David Michie

Un très gros coup de cœur pour cet ouvrage qui nous livre un merveilleux témoignage plein d'espoir, d'empathie et de bienveillance. Au fil des pages, l'auteur nous fournit les outils utiles pour pouvoir atteindre le bonheur de pouvoir réinterpréter la manière, dont nous vivons le monde extérieur, de créer un îlot de calme, parmi l'agitation de la vie quotidienne.

Des exemples très bien choisis qui sont parlants, pour le lecteur, et qui feront, forcément, écho à la vie de chacun. C'est concret, clair, précis, l'auteur nous donne également des conseils qui sont organisés sous forme d'encarts, de quoi prendre un bon départ pour amorcer cette période de vacances.
Lien : http://lescoupsdecoeurdecmet..

David Michie témoigne de sa découverte du bouddhisme tibétain et de son parcours dans la voie spirituelle ; et comment ce cheminement à transformer sa vie personnelle et professionnelle.

Depuis, les années 60-70, l'intérêt des occidentaux pour le bouddhisme s'affranchit des frontières.

La recherche du bonheur et d'un sens préoccupe l'individu.

En effet, nous sommes tous reliés. Chercher le bonheur en soi et le partager contribuent au bien-être de la communauté. La sérénité se construit grâce à l'enseignement entre autre de la méditation. La méditation permet l'apaisement, le détachement des projections mentales et des obsessions qui nous empoisonnent.

Trouver un professeur pour nous accueillir et nous accompagner est fondamental.

Depuis plusieurs lectures, je rôde autour de cette religion et/ou philosophie. Je pense qu'il est temps d'entrer dans le vif du sujet.

Horriblement long c'est vraiment mon ressenti, je n'avais qu'une hâte : le finir ! Dommage, l'idée était bonne.

Un karma instantané ce serait incroyable !



J'ai vraiment décroché à certains moments, je n'arrivais pas à comprendre ce que l'auteur voulait dire. Je me suis perdue dans les personnages. En plus, ceux-ci ne revenaient pas à intervalles réguliers.

Les exemples ont été principalement positifs, les négatifs nous ne savons pas ce qu'ils sont devenus, ce qui a probablement été fait exprès mais grâce à ce karma instantané, il aurait été intéressant de retourner la situation.

Certains paragraphes sont d'une longueur improbable, sans réel intérêt. Les discours de Lama Tashi ont pour moi été intéressant sur des petits passages mais globalement incompréhensibles

Mon rythme de lecture est très diminué en ce début d'année... Heureusement qu'il y a encore les opérations Masse Critique qui me poussent à me poser quelques instants pour lire.

Me voici donc au dernier jour de délai pour la critique de Instant Karma, de David Michie (et je me sens un peu comme l'ancien étudiant que j'étais qui lisait à toute vitesse les livres obligatoires la veille de l'examen).



Alors j'ai mis un mois à terminer cette fiction sur le karma, mais non pas qu'il soit indigeste ou impossible à lire, il est d'ailleurs justement très facile à appréhender, au vu du nombre de personnages différents.



C'est un choix de l'auteur qui tombe sous le sens (suivre à chaque chapitre une histoire différente pour pouvoir analyser de nombreuses situations découlant du postulat de base), mais qui m'a un peu perdu en début de roman.

On passe d'un personnage à l'autre sans vraiment de contextualisation, et souvent, dès qu'un personnage est introduit, il est rapidement nommé par son surnom ou un autre nom par ses proches (bref, on s’emmêle les pinceaux).

Finalement, au bout de ma lecture, je constate que ça aurait pu être pire, car j'ai finalement bien pu suivre une fois entré dans l'histoire, peut-être n'était-ce qu'un manque d'implication de ma part.



Le sujet du Karma qui deviendrait instantané est bien trouvé, et promet une bonne lecture feel-good. Les causes, effets, conséquences du karma sont très bien expliquées. On sent que l'auteur connait son sujet.

Le personnage de Lama Tashi, stoïque au possible, m'a bien plu également, et notamment certaines de ses réflexions bien pensées. (Posez une question utile, si vous souhaitez une réponse utile / s'ils envoient leurs émissaires pour me parler, c'est qu'ils ne souhaitent pas vraiment communiquer avec moi / etc.).



Comme l'auteur l'explique à la fin, on pourra lui reprocher d'aller trop loin ou au contraire, de ne pas entrer dans les détails.

Il est vrai que certaines situations mériteraient plus d'analyse et de profondeur, mais je ne pense pas que ce soit le but de ce livre. Poser les prémisses d'une réflexion pour tous, plutôt qu'un propos moralisateur et dénué de nuances (exception faite pour la nation qui devient végétarienne du jour au lendemain).



En bref, j'ai passé un bon moment, et je recommande ce livre, qui laisse une note positive. J'émets le doute que les personnes lambdas de cet univers comprendraient la leçon si le karma cessait d'être instantané à la fin de l'histoire, et ça reflète sûrement ma pauvre foi en l'espèce humaine, mais n'empêche que je sais que dès aujourd'hui, je vais davantage faire attention aux autres dans mon quotidien... Mission accomplie.

Un roman qui bouscule par son impertinence raisonnée. Si chaque acte de gentillesse était immédiatement suivi d'effet bénéfique pour celui qui le prodigue, et si chaque acte répréhensible avait tout de suite sa sanction. Distrayant étonnant. Un roman peu conventionnel à découvrir. Par un auteur qui manie les préceptes bouddhistes avec beaucoup de facilité. Un bon moment de lecture!

J'ai beaucoup apprécié la série du même auteur "Le chat du Dalaï-lama".

Et j'ai été un peu déçue de ce livre-ci. Il se lit très vite avec de courts chapitres sur chacun des personnages. C'est plaisant et simple à lire.

Mais si les histoires du chat apportaient du sens et étaient proches de la réalité, j'ai trouvé ici que l'auteur hésitait entre le conte et le roman.

Pour ma part, je l'ai trouvé un peu trop simpliste et naïf, il m'avait habitué à mieux divulguer les messages universels du bouddhisme.

Bref, une petite déception.

Instant karma de David Michie est un roman mêlant fiction, karma et inspiration bouddhiste. J'avais déjà découvert cet auteur avec la série best-seller "Le chat du Dalai Lama" et je le retrouve ici une nouvelle fois de façon positive.

Ce roman stimule notre réflexion et éveille notre esprit et notre cœur à cette idée: donner aux autres, c'est se donner à soi-même.

Nous suivons durant 24 heures, en simultané, les histoires de vies de différents personnages. Ces derniers subissent tous en même temps des actualités néfastes d'une grande ampleur.

Nous retrouvons:

-Tom, un ancien militaire qui ne s'est jamais remis de sa dernière mission au Rwanda,

-Dan, un célèbre présentateur télévisé dont sa fille de 23 ans a eu, deux ans plus tôt un grave accident de voiture et qui est aujourd'hui tétraplégique,

- Grace, 62 ans qui lutte contre un cancer de stade 4,

-Amy qui tente de faire décoller sa carrière,

-Bob qui trompe sa femme.

De plus, nous allons également découvrir dans cette histoire un personnage emblématique, le Lama Tashi qui suscite l'admiration...

Tous vont s'interroger sur leurs actions et leurs pensées afin de répondre à une unique question: comment tirer le meilleur parti de notre incarnation?

Ce livre est une agréable surprise. Je vous le recommande bien évidemment!

De retour d'un voyage aux États Unis, le Dalaï-lama patiente dans les embouteillages de New Delhi. Soudain, son regard est attiré par l'étrange trafic auquel se livrent deux enfants. Après avoir négocié la vente de quelques chatons, ceux-ci s'apprêtent à en jeter un qui n'a pas trouvé preneur. Sa Sainteté sauve, in extremis, une chatonne malingre qui, élevée dans le monastère du Jokhang devient vite une magnifique Himalayenne. De son poste d'observation sur l'appui de la fenêtre, elle assiste aux audiences privées et mûrit le projet d'écrire ses mémoires. Elle livre ainsi des anecdotes de sa vie de bouddhiste félin, auxquelles elle mêle des leçons de sagesse dont elle a bénéficié.

J'adore les chats. Le bouddhisme ne me laisse pas indifférente. Et, justement, lors d'une opération Masse Critique sur Babelio, je repère l'ouvrage de David Michie. Par chance, quelques jours plus tard, il tombe dans ma boîte aux lettres. Je m'y plonge immédiatement.

Chogyan et Tenzin, les adjoints du Dalaï-lama, nomment leur protégée CDSS, « Chat de Sa Sainteté ».

Son histoire n'est, bien évidemment qu'un prétexte pour faire découvrir, de façon simple et sans pédanterie, les grandes lignes de cette philosophie à la mode.

J'ai reçu un format poche dont la couverture me déçoit. La « belle édition » offre la photo d'un véritable Himalayen, de la race de notre héroïne. Le poche, malheureusement, a choisi un petit chat gris, très mignon, certes, mais qui ne correspond en rien au portrait de CDSS. Pourquoi ce changement ? Mystère.

Je découvre, au fil des pages, des entretiens que le Dalaï-lama accorde à des personnalités connues. Elles ne sont jamais nommées, mais CDSS donne au lecteur des indices qui lui permettront de deviner leur identité. Hélas, à moi, ils ne disent rien. Cela m'énerve. Par exemple : « J'ai reconnu le visiteur au moment où il fit son entrée dans le bureau de Sa Sainteté. Il était, après tout, l'un des gourous du développement personnel les plus réputés dans le monde, et ce, depuis longtemps. Son visage apparaissait sur les couvertures de millions de livres et de DVD. Il avait fait la tournée des capitales du monde et il s'était adressé à des foules gigantesques dans les plus grands stades de la planète. Il avait ses adeptes parmi le gratin d'Hollywood, il avait rencontré des présidents américains et il faisait régulièrement des apparitions dans les émissions de variétés les plus regardées. »

La traduction de Martin Coursol n'est pas très bonne, ce qui ne manque pas de me perturber. Je passerai sur les nombreuses fautes d'orthographe (ainsi, bien que CDSS soit une chatte, les participes passés qui la décrivent sont, le plus souvent, accordés au masculin). Mais les tournures fautives, telles « Mme Trinci et le Café Franc ont reçu instruction de me servir que des demi-portions », voire carrément incompréhensibles, comme « N'est-il pas vrai que, de temps en temps, vous éprouvez un souci excessif quant à la façon dont vous vos vêtements aux autres ? » me dérangent et m'arrêtent dans ma lecture.

Certains passages m'ont causé de gros problèmes et j'ai éprouvé beaucoup de mal à les lire. Ils concernent la cruauté humaine envers les animaux qui, de plus en plus, me révolte, me bouleverse, me désespère. Ainsi, au début du livre, des enfants laissent tomber la petite chatte sur le pavé, puis, l'emballement tout simplement dans une feuille de journal, dans l'intention de la jeter comme un détritus. Je ne peux pas prendre de recul car cette situation se produit trop souvent dans la réalité.

Le pire, pour moi, est le moment où Franc, qui déteste les chats, s'apprête à projeter l'intruse loin de son café. J'en avais les larmes aux yeux, une boule dans la gorge. Y repenser me cause encore toujours un malaise, d'autant plus fort que la situation est vécue de l'intérieur : « La plupart des chats sont capables d'encaisser les chutes sans le moindre mal. Mais je n'étais pas comme la plupart des chats. Mes jambes de derrière étaient déjà faibles et instables. Un impact supplémentaire pourrait leur causer un tort irréparable. Serais-je encore capable de marcher ? »

Je n'ai donc pas du tout aimé le personnage de Franc, vaniteux, vantard, brutal, profiteur. Oui, par la suite, il accueille la chatte comme une reine, lui offre de friands morceaux, lui aménage un coin avec coussin en forme de lotus. Mais ce n'est nullement par gentillesse. CDSS n'est pour lui qu'une réclame vivante, susceptible d'attirer la clientèle. Il s'enorgueillira, devant chaque visiteur, de s'occuper du chat du Dalaï-lama, tout comme il est intarissable sur l'histoire de ses innombrables bénédictions ou porte un signe « Om » en diamant à l'oreille. Je ne l'aime pas, même après qu'il a fait son mea culpa, même après les efforts qu'il fournit pour s'amender.

En revanche, le livre nous offre, pour contrebalancer, toute une galerie de figures sympathiques et attachantes, comme Tenzin et Chogyal, ou, ma préférée, Mme Trinci, la cuisinière, qui offre à sa petite protégée, des mets plus délicats les uns que les autres et la serre sur son cœur avec une réelle affection.

J'aimais beaucoup le fait que la chatte se voie gratifiée de plusieurs noms (ce que chaque amoureux des félins ne manque pas de faire avec son animal, mais aussi, comme le racontait Philippe Ragueneau dans un de ses romans, parce que nos petits fauves visitent différentes personnes, qui, toutes, leur donnent des noms différents.) Bien entendu, mon favori est celui qu'utilise Sa Sainteté en personne : « petite lionne des neiges ».

Si je n'ai pas appris grand chose de nouveau à propos du bouddhisme, j'ai malgré tout vraiment apprécié de découvrir des leçons faciles et aisément applicables dans la vie de tous les jours par tout un chacun. Ce livre me rappelait « Le voyage d'Hector ou la recherche du bonheur » de François Lelord que j'avais beaucoup aimé.

Celui qui se dévalorise sans cesse apprend à acquérir de la confiance, celui qui se vante devient plus modeste, un couple donne un bel exemple en sachant profiter de l'instant présent. Quand ils dégustent leur café, ils le font en silence et en prêtant attention à leur breuvage, au lieu de se laisser distraire par l'environnement (c'est déjà ce que nous disait Montaigne au XVIe siècle!).

Enfin, pour ma part, je devrais appliquer ce précepte : « lorsque quelqu'un est fâché, le premier à souffrir, c'est lui. Une personne fâchée n'a l'esprit ni heureux, ni paisible. » « Nous devons également penser à l'impact que nous avons sur les autres. Quand nous disons des choses blessantes que nous ne pensons pas vraiment, nous pouvons créer des blessures profondes qui ne peuvent être guéries. » Avec mon fichu caractère, cela me ferait du bien d'y songer. Hélas, j'ai bien l'impression d'être irrécupérable. Je devrais apprendre par cœur ces pensées et me les réciter continuellement à la façon d'un mantra !

Cet ouvrage m'a donc beaucoup plu et je le conseillerais à tous ceux qui aiment les chats et veulent découvrir de jolies leçons de vie à méditer, sans devoir se prendre la tête avec des termes techniques pédants et incompréhensibles.

Je remercie une fois encore Babelio et son Opération Masse Critique, ainsi, bien sûr, que les éditions Leduc.S qui ont eu la gentillesse de me l'offrir.

Une excellente introduction au bouddhisme et au quotidien du dalaï-lama, au travers des yeux de son chat.



La narratrice féline est totalement crédible, avec son ton qui mêle raffinement distingué et instinct animal, ses tête-à-tête hilarants avec des chiens, et son amour passionnel pour la nourriture. On sent que l'auteur connait très très bien les chats, et qu'il les adore.



Le roman est une succession de petites leçons bouddhiques, entrelacées de pensées félines.

Le tout passe très bien et permet de s'initier un peu à cette religion.



Le livre baigne dans la sérénité, les sourires sages et les conseils bienveillants sur la manière d'adoucir sa vie.

Les chats semblent faits pour le bouddhisme, et le bouddhisme fait pour les chats !



Si je n'en ressors évidemment pas converti à cette religion, je la connais maintenant bien mieux, et ai gardé de côté quelques concepts qui pourraient m'être utiles.

Merci à Babelio & Leduc.s Éditions pour cette découverte !

Notre petite lionne des neiges nous embarque au coté du Dalaï Lama pour découvrir son mode de vie apaisé empli d'amour et de compassion. L'originalité de cette série est de voir le monde à travers les aventures d'un chat Himalayen au yeux bleu saphir qui à lui même connu une enfance malheureuse.

Dans ce court ouvrage de développement personnel, David Michie donne la parole à un chaton recueilli par le Dalaï-Lama pour présenter, de façon romancée, le quotidien et certains principes des moines bouddhistes.



Certains passages sont particulièrement mal écrits... erreur de style, de grammaire, conjugaison hasardeuse... est-ce un souci d'écriture, de traduction ou d'édition ? Cela m'a beaucoup gênée dans ma lecture (d'autant que je pardonne moins ce type d'erreur pour un format "poche" qui a déjà dû passer au crible des relectures pour l'édition initiale...). L'histoire était tout de même suffisamment entraînante pour m'encourager à finir ce livre. La petite chatte est attachante et plutôt rigolote, ce qui donne une touche humoristique à l'évocation du bouddhisme. Les apprentissages, leçons de vie et autres allégories sont intéressantes, même si très souvent survolées. Ce livre pourrait être une bonne entrée en matière vers la spiritualité et la méditation s'il n'était pas si "mal écrit"...

Et je marne et je marne.

Je n’avance pas dans ma lecture.

Pourtant, je pensais le moment venu de lire cet ouvrage qui m’attendait depuis longtemps dans ma pile à lire.



David Michie a produit là un véritable ouvrage de vulgarisation de la pensée bouddhique.

L’idée de se servir d’un chat, déjà exploitée ailleurs, comme vecteur d’idées anthropomorphes, ici la Sagesse des enseignements de ce chef spirituel reconnue, reste néanmoins originale.



Cependant, malgré toutes les réflexions positives contenues dans ce livre, j’en ai relevé quelques unes, je ne suis pas arrivé à suivre ce cumul d’expériences sur le chemin de la Voie. Trop cartésien, peut-être. Ou bien ce n’était pas le bon moment.



J’ai donc abandonné là aussi.

Je dois être allergique à l’empilement !



L’Édition ne se prive pas de surfer allègrement sur le besoin de développement personnel des gens en réaction au monde chaotique que nous vivons.

Inévitablement, cela m’a renvoyé à la petite bande annonce imprimée en bas de la page de garde : « best-seller international »



Bref, tout est dit. C’est l’éditeur qu’a dû s’en mettre plein les fouilles



1 étoile



Ancelle, le 13 novembre 2023

Avec son format mini et sa couverture noire ornée d'un superbe chat doré, cette édition est matériellement un véritable bijou. Son contenu peut avoir autant de précieuse valeur pour celui qui est intéressé par la philosophie bouddhique.



J'aime les chats et j'avoue que l'angle utilisé par l'auteur pour mettre en avant cette pensée est originale. Chaton recueilli dans la rue par hasard et par le chauffeur du Dalaï-lama himself, CDSS (chat de sa sainteté) est le narrateur de sa propre histoire. Comme au théâtre, cette belle minette de race himalayenne, assiste au quotidien du grand maître et à ses diverses rencontres de personnalités. Elle interpelle le lecteur aussi bien sur problèmes de félin (comme celui par exemple des boules de poils que tout chat connait bien), que sur la philosophie bouddhiste et sur sa façon très personnelle d'en appliquer les pensées à son propre vécu.

C'est assez amusant d'autant plus que chez elle, l'humilité nécessaire à sa fonction n'a pas encore réussi à effacer toutes traces de mauvaise foi et de prétention inhérentes à l'espèce féline. Dommage que certains passages (peut-être est-ce dû à la traduction ?) restent abscons au quidam des lecteurs. Mais peut-être est-ce mon empressement d'occidentale qui m'a rendu hermétique ?



Un livre à savourer très lentement pour profiter pleinement de l'initiation aux principes du bouddhisme.

Que c’est bien la vie d’un chat, et surtout issu de la royauté grâce à sa sainteté : le Dalaï-lama ! Privilèges, bien-être quand tu nous tiens.

Cet ouvrage relaté à travers la vie d’un chat comprend de nombreuses leçons de sagesse.

Nous y découvrons également quelques aspects du bouddhisme.

Humour, réalité, amour, gratitude, bien-être, sagesse voilà quelques mots-clés qui caractérisent bien l’histoire.

Après tout : comment résister à un chat, avec les yeux de couleur saphir ?

Chouette moment de lecture.

Moi qui ne suis pas fan des livres parlant de spiritualité ou de développement personnel, ce dernier m’a fait revoir mon jugement.



Le chat du Dalaï-Lama c’est ce livre qui vient rallumer votre flamme et changer votre vision des choses.

A travers la vision d’un petit chaton vivant auprès de Sa Sainteté le Dalaï-lama, l’auteur présente au lecteur une vision simple du bouddhisme et des principaux concepts. La lecture, loin d’être théorique met en scène tous ces principes.

Un petit livre qui se lit vite mais qui offre beaucoup de plaisir.

Après avoir été recueillie par le Dalaï-lama sur un trajet le ramenant chez lui, ce petit chaton voit sa vie se transformer par cet acte plutôt anodin en apparence.

À travers ses yeux nous découvrons l’univers du bouddhisme et de sa bienveillance, sans en faire trop.

À chaque fin de chapitre nous prenons conscience de différents aspects de nous mêmes que nous pouvons rapprocher aux différents personnages rencontrés.

Bien sûr il faut être ouvert à tout cela pour que ça vous parle un minimum. Ça a été mon cas, j’ai passé un très bon moment avec ce livre et cette gentille CDSS.

J’ai adoré suivre cette petite chatte, recueillie bébé par le Dalaï-Lama qui l’emmène avec lui dans son temple bouddhiste.

C’est elle qui raconte son histoire. Et avec cette petite Lionne des montagnes, comme l’appellent les moines, nous parcourons les couloirs du temple. Nous y découvrons la vie des moines et les enseignements du Bouddha. Nous suivons, avec elle, les discussions des lamas, les rendez-vous du Dalaï-Lama avec des personnalités du monde.

Et pourtant, notre héroïne reste un chat avec des réactions de chat. C’est souvent drôle et attendrissant. Et ceux qui vivent avec un chat reconnaîtront certaines situations. Nous les avons vécues aux côtés de nos petits compagnons.

Cette histoire est toutefois un prétexte pour mettre en avant les pensées bouddhistes. Elles sont omniprésentes tout au long du roman, empreintes de sagesse et de bienveillance.


Lien : https://labibliothequedallys..

Bienvenue au royaume du chat de sa sainteté ou plus simplement appelé CDSS.



Une jeune chatte qui après un début de vie plutôt mouvementée, se retrouve adopté par nul autre que le Dalaï-lama.



Entre leçon de vie, exploration, découvertes plus ou moins animées, et gourmandises, la vie de notre héroïne ne va pas vous ennuyer.



Une lecture extrêmement agréable qui se lit toute seule.



Il est intéressant de suivre les pérégrinations et les pensées de ce félin au cœur même de ce qui fait l'essence du bouddhisme.



Une leçon de philosophie et d'humanisme qui font du bien.

L'histoire épique d'un chaton laissé pour mort et qui deviendra le chat du Dalaï Lama. Tout le long de ce livre ce chaton nous raconte, conte sa vie, celle de ceux qui l'entourent et plus particulièrement la vie du Dalaï Lama.

Les rencontres de stars, VIP, les voyages du Dalaï Lama, le monde entier viens au temple en quête de réponses, sérénité. Le Chat De Sa Sainteté (CDSS) va vivre au milieu de se tumulte tout en étant à l'écoute, attentif et malicieux que lui vaut son jeune âge et comblé de tendresse. Le chat est présent partout, sait se faire discret et analyse les choses avec discernement et peut en retenir des leçons. Ce livre est un partage, une ouverture d'esprit.

Il n'est pas le chat du Dalaï Lama pour rien... En lisant se livre on y trouve apaisement et ce côté malicieux que l'on peut connaitre du chat en l'observant.

Le seul bémol, c'est que la couverture du livre ne reflète pas l'aspect physique de CDSS...

Ce livre est une douceur, un bonbon. Je n’étais pourtant pas convaincue de lire le livre « d’un chat » mais j’ai aimé son histoire, sa rencontre et ses autres rencontres qui nous mènent dans la sphère privée intime du Dalaï Lama et son voisinage. Un joli voyage avec ce chat qui découvre de sagesses simples de la vie au fil de ses expériences sous le regard bienveillant Des Moines