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Citations de Demitria Lunetta (81)


Les films d'horreur ont tout faux. Les monstres ne peuplent pas nos nuits, ils n'attendent pas patiemment, tapis dans l'ombre, le bon moment pour surgir. Ils chassent le jour, en pleine lumière, quand la visibilité est à son maximum.
La nuit, si par miracle vous parveniez à ne faire aucun bruit, ils pourraient presque vous frôler sans même remarquer votre présence.
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Dans des endroits moins peuplés, les enfants étaient les plus à même de survivre. Les adultes les ont probablement cachés et ont fait tout leur possible pour les protéger. Et bien sûr, les enfants sont doués pour se cacher. Quand leur instinct de survie se réveille, ils savent comment ne faire aucun bruit.
- Ils croyaient aux monstres bien avant que les monstres n'arrivent, chuchotai-je.
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J'ai toujours aimé l'Histoire : on dirait des potins venus du passé .
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" Nous sommes dans le silence du ciel nocturne, entourés d'étoiles, les ténèbres du monde s'étalent sur nous."
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Ces premiers jours furent emplis de cris, qui résonnaient du matin au soir. C'était abominable, mais la véritable terreur s'installa dans mon cœur quand toutes les voix se turent, et que le monde finit par retomber dans le silence. A croire qu'il ne restait plus que moi sur cette terre. Moi... et Eux.
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C'est vrai que tu as un réel talent pour te fourrer dans les ennuis, cela dit.
- Et m'en sortir, protesté-je.
- Surtout les provoquer.
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Dès que je m'approchai d'elle, ses grands yeux noisette se tournèrent vers moi. Elle ne cria pas, elle ne sursauta pas même pas. Malgré ma discrétion, elle m'avait entendue arriver. Elle m'observa quelques secondes puis se dirigea vers moi, bras tendus. Comment cette petite chose avait-elle pu survivre tout ce temps ?
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Quand je repense à cette première expédition avec l'expérience que j'ai aujourd'hui, je sais que c'est un véritable miracle que j'aie survécu.
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De quoi il parle celui-là? Demande Baby en me tendant un livre: Orgueil et préjugés. C'est l'histoire de deux personnes qui s'aiment mais qui sont trop bêtes pour le comprendre avant la fin de l'histoire
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Il faut toujours abandonner quelques libertés pour vivre dans n'importe quelle société p.260
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Je sais que tout à l'air pourri ici, mais ça va aller. À chaque jour suffit sa peine.
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"nous devenons ce que nous somme qu’après les ténèbres"
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J'ai appris à vivre dans un monde de silence. Je n'ai pas prononcé un seul mot depuis trois ans. Ni pour commenter la météo, ni pour hurler une mise en garde, ni même pour murmurer mon propre nom.
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Je ne suis plus qu'à quelques rues de chez moi... je touche au but, à condition de savoir rester invisible et inaudible. Mais s'Ils ont vent de ma présence, je pourrais aussi bien me trouver à trois mètres de chez moi qu'à trois kilomètres : ça ne fera aucune différence.
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Ces premiers jours une fois passés, j'appris très vite à limiter autant que possible mes émissions sonores et à éteindre toutes les lampes, le soir ou par temps sombre. La nuit, Ils se cachaient, mais le moindre son, le moindre éclat de lumière Les tirait aussitôt de leur tanière. Il suffisait d'un seul petit bruit, même à peine audible pour que des silhouettes à la peau vert scintillant se jettent sur la clôture pour tenter d'en déchiqueter les maillons électrifiés.

Armée des jumelles de mon père, je Les épiais longuement, fascinée par leur apparence grotesque, leurs grondements féroces et leurs crocs acérés. Ils possédaient bien deux bras et deux jambes, mais là s'arrêtait leur ressemblance avec le genre humain. Sans aucun poil ni cheveu, Ils étaient tous de la même nuance vert-jaune. Ils ne portaient pas de vêtements, à l'exception de quelques-uns d'entre Eux, affublés de T-shirts ou de pantalons déchirés sans doute récupérés sur des morts. Un jour, j'en vis même un arborer une casquette de baseball sale aux couleurs des Cubs de Chicago - quel fou rire j'ai eu ! Dans l'Après, mon sens de l'humour était devenu un peu tordu, il faut croire.
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Il avait le crâne rasé. Au moins, il n'était pas du genre à rabattre son unique mèche pour couvrir sa calvitie. Cette idée me fit sourire.
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J'étais aussi pétrifiée de terreur que fascinée par sa sauvagerie.
- Comment, mais comment avez-vous pu nous détruire, bêtes comme vous êtes ? hurlai-je.
Au son de ma voix, qui sonnait dans l'air du soir pour la première fois depuis longtemps, il se jeta avec une ardeur décuplée contre la palissade électrifiée.
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Je remonte la rue déserte puis je m'arrête, muscles tendus, prête à l'action. Les herbes folles bruissent dans le vent. J'incline la tête. Je Les guette.
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New Hope dissimulait tous ses mauvais côtés aux citoyens. Fort Black les expose tous au grand jour et laisse les hommes s'en délecter.
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Il sourit.
- Comment va ton épaule ?
- Bien. (Même si j'ai encore mal, je ne veux pas qu'il me prenne pour une fille douillette.) La prochaine fois, je me ferai peut-être tatouer tout le bras, comme toi.
Il fait jouer ses biceps et contemple son oeuvre.
- Tu es sûre, Amy ? C'est plutôt hardcore. Tu ne préférerais pas un joli petit papillon sur la cheville, un truc comme ça ?
Je secoue la tête. Peut-être que oui, à un moment, si le monde était resté tel qu'il était. Si j'étais allée à l'université et que j'avais voulu me faire tatouer pour jouer les rebelles.
- Est-ce que j'ai vraiment l'air d'une fille qui aime les papillons ? Je veux une licorne... ou alors des caractères chinois qui sont censés vouloir dire "sérénité" ou "paix" mais qui en réalité signifient "poulet aigre-doux".
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