AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Dominique Loreau (209)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


L'art de l'essentiel

3ème lecture de ce guide du désencombrement, du bonheur par le vide et de la zénitude... L'offre éditoriale exponentielle sur le minimalisme et ses variantes qui tente d'enrayer le tsunami consumériste en nous donnant bonne conscience pour le prix d'achat d'un livre de poche, rend cet ouvrage daté tant chaque auteur y va désormais de la sienne en ajoutant sa touche personnelle, pour nous expliquer ce qui devrait être un comportement responsable à savoir ne pas utiliser ou prélever plus que nécessaire, un peu à la frugale manière amish. Ce qui me plaît dans L'art de l'essentiel de Dominique Loreau, est justement ce rappel des fondamentaux, et ces conseils basiques de bon sens, vertu manquant à un grand nombre d'entre nous.





Jeter semble d'emblée facile, alors pourquoi si peu de personnes en sont-elles capables ? Pourquoi nous accrochons-nous à des objets qui ne représentent que ce que nous aimerions être ou ce que nous avons été, nous claquemurant dans un passé mort ou dans un avenir potentiel alors que nous oublions de vivre dans le présent ?





Bref, à certains carrefours où plusieurs directions mal éclairées s'offrent, à des moments douloureux où la vie nous somme de choisir, il est nécessaire de se demander qui l'on est, comment l'on désire évoluer, et, question ultime peut-être, ce que l'on désire garder ou jeter ; il est utile aussi de voir écrit noir sur blanc que l'accumulation de biens matériels n'a aucun sens, et que l'on ne commet pas un sacrilège si l'on décide de s'en débarrasser. Rappel salutaire.

Commenter  J’apprécie          10
L'art de la délicatesse

Ce livre que j'ai lu et relu est un éloge de la beauté, un éloge des esthètes et de la simplicité amenée à son paroxisme. Ce livre s'adresse directement à notre âme, la touche et la métamorphose, il change notre regard sur la vie, la nature et nous-même, donne du sens, (c'est si rare, un livre qui donne du sens) ; il annihile l'enlisement du quotidien et ce sentiment de fatigue, de non-vie, d'ennui répétitif que nous ressentons parfois. Ce livre nous apprends à déceler la beauté dans chaque petite chose, dans la mousse sur les pierres à l'entrée d'une maison, dans un service à thé ébréché, dans le vide matériel qui permet une richesse fabuleuse intérieure. Il nous montre des chemins vers l'accomplissement et le bonheur, vers mille et une façons d'amener la beauté et une heureuse sérénité en nous et autour de nous.

Commenter  J’apprécie          10
L'art de la délicatesse

Bonjour à tous,

en fait le livre m'a bien inspiré, m'a fait relouanger Dieu pour toute petite chose que j'aie dans ma vie! le luxe ce n'est pas de l'argent, c'est le contentement.

Reconnaissante pour ce précieux livre!

Commenter  J’apprécie          00
L'art de la délicatesse

Dominique Loreau est connue dans le monde des « maitres de l’organisation » notamment grâce à ses « Kakebo », des petits livres édités pour tenir ses comptes et son livre « l’art de la simplicité ». Un jour de nouvel an foireux, j’avais pris la bonne résolution d’être organisée, j’avais cherché LA méthode miracle (c’était en 2016 et j’ai toujours pas trouvé 😉) et j’avais retenu ce nom… Je suis tombée récemment sur ce livre dans la bibliothèque d’une amie et poussée par la curiosité, je l’ai ouvert.



L’art de la délicatesse… ou l’art du luxe. Oui, je m’attendais bêtement à lire un petit essai sur le plaisir de sentir une rose, d’admirer ses pétales ou des conseils sur comment bien profiter de son petit café tranquilou sans mari/enfant/chat/téléphone pour rompre ce délicat moment de grâce et de solitude qui n’avait commencé que trois secondes auparavant.



Je ne vais pas être très sympa (parce qu’il y a tout de même des idées pas chères dans le bouquin) mais Dominique Loreau tourne en rond sur sa propre idée du luxe, qui va de profiter d’une matinée d’oisiveté à Marylebone (à Londres) à prendre le Shinkansen la clope au bec et le saké à portée de main, en passant par s’offrir un porte-monnaie Hermès ou un manteau luxueux sur un coup de tête. Une amie à elle, artiste désargentée selon ses propres mots, s’offre tous les printemps quelques semaines de vacances en Sicile. Du coup je me demande : vous avez vu passer des postes « d’artiste désargentée » sur Pole Emploi ? parce que j’enverrais bien mon CV !



Bref, je ne nie pas que l’idée de départ du bouquin est intéressante : s’alléger matériellement, acheter de qualité, se contenter de peu, etc… mais si au début j’ai été un peu intéressée, je me suis ensuite demandée ou était cette frugalité tant vantée quand on voyage tout le temps en avion long-courrier, qu’on va manger au restaurant souvent ? Effectivement, être minimaliste est plus facile à vivre avec la perspective de grands voyages, de week-ends dépaysants et d’expos toutes plus fascinantes les unes que les autres mais n’est-ce pas une autre forme de consommation (bien plus polluante qui plus est !) ? Ah non Madame s’en défend, elle n’est pas une vulgaire touriste qui s’offre « une croisière discount sur la Méditerranée », madame est une voyageuse ! La différence ? La voyageuse a un but, qui, apprend-t-on en lisant le livre, est de découvrir quelque chose qu’on ne verrait pas ailleurs. Ah oui ça rend ses lettres de noblesses au Voyage ça, loin des gueux et de leur caravane/claquettes/pastaga.



Pas du tout convaincue par ce petit ouvrage…

Commenter  J’apprécie          70
L'art de la délicatesse

J'avais adoré L'art de la simplicité.

J'ai été fort déçue par L'art de la délicatesse, qui est pour moi un condensé des autres livres de Dominique Loreau, mais en beaucoup moins subtil. Où sont passés "philosophie", "esprit du zen japonais" ?



L'écriture n'est pas un grand sac fourre-tout...
Commenter  J’apprécie          90
L'art de la frugalité et de la volupté

Fini les agapes, les excès, le Champagne et le foie gras, c’est le temps des résolutions, je vous avais promis un livre pour les lendemains de fête : le voilà (Dominique la bloggeuse qui se préoccupe de votre santé)

On mange trop, voilà le premier constat, la source de beaucoup de nos maux, d’accord mais alors un régime ? triste triste vous en conviendrez, alors partons avec Dominique Loreau au pays de Frugalité et Volupté.



Son livre est bourré (sans faire grossir pour autant) de conseils, trucs et astuces pour manger ...moins et mieux.

Toujours inspirée par le Japon, l’auteur nous propose sa sagesse orientale propre à vous réconcilier avec votre corps et on est plus proche dans ce livre d’un art de bien vivre que de recettes pour perdre du poids.

Quelques titres pour vous appâter

Comment faire des petites portions un mode de vie

Eloge des petites tailles : vaisselle, tables ...

Se contenter de demi-mesures et compter ce qui fait son bonheur

Se sentir vivre

C'est l'occasion de découvrir l’art du o bento (des recettes et du matériel)

Certains sont des conseils très connus donc là je passe mais ...d’autres le sont moins : se simplifier la vie, préparer de petites portions ( ça me va bien moi qui suis incapable de trouver la bonne quantité et qui ensuite pense : oh allez il faut le finir ! )

La mode du o bento rend bien service pour s’obliger à réduire les quantités et pourquoi ne pas s’en servir tous les jours et pour tous les repas et pas seulement pour emporter au travail. Vous pourrez aller piocher dans les recettes Lunch Box qui sont très appropriées.
Lien : http://asautsetagambades.hau..
Commenter  J’apprécie          80
L'art de la frugalité et de la volupté

Ce livre nous apprend à manger simplement en savourant et en présentant les aliments de façon agréable. Bon une fois qu'on a compris le principe, le livre tire en longueur... on tourne un peu en rond.
Commenter  J’apprécie          00
L'art de la frugalité et de la volupté

J'ai lu ce livre un peu par hasard, en me disant «  si j'apprenais à manger correctement, à prendre de bonnes habitudes, ça ne pourrait pas me faire de mal ». Effectivement, j'ai trouvé quelques astuces intéressantes.

L'auteur, installée depuis longtemps au Japon, rappelle des idées simples concernant l'alimentation : apprendre à reconnaître la sensation de satiété, apprendre à arrêter de manger lorsqu'on a plus faim, même si le repas continue, apprendre à faire de petites portions pour manger un peu de tout. Très inspirée des traditions japonaises, l'auteur explique comment réapprendre à manger. Il ne s'agit pas d'un régime, au contraire, elle nous incite à découvrir de nouvelles saveurs (asiatiques pour la plupart), mais aussi, en mangeant avec plus de raison, se faire plaisir d'une autre manière.

Découpé en petits paragraphes bien ciblés, le texte aborde de nombreux sujets : les o-bento, l'alcool, les fêtes avec buffet, quelles épices avoir dans sa cuisine, de multiples solutions pour vivre mieux et pour que manger soit un plaisir sans arrière pensée. Et très pratique, le livre se finit par quelques recettes de légumes, soupes, desserts, sauces, sandwich, petits snack, etc.

En revanche, j'ai trouvé qu'il manquait des questions/réponses. En lisant, je me suis posées de nombreuses questions, qui resteront sans réponse, par exemple : que conseille-t-elle aux femmes acros aux régimes, ou ayant de plus graves troubles du comportement alimentaire ? Car avec sa philosophie de manger peu, on peut vite tomber dans le trop peu et aggraver une situation...

Sinon, je le conseille, il est petit, facile à lire et pratique même pour retourner lire certains passages ou les recettes !


Lien : http://girlkissedbyfire.word..
Commenter  J’apprécie          20
L'art de la frugalité et de la volupté

Dominique Loreau vit depuis plusieurs années au Japon et tient à faire part à nous autres Occidentales oscillant entre malbouffe ou régimes à gogo de la sagesse qu'elle tire de son séjour nippon.



Elle insiste sur la notion de quantité, sur la qualité des ingrédients et des contenants. Il importe en effet de ne pas négliger le côté esthétique des plats, bols, etc et de leur contenu. Une salade de tomates dans un bol rouge n'est pas mise en valeur, alors que dans un bol blanc ou céladon, c'est tout de suite plus agréable à l'oeil.



Toujours concernant les contenants, elle porte notre attention sur leur taille. Une portion normale dans une très grande assiette laisse une sensation optique de faim alors que la même portion dans un récipient plus petit rassasie.



Finalement tout n'est qu'une question de bon sens et de sensibilité à une certaine esthétique culinaire (du quotidien, s'entend, inutile d'acquérir porcelaine précieuse ou autre boîte laquée).

Outre que j'ai souvent eu l'impression d'enfoncer des portes ouvertes, le style de Dominique Loreau m'a hérissé le poil tout du long. Je lui ai trouvé souvent un côté poseuse et donneuse de leçons qui tape très vite sur le système. En tout cas sur le mien.



Lorsqu'on m'a offert son Art de la simplicité, je me suis lancée dans sa lecture... Ce que je ne réitèrerai certainement pas. Ce genre d'ouvrages est sensé nous positiver et nous faire du bien... pas coller 20 de tension à chaque page.
Commenter  J’apprécie          270
L'art de la frugalité et de la volupté

Une véritable horreur. Accumulation de poncifs plus faux les uns que les autres. J'ai l'impression d'entendre les conseils de ma grand-mère "mange sainement et fais une cure de jus de poireaux". Elle rabâche à tort et à travers que nos estomacs d'occidentaux obèses sont distendus (spoiler alerte, l'estomac est un muscle qui reprend sa taille d'origine une fois le bol alimentaire passé dans l'intestin grêle c'est à dire peu ou prou 30min, un peu de Wikipedia nr lui ferait pas de mal). Elle nous recommande donc de nous affamer, surtout les femmes à qui on devrait servir de plus petites portions (sexisme et médecine de comptoir ne font pas bon ménage). Elle diabolise les aliments (oh le méchant gras, le méchant sucre qui leurrent votre esprit) elle conseille de réduire les portions en mangeant dans de petites assiettes. Conseil de médecin : il est important de manger à sa faim et selon son métabolisme pas son genre ou son tour de taille.



Elle explique que les "douceurs" ne font qu'alourdir le corps et que celui-ci une fois passé par la case redressement refusera de lui-même de s'intoxiquer.



Du Japon elle n'a visiblement gardé que l'extrême grossophobie latente de la culture nippone. Elle balaie d'un geste de la main le passé et le passif de l'histoire de l'alimentation selon les cultures, les genres et j'en passe.



Ce torchon ne servira qu'à déclencher des TCA à ceux qui cherchent une réponse. Elle dit "stop aux régimes oui à l'auto limitation" la reine de la périphrase.



Une chose est sûr, ce truc m'a donné la nausée et il terminera sa vie avec tous les déchets de cuisine : au fond d'une poubelle.
Commenter  J’apprécie          10
L'art de la frugalité et de la volupté

J'ai trouvé ce livre très intéressant mais l'art de la frugalité n'est pas encore pour moi. Je suis certainement trop excessif avec modération bien sur!
Commenter  J’apprécie          10
L'art de la frugalité et de la volupté

*lève les yeux au ciel*



Pour ceux qui ont une forte volonté (ce qui n'est pas mon cas).
Commenter  J’apprécie          30
L'art de la frugalité et de la volupté

J'aime beaucoup les livres de cette auteure qui vulgarise des principes orientaux, en l’occurrence japonais, et apporte cette touche de spiritualité, de sérénité et de mesure dans toute chose.

Ce livre prépare la voie à la redécouverte des sensations alimentaires (faim et satiété), propose quelques astuces pour retrouver la taille de son estomac, réduire les portions par le choix des contenants (assiettes ou bento par exemple), des produits et des mesures.

Il apporte aussi cette dimension de respect de soi par quelques voies de bien-être de son corps et du reste. Il offre aussi, après cet acte de frugalité, une vision plus active de la volupté comme acte du quotidien.

Malgré ses apports, je trouve le livre assez exigeant, presque culpabilisant en fait. La contrainte de certaines astuces s'apparente tout de même à une restriction cognitive proche d'un régime, plus spirituel c'est vrai mais tout de même.
Commenter  J’apprécie          40
L'art de la frugalité et de la volupté

Un livre concis et clair qui donne beaucoup de "trucs" pour s'installer dans la frugalité. Manger mieux et moins mais de meilleure qualité. Des recettes, des guides. Un excellent guide.

Commenter  J’apprécie          00
L'art de la frugalité et de la volupté

L'art de l'épure à la japonaise dans le domaine de l'alimentation.

Lecture assez plaisante mais sans grande originalité.
Commenter  J’apprécie          120
L'art de la simplicité : la maison

Comment se sentir bien dans sa peau? En vivant dans la simplicité. L'auteur s'inspire des préceptes de l'art de vivre japonnais pour nous proposer les clés d'une existence minimaliste.



J'ai néanmoins été assez déçue par ce livre qui est trop directif à mon gout. Il s'agit en fait de généralités accompagnées d'une liste de conseil. Le livre survole l'art de vivre zen sans vraiment l'analyser.



De plus, je ne suis pas d'accord avec tout. L'auteur dit par exemple de se débarrasser de tous les vieux meubles. Mois je trouve que les vieux meubles ont une histoire à raconter et je ne les considère pas comme inutiles. Pour moi un beau meuble en bois avec toute son histoire dans une pièce blanche est superbe. Mais tout est question de goût.
Commenter  J’apprécie          30
L'art de la simplicité : le corps

Dans ce livre les illustrations sont aussi importantes que le texte, particulièrement dans cet opus consacré au corps. Pour les personnes trop "intellectuelles" ce petit ouvrage donne beaucoup d'astuces concrètes pour prendre bien soin de son corps. Je vous le conseille.
Commenter  J’apprécie          00
L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

En cette période de confinement, ce livre positif et cocooning m’a fait beaucoup de bien.



Comme toujours, Dominique Loreau excelle dans l’art du minimalisme et du bien-être.

Dans ce livre, elle démontre avec adresse les excès néfastes du matérialisme et l’avantage de vivre avec moins.

Le mode de vie des japonais est mis en avant à de multiples reprises, notamment le fait de posséder peu de belles choses et bien les harmoniser.



L’auteure évoque longuement la nécessité de prendre soin de son corps, de son visage, de ses cheveux, de ses ongles... en énonçant quelques préceptes pour réaliser soi-même des soins.

Le rituel du bain, le brossage du corps, le yoga, les bienfaits du jeûne... de nombreux conseils sont prodigués, principalement sur l’alimentation et le choix des cosmétiques.

Elle évoque également les principes zen et la cérémonie du thé.



L’aspect mental est un des points majeur de la réflexion de l’auteure.

J’ai aimé l’idée de programmer notre mental en visualisant la meilleure projection que l’on peut faire de nous-mêmes.

Une liste de plusieurs mantras aide le lecteur à mettre en pratique les conseils.

Dominique Loreau aborde également un sujet qui lui tient à cœur, celui des bienfaits de l’écriture.



Cet essai peut être feuilleté régulièrement grâce au sommaire détaillé qui permet de se rendre à un chapitre bien précis.

Par contre, quitte à me répéter, je trouve dommage que ce genre d’ouvrages soit uniquement adressé aux femmes. Pourtant, nombreux sont les hommes qui prennent soin d’eux tout en songeant à une vie plus simple loin de la société consumériste.



Je ne suis pas toujours d’accord avec les idées de l’auteure, comme par exemple lorsqu’elle parle du « rituel des fleurs », qui consiste à s’offrir soi-même un bouquet de fleurs une fois par semaine. Celles-ci sont soit-disant « indispensables à notre bien-être ». Personnellement, je préfère les voir dans la nature plutôt que dans un vase en train de faner.

Je trouve qu’il y a aussi parfois quelques légères contradictions comme lorsqu’il est dit :

« Ne possédez presque rien matériellement, et assurez-vous que tout ce que vous avez est absolument nécessaire et pratique à l’usage. Souvenez-vous que le poids, c’est l’ennemi, autant pour la santé que pour les choses. »

Après cela, l’auteure prône l’idée d’une garde robe idéale où l’on range à part les vêtements hors saison.

De mon côté, cette idée me ferait plutôt penser aux garde-robes capsules. Mais ce n’est que mon ressenti personnel.



Dans l’ensemble, c’est un ouvrage rempli de bons conseils pour s’alléger l’esprit tout en prenant soin de soi.

À lire.
Commenter  J’apprécie          624
L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

J'ai lu ce livre acheté à sa sortie en 2005, il m'a tellement marqué, que depuis je l'ai racheté en plusieurs exemplaires afin de l'offrir autour de moi. C'est un livre à garder sur la table de chevet pour le consulter de temps en temps histoire de se rafraîchir la mémoire. Non seulement il est plein de bonnes idées pratiques mais c'est aussi un guide pour une autre philosophie de vie. Il faut juste être prêt pour celle-ci.
Commenter  J’apprécie          70
L'art de la simplicité : Simplifier la vie c'..

Ce livre est à mille lieues de ce que son titre m'annonçait... La "simplicité" de l'autrice est bien loin de mes préoccupations. Déjà, il faut savoir que ce livre s'adresse aux femmes, et que presque toutes les phrases sont à l'impératif. Aux femmes oisives, citadines, sans enfants, et ayant des moyens financiers devrais-je ajouter. Injonctions à être belle en toute circonstance, à souffrir en silence, à rester mince, à laver ses torchons (tous les soirs à l'eau de javel p115)... La maison doit être décorée de noir, blanc et gris, de même que la garde robe, grande obsession pour le maquillage et les objets de luxe... J'y ai tout de même puisé quelques idées, telle que le brossage pour le corps, le fait de manger dans un bol en bois qui me plaît, ou la maison comme "antistress de la ville". Mais globalement si je suis d'accord sur le fond (acheter peu d'objets mais de qualité, vivre sobrement), la forme m'a déplu. Je l'ai trouvée également très contradictoire d'une page à l'autre, et son idéalisation du Japon est lassante.

Quelques mots piochés :

"Le style, c'est ce qui habille la pensée. Plus une femme vieillit, plus elle devrait épurer son style... C'est aussi vrai pour une femme, une photo, un plancher..., une table basse... " P63.

"Tout sac intelligemment conçu comporte un compartiment individuel pour le poudrier" p 77

"... De bons fauteuils de cuir, un plaid en cachemire, des verres à eau en cristal,..." P107

"Une femme devrait avoir ses ongles peints jusqu'à 90 ans" p131

"Veillez à vos rictus et à vos manies" p134

"Vos ongles vous classent ou vous déclassent" p152

"Grossir c'est mourir un peu" p173

"Apprenez à sélectionner vos pensées. Choisissez d'être aimable, joyeuse, aimante et le monde vous le rendra" p230

"Aider les pauvres ? C'est notre société qui est pauvre."p264
Commenter  J’apprécie          72




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Dominique Loreau (1788)Voir plus

Quiz Voir plus

Amour toujours...

"Conter fleurette" signifie...

Parler aux végétaux
Courtiser une personne aimée
Adorer la crème fraîche

10 questions
247 lecteurs ont répondu
Thèmes : amour , saint valentin , expressions , langue françaiseCréer un quiz sur cet auteur

{* *}