Citations de E.L. Todd (518)
Les dragons étaient des êtres sages et puissants. Ils se méfiaient des humains qui mirent le pied sur leur terre, et ils les surveillèrent attentivement pour s’assurer qu’ils ne représentaient pas un danger.
Et tu es belle sans être vaniteuse. Mais ces qualités ne signifient pas grand-chose si tu ne t’en sers pas. Épouse un homme bien et fais le sacrifice. Tu pourras continuer à faire tout ce que tu aimes sans regret. Je sais que tu as écouté mes conseils dans le passé, alors écoute-les aujourd’hui aussi.
Le mariage la répugnait. Être légalement liée à un homme qu’elle n’aimait pas serait une torture.
Les règles de la société ne sont pas des lois. Ce sont des opinions. Et j’ai la mienne.
Les armes étaient sa seule passion. Façonner le métal et amener les forges à la bonne température lui donnait le sentiment d’être vivante. L’amour, le mariage et les bébés… ce n’était tout simplement pas son truc.
Je ne suis pas ton chou. On m’a donné un nom pour une bonne raison, alors utilise-le.
L’argent avilit les gens, et finit par détruire leur vie au lieu de l’embellir. C’est la mère de tous les vices, si tu veux mon avis. Alors, je ne veux honnêtement rien avoir à faire avec le sien.
Elle savait qu’elle voulait être avec moi, quitter sa zone de confort avec Charlie et commencer une vie avec moi. C’était comme vivre dans un rêve, aimer la seule femme que l’on voulait et en être aimé en retour.
Quand j’ai dit que je voulais que tu sois ma femme, j’étais sérieux. Je ne veux pas que ma femme soit en danger. Et je veux des enfants avec toi. On n’en a pas encore parlé, et je sais qu’il est encore tôt pour ça, mais c’est ce que je veux. Alors…
Elle était la femme que je voulais plus que tout au monde, et mon argent ne signifiait rien pour elle. Je ne craignais plus que le passé se répète. Tout ce que je voulais, c’était être heureux, et elle me rendait vraiment heureux. Je n’étais pas prêt au début, mais aujourd’hui, j’étais prêt pour une histoire sérieuse.
Certes, elle est butée, mais elle est aussi réaliste. Et je sais à quel point elle t’aime, alors si tu t’engages envers elle, je suis sûre qu’elle réévaluera ses choix. Qui renoncerait à l’amour de sa vie pour poursuivre un métier dangereux ?
J’avais refermé le chapitre de ma vie de playboy et je m’étais transformé en un homme monogame et engagé — très facilement. Mon passé ne me manquait pas du tout. Il n’était fait que de fric et de solitude. Si je voulais que mes amis pleins aux as rencontrent Carson, c’était pour qu’ils comprennent pourquoi je déclinais leurs invitations à faire la fête. Au lieu de me faire chier avec ça, ils verraient que c’était une fille géniale et respecteraient mon choix.
Quand on a aimé quelqu’un, on l’aime pour la vie. Et si on ne l’aime pas, c’est qu’on ne l’a jamais aimé. Tu sais très bien ce qui s’applique à nous.
Un homme va entrer dans ta vie, et il n’arrivera pas à croire le trésor qu’il a trouvé. Il baisera le sol que tu foules, t’aimera comme je ne l’ai jamais fait. Tu seras l’amour de sa vie. Je suis désolé que ce ne soit pas moi, mais celui qui me remplacera sera bien meilleur.
Nous n’avions pas encore parlé de l’avenir, mais l’entendre l’admettre de façon aussi candide qu’il voulait passer sa vie avec moi, qu’il n’avait pas peur de s’engager et qu’il voulait une famille… m’a profondément touchée.
Je sais ce que les hommes riches et séduisants font de leur temps libre, alors je ne suis pas surprise. Et je sais que c’est différent entre toi et moi, alors ton passé n’a pas d’importance à mes yeux.
Si tu ne peux pas gérer, il n’y a rien de honteux dans le fait de battre en retraite.
Je ne vivrais jamais avec ce genre de honte, de lâcheté sur la conscience. J’avais dû faire mes preuves pour obtenir ce poste au journal, et je n’allais pas foutre en l’air ma carrière maintenant.
Quand des méchants s’en prenaient à d’autres méchants, ça n’avait rien de personnel. Mais dans ce cas-ci, l’entreprise s’en prenait à des gens en souffrance et sans défense.
Ce type était plus sinistre que la plupart des crapules auxquelles je me frottais, car il était calme et sûr de lui. Mon insolence irritait souvent les gens, qui finissaient par perdre leur sang-froid, mais lui n’avait pas de mal à garder sa contenance. Il était pragmatique, donc sans doute très futé.
Les gens étaient toujours surpris de voir que je pouvais entrer dans un monde auquel je n’appartenais pas et m’y sentir comme chez moi. C’était parce que je savais que personne ne rivalisait avec moi.