Nationalité : France
Né(e) le : 30/06/1948
Né(e) le : 30/06/1948
Biographie :
Didier Fourmy est un journaliste et auteur.
Il fut l'un des premiers attachés de presse masculin dans l'univers typiquement féminin de la beauté.
Passant par la suite de l'autre côté de la barrière, il a travaillé 10 ans dans la presse féminine ("Marie-Claire", "Cosmopolitan"...) avant de revenir à son premier métier.
Après avoir été Directeur de la Communication de grandes marques, il a dirigé depuis 1988 son propre bureau de presse, à connotation 100% beauté, gérant les relations presse de prestigieuses sociétés de parfums et cosmétiques.
Didier Fourmy se consacre aujourd'hui totalement à l'écriture.
Il est co-auteur, avec Evelyne Vermorel, de "Beauté d'enfer", roman paru en 2006.
Après le succès de son livre "Les pétillantes" (Hugo roman, 2014) vendu à plus de 30.000 exemplaires, Didier Fourmy récidive en publiant la suite, en 2015.
Il a tiré de son expérience professionnelle dans la presse féminine de précieuses confidences qui lui ont permis d'écrire la série.
page Facebook : https://www.facebook.com/people/Didier-Fourmy/100009401544587
+ Voir plusDidier Fourmy est un journaliste et auteur.
Il fut l'un des premiers attachés de presse masculin dans l'univers typiquement féminin de la beauté.
Passant par la suite de l'autre côté de la barrière, il a travaillé 10 ans dans la presse féminine ("Marie-Claire", "Cosmopolitan"...) avant de revenir à son premier métier.
Après avoir été Directeur de la Communication de grandes marques, il a dirigé depuis 1988 son propre bureau de presse, à connotation 100% beauté, gérant les relations presse de prestigieuses sociétés de parfums et cosmétiques.
Didier Fourmy se consacre aujourd'hui totalement à l'écriture.
Il est co-auteur, avec Evelyne Vermorel, de "Beauté d'enfer", roman paru en 2006.
Après le succès de son livre "Les pétillantes" (Hugo roman, 2014) vendu à plus de 30.000 exemplaires, Didier Fourmy récidive en publiant la suite, en 2015.
Il a tiré de son expérience professionnelle dans la presse féminine de précieuses confidences qui lui ont permis d'écrire la série.
page Facebook : https://www.facebook.com/people/Didier-Fourmy/100009401544587
Source : amazon
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S'il existe des "feel-good movies" , y a t'il un terme pour les romans qui mettent de bonne humeur , ceux qui sont légers et qui laissent naître un sourire à chaque page ? Ce bouquin est ce ceux là , n'en déplaise aux intégristes de la littérature qui parlent de bien bien-pensance ou de style facile . Je suis heureuse d'avoir lu ce roman et vais attendre avec impatience la parution en poche de la saison deux .
- Que des beaux culs ! s'exclama Souris.
Patrice, très amusé par cette conversation, se hasarda à demander :
- Ne me dites pas que vous aimez regarder les fesses des matadors ?
- On ne fait pas que les regarder, on les note, répondit Bridgette en riant.
- Vous les...notez ?
- C'est bien connu que les femmes aiment reluquer le cul des mecs. En tout cas, moi j'adore !
Patrice, très amusé par cette conversation, se hasarda à demander :
- Ne me dites pas que vous aimez regarder les fesses des matadors ?
- On ne fait pas que les regarder, on les note, répondit Bridgette en riant.
- Vous les...notez ?
- C'est bien connu que les femmes aiment reluquer le cul des mecs. En tout cas, moi j'adore !
... depuis que nous sommes arrivés dans cette maison, il y a comme un vent de... franchise, de... libération, de... bilan de nos vies ! Toi-même, tu t'es racontée devant ces femmes sans retenue, sans tabou. Jamais je ne t'ai entendue livrer autant de détails sur ta vie. (p.232)
l'idée de départ est excellente... seulement quel dommage que l'écriture de ce livre soit si mal menée!
Le ton se veut humoristique, tellement qu'il rate son but et qu'il en devient vite lassant.
Les dialogues sont surfaits.
quelques descriptions à la limite du racisme.
Je me suis arrêtée au milieu de livre car j'en avais assez, puis je l'ai repris un peu plus tard pour en connaître le dénouement, mais j'ai zappé intentionnellement plein de passages qui m'ont parus surfaits et sans intérêt
Je ne lirais pas le tome 2 c'est clair!
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Le ton se veut humoristique, tellement qu'il rate son but et qu'il en devient vite lassant.
Les dialogues sont surfaits.
quelques descriptions à la limite du racisme.
Je me suis arrêtée au milieu de livre car j'en avais assez, puis je l'ai repris un peu plus tard pour en connaître le dénouement, mais j'ai zappé intentionnellement plein de passages qui m'ont parus surfaits et sans intérêt
Je ne lirais pas le tome 2 c'est clair!
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La jeune veuve est cataloguée inconsolable, donc inoffensive ! Tandis qu'une jeune divorcée, on s'en méfie, elle pourrait devenir dangereuse pour la paix des ménages… alors on l'écarte, on ne l'invite plus… elle devient presque une pestiférée ! (p.50)
"on ne refait pas sa vie, on la continue"
Ça fait presque un demi-siècle que nous sommes mariés. Mais depuis qu’il est à la retraite, ce qu’il a très mal supporté, et ça fait déjà plusieurs années, il s’est muré dans un mutisme effrayant. Il était dans la finance et voyait, je crois, beaucoup de monde, mais je n’ai jamais vraiment compris ce qu’il faisait exactement. Il a d’abord été accro à la télé, puis aux sudokus et enfin aux mots fléchés. Vous me direz que ce n’est pas si mal d’avoir encore un mari, même si il est plus muet qu’une carpe…
"On aide les animaux condamnés à mourir dignement, sans souffrir. Et, au contraire, on instaure un acharnement thérapeutique pour les humains, c'est dégueulasse..."
Les animaux sont comme les enfants, ils ressentent les mêmes émotions, ils ont eux aussi des pensées et des désirs ; s'il ne leur manque que la parole pour vous dire "encore" ou "ça suffit", ou tu "m'emmerdes", faites toujours attention à leur posture et à leur regard, c'est souvent plus explicite qu'un aboiement ou qu'un miaulement. Même silencieux, ils sont bavards.
Nous ne pensions pas à notre propre douleur, et nos mains sont restées sur les deux bosses naissantes tandis que nous continuions à nous regarder dans les yeux ! Dans ces cas-là, on dit que l’on voit trente-six chandelles, mais nous nous avons vu des milliers d’étoiles, c’était magique ! Oui, on peut appeler ça un coup de foudre, mais il n’y avait pas de tonnerre, au contraire, nous avons entendu, tous les deux, les mêmes cent un violons se déchaîner ! Oui, tout à fait comme au cinéma, ça vous fait sourire ? Pourtant ces quelques secondes ont suffi à nous faire comprendre que nous étions en pleine communion, il y avait réellement de l’amour dans nos gestes et dans nos regards ! Et non, il n’y a pas d’âge ! Q
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