Ed Greenwood

Une chose est sûre : au cœur de tout combat, avant les cris et les épées brandies, on trouve une bien sinistre décision.

Face au danger, la plupart des gens ne font rien. Ils se disent que quelqu'un d'autre réglera le problème, se trouvent des excuses, font tout ce qu'ils peuvent pour penser à autre chose, continuent à vivre leur vie comme si de rien n'était. Je m'y refuse.

Je n'ai plus envie de me montrer gentil avec des êtres aussi cruels qu'imbéciles.

Bob Salvatore n'a pas seulement offert à la Fantasy un personnage inoubliable mais aussi des romans à couper le souffle qui méritent de faire partie des meilleurs livres de Fantasy de tous les temps.

J'aime tant les Ménestrels. Ils sont succulents.

- Livre-nous cette femme, nous ne le répéterons pas ! siffla Shuldroun, écarlate.
- Magnifique ! Nous aurons enfin un peu de silence, rétorqua le vieux magicien.

Je n'ai pas vécu aussi longtemps en abandonnant mes principes à la première occasion. Voici un petit conseil que vous autres jeunes gens feriez bien d'écouter : quand vous faites ce que vous estimez juste, tenez bon.

Il n’existe pas de bête plus dangereuse à traquer qu'un homme aux abois  – à une exception près : un mage humain aux abois.

Si tu veux être témoin de sérieux méfaits, ne cherche pas dans les venelles ou les tavernes obscures ; pénètre plutôt dans les pièces retirées les plus secrètes où évoluent les nobles et les riches, et observe.

Ah, seigneurs, si vous saviez
Tout ce que j'ai fait ! J'ai tué, et bien pis encore,
Reçu gloire et compliments en échange,
Et tout cela au nom du Dragon.

Ciel, fit-il en contemplant ses ongles sans remuer d'un iota, la crème et le coing ne font décidément pas bon ménage dans une sauce. En tout cas, pas dans mon délicat estomac. Et ma seule compagnie semble avoir un effet des plus néfaste sur l'équanimité des Cacalishites en visite… Ou est-ce des Calishiards ? Mille pardons, je fais toujours la confusion…

Secouant sa barbe en pointe, le Calishite continua sur sa lancée, arrosant d'injures en vrac les aïeux de Mirt, son hygiène intime, ses manies alimentaire, sa mère, sans oublier ses privautés libidineuses avec les chamelles.

Et j'ai su qu'Elminster deviendrait, avec mon aide, le plus grand mage que le monde ait jamais connu.

Quelle tristesse... mais la vie n'était-elle pas une suite de malheurs ? Il suffisait seulement de s'arranger pour qu'ils arrivent à quelqu'un d'autre.

- [...] Nous défendons la justice et le bien !
- Tu n'es pas un peu grand pour classer ainsi ceux que tu trouves sur ton chemin ? Mon garçon, il n'y a ni gentils, ni méchants, seulement des êtres qui font ce que d'autres jugent bien ou mal.

Bezrar en agitant les bras comme un fou tandis qu’il courait, éperdu, dans la forêt, se cognant aux arbres et arbrisseaux quand sa trajectoire en ligne droite l’écartait de la piste. Cooouuuurth ! Il essayait de prononcer le mot « cours » en même temps qu’il appelait Surth quelque part derrière

Il transpirait, mais à vrai dire Aumun Tholant Bezrar transpirait en permanence. En partie parce que - les dieux en soient témoins - il était gras... D'autre part, lorsque, dans le cadre de son activité quotidienne d'importateur et de grossiste de biens divers et variés, on pratique libéralement la contrebande et le recel, eh bien, on a d'excellentes raisons de suer !

Les hommes avisés étudiant l’histoire emploient un mot bien particulier à l’endroit de ceux qui ont dédaigné leurs filles. Ce mot est “crétins".

Le problème avec les mages trop malins, répliqua le guerrier, c’est qu’ils ignorent ce que «travailler » signifie. Ne parlons pas de choses toutes simples comme de ferrer un cheval, réparer le talon d’une botte ou plumer et rôtir un poulet… C’est au-dessous d’eux ! Savent-ils seulement boire comme des hommes, trousser une belle fille ou cultiver des navets… ? Non ! Cela les empêche-t-il d’expliquer aux autres comment s’y prendre ? Pensez-vous !

Je suis ici pour « apprendre les rudiments de la magie », selon la volonté de la divine Mystra. Elle a prédit que ma présence parmi vous serait un jour nécessaire. Elle ne m’a pas révélé pourquoi, ni comment, ni pour qui et encore moins pour servir quelle cause.