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Citations de David Weber (420)


Les bras de la Mère défendaient la vie ; les bras de la Vieille se focalisaient sur sa fin et la dignité de son achèvement. Celles d'entre elles qui étaient soignantes servaient dans les hospices chargés d’administrer des soins aux vieillards et aux mourants. Là où l'on apportait soutien, dignité et réconfort à ceux qui glissaient dans les ombres d'Isvaria. Il fallait faire preuve d'une bravoure très particulière pour ouvrir son cœur à ceux qui allaient inéluctablement disparaître, embrasser le flux naturel de la vie et libérer le dernier scintillement de la flamme que les Bras de la Mère avaient si farouchement protégée, et Shahana n'était pas persuadée d'en avoir le courage.
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(…) mais l'admission du fait qu'aimer revenait à accepter la douleur de la perte... et que refuser d'aimer revenait à refuser de vivre.
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C'est souvent pour avoir commis les mêmes erreurs au même âge que les parents découvrent ce qu'ils doivent interdire à leurs enfants et s'efforcent de les empêcher de les répéter.
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Comment viendrez-vous à bout de l’Église ? Avec flottes et armées ?
Bien sûr que non. Votre véritable ennemi est un système de croyance, une doctrine, un mode de pensée. On ne tue pas les idées au fil de l’épée. ON ne coule pas une structure religieuse d’une bordée. On les vainc en les forçant à changer. Pour en finir avec le problème de Charis, l’Église doit résoudre une alternative très simple : soit elle refuse de changer, auquel cas elle ne pourra jamais vous battre sur le plan militaire, soit elle accepte la nécessité d’évoluer, d’adopter de nouvelles armes, de nouvelles technologies. Ensuite, elle s’avisera qu’il lui faudra aussi modifier ses croyances. Dès lors, vous aurez gagné Caleyb, car votre véritable ennemi se sera suicidé.
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Tous les politicards maléfiques et tordus de l'univers ne se baladent pas avec une enseigne au néon en disant "je suis le méchant". Et aucune règle ne les oblige non plus à avoir un physique comme celui de ce fils de pute de Haute-Crête. Il serait pratique que tous les méchants aient une tête de méchant et se conduisent en méchants, mais ce n'est le cas que dans les très mauvaises dramatiques holo. Je suis sûre que les amis intimes d'Adolf Hitler et de Rob Pierre les tenaient pour de vrais amours.
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Qu'une bande de moutons stupides entre volontairement dans une antre de loup derrière un chèvre traîtresse ne rend pas le loup moins carnivore.
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Theisman n'appréciait guère LePic, mais c'était lié au fait qu'il détestait traîner un boulet politique partout avec lui, il le savait. Il avait vu les conséquences de l'ingérence des politiciens dans les opérations militaires assez souvent sans qu'on les amène sur les lieux mêmes de l'action pour qu'ils puissent tout foutre à l'eau encore plus vite.
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Yu méprisait le peuple comme seul le peut un homme qui s'en est extrait, mais au moins les gens du peuple étaient-ils honnêtes. Des sangsues ignorantes, incultes et improductives certes, mais honnêtes.
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Du jour au lendemain, il était passé du statut de spécialiste à la pointe du progrès à celui d'aborigène émerveillé par le fait que les étranges signes tracés sur le papier blanc des missionnaires renfermait finalement un sens.
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Le panache, c'était trop souvent le dernier recours de celui qui s'était planté dans les grandes largeurs et devait trouver le moyen de sauver ses fesses de ses propres erreurs.
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On dirait que nous sommes condamnés à vivre « une époque intéressante ».
Évidemment, nous pouvons toujours nous efforcer de rendre les choses plus intéressantes pour les autres que pour nous.
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Ils devaient aussi savoir que leur précision à une telle distance se situait entre « tout à fait nulle » et « franchement minable », ce qui en faisait une distance idéale pour entamer une conversation sans que personne se fasse tirer dessus dans un camp ou dans l’autre.
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Il n’existe que deux sortes d’officiers ou de nobles. Les premiers croient que le reste du monde leur doit quelque chose à cause de ce qu’ils sont. Les seconds sentent au contraire qu’ils doivent tout au monde pour la même raison.
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Bête à ne pas savoir vider une botte pleine de pisse même si les instructions figuraient sur le talon.
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La vigilance est toutefois un état d'esprit, et quiconque cède à la négligence en un des aspects de ses devoirs n'est que trop susceptible d'y céder en tous les aspects.
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Désolé fit-il au bout d'un moment, contrit. Je ne voulais pas vous faire culpabiliser, Doug. Mettez ça sur le compte de ma façon très personnelle de me libérer de mes tensions.
Les seconds sont aussi là pour ça, pacha, tempéra Lampert. Si le maître après Dieu peut se libérer de sa tension et ainsi accroître son efficacité rien qu'en rudoyant son pauvre officier en second, alors le pauvre officier en question n'est que trop heureux de souffrir dans l'intérêt du service.
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A notre première rencontre, je l'ai pris pour une sorte de vieux fossile bon pour le musée – un spécimen du temps où les hommes marchaient appuyés sur les phalanges dans un brouillard de testostérone... quand ils ne se frappaient pas le torse en poussant des cris de triomphe.
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Le lieutenant Santino, responsable du quart, occupait le fauteuil de commandement au centre de la passerelle et offrait l'image même de l'officier spatial compétent : les avant-bras bien à plat sur les accoudoirs, les épaules fermement collées au dossier droit, la tête droite pour mettre en valeur un mâle profil, et, dans les yeux, une absence d'intelligence quasi terrifiante.
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La dernière affirmation de Dahak était absurde. Cependant, la manière dont il appréhendait des mots comme "absurde" prenait une certaine élasticité, comme sous l'effet de l'alcool.
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MacGuiness était aussi l'ami du chat sylvestre et, comme Honor, il lui manquait beaucoup. Et puis il savait exactement quelle cuisson il préférait pour le lapin.
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