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Citations de Douglas Kennedy (2615)


Ils vont mourir, et pas nous, parce que mon père a dit qu’on va installer un immense bouclier dans le ciel au-dessus de l’Amérique, et alors tous les missiles russes seront bloqués par lui.
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C’était, à un âge précoce, l’apprentissage de la nature insaisissable de ce qui vous charme et vous envoûte.
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— Oui, mais c’est nous qui avons la main.
— Dans une crise nucléaire, personne ne l’a.
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Quand sa carrière rêvée n’a plus été qu’un lambeau de souvenir même pas vécu, le thème du regret est devenu sa rengaine et, dans ces moments qui s’embrumaient dès le quatrième martini, il paraissait partir complètement à la dérive, dépourvu du lest qui aurait pu lui permettre de maintenir le cap.
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ELLE A ÉTÉ LA PREMIÈRE FILLE que j’aie regardée pour de bon. Il y en avait d’autres dans ma classe, mais elle, c’était différent. Elle m’a fait tourner la tête. Ma tête de garçon de sept ans.
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Oui, c'est ainsi que des vies entières se définissent, à partir d'un incident dans un snack d'étudiants, sur la base d'un besoin éperdu de certitude...
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C'est ça les parents : ils peuvent disparaitre physiquement de votre vie, sans même vous laisser une image précise d'eux-mêmes, néanmoins vous ne vous libérez jamais d'eux. L'héritage essentiel qu'ils vous laissent, c'est cette permanence indiscutable. Et, malgré tous vos efforts pour vous dégager d'eux, ils ne lâchent jamais prise.
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Si les psys proclament qu'il est toujours préférable de "dire les choses", je crois que c'est un leurre. Parler revient seulement à formuler le mal qui vous ronge, non à l'expulser. Ce n'est pas comme de vomir un repas indigeste, une réaction naturelle qui vous laisse purgé, lavé et prêt à vous remettre à table. Tout ce que l'on peut penser, après s'être confié, c'est : "Voilà, je l'ai dit et...rien n'a changé."
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Au fond, n'était-ce pas cela, le bonheur? Une parenthèse pendant laquelle, sans penser au passé ou à l'avenir, on arrive à s'enfuir de soi-même ? Plus de réminiscences venant vous hanter, plus d'appréhensions qui ruinent votre sommeil; juste la redécouverte que l'instant présent est merveilleux ...
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Je ne comprenais pas comment j'avais pu partager avec un inconnu l'idée qui me déstabilisait depuis des jours, des mois, des années : la conscience de ma déchirante solitude.
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S'il est facile d'observer depuis le banc de touche et de prodiguer des conseils, la vérité impose de reconnaître qu'il n'y a pas de solution miracle et universelle aux coups que la vie nous porte.
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L'excès de modestie... également appelé l'art discret de l'humilité exagéré.
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C'était étonnant, la facilité avec laquelle nous échangions nos réflexions, comme si nous étions presque toujours à l'unisson.
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C'est ainsi que j'avais été élevée. Se plaindre était une faute de goût, un aveu de faiblesse.
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La vérité, c'est que nous avons tous bien plus de possibilités que ce que nous croyons, ou que nous sommes prêts à reconnaître.
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Dan était profondément endormi, l'oreiller serré dans ses bras avec une force qui m'a fait penser qu'il s'accrochait inconsciemment à une bouée nocturne dans la tempête de son existence.
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Il n'y a pas de solution à la condition humaine, juste une pagaille épouvantable.
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La seule chose qui a changé dans ta vie, c'est que tu as désormais une souffrance de plus à porter.
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Si seulement il ne s'était agi que d'une fantaisie romantique, d'une simple tocade... Mais non, cela avait été la rencontre déterminante que j'avais attendue en silence et en secret, le grand amour dont j'avais tant rêvé. Avoir touché du doigt la possibilité, sublime, d'une nouvelle vie, m'être convaincue que là se trouvait mon véritable avenir, et puis voir tout ce magnifique édifice s'écrouler alors même qu'il semblait tellement solide...
...
Non, il n'y avait pas de place pour la colère, seulement pour la souffrance.
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L'espoir était mort.
Et moi, j'étais désormais une morte vivante, soudain privée du souffle inspirateur, de ce bonheur promis qui venait à nouveau de m'être refusé.
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