourra ralentir longtemps la descente de leur monde aux enfers
- Oh, bien sûr, la direction est très mauvaise. N'hésitons pas à le dire : la direction est NULLE ! Nous avons eu une bande d'escrocs, d'imposteurs, de menteurs et de déments qui ont pris une suite de décisions catastrophiques. Mais qui les a élus ? C'est vous ! Vous leur avez donné ces responsabilités, et le pouvoir de prendre ces décisions à votre place. Même si j'admets qu'on puisse parfois se fourvoyer, je ne puis croire que la répétition des mêmes erreurs mortelles ne soit en quelque sorte délibérée. Vous avez ENCOURAGÉ ces incapables malveillants, qui ont fait de votre vie professionnelle un gâchis total. Vous avez accepté ces stupides ordres sans réagir. Vous les avez laissés envahir votre espace de travail avec des machines incertaines. Vous auriez pu les ARRÊTER. Ils vous suffisait de dire "non". Vous n'avez aucune volonté. Vous n'avez aucune fierté. Vous n'êtes plus un atout pour notre société.
La connaissance, comme l'air, répond à un besoin vital et ne devrait être déniée à personne.
Le bruit est proportionnel au silence qui l'a précédé. Plus le calme était absolu, plus le coup de tonnerre choquera.
Il ne faut jamais dépendre des majorités silencieuses, Evey. Parce que le silence est une chose fragile. Il s'efface au premier cri.
Je n'ai pas de nom, tu peux m'appeler V.
V.-Je demandais à mon père : "Qui est cette dame ?" Et il me répondait : "C'est la justice." Et je m'exclamais : "Qu'elle est belle !"