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Critiques de Edouard Kelsey Moore (230)
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Les Suprêmes

Une jolie histoire d'amitié et c'est tout !
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Les Suprêmes

Odette, Clarice et Barbara Jean sont trois amies de longue date. Elles se retrouvent tous les dimanches chez Big Earl, restaurant de la ville où il fait bon de se donner rendez-vous. D'ailleurs, Big Earl, le patron, est témoin des amours naissantes des Suprêmes, surnom donné à ces trois amies.

Odette se mariera à James, Clarice à Richmond et Barbara Jean à Lester.

Dans des courts chapitres, nous suivons la vie de ces trois femmes à travers des flash back et de leurs vies actuelles.

C'est merveilleusement bien écrit. Passer un moment avec ces trois amies et leurs proches a été un véritable plaisir et bonheur.

Le thème sociétal de la ségrégation raciale, sans être non plus le point principal de ce roman, tient une place importante. Il est abordé avec beaucoup de pudeur.

Merci à l'auteur pour cet excellent moment de lecture. Je n'avais aucune envie de quitter les suprêmes et de fermer ce roman.
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Les Suprêmes

C'est l'histoire de trois femmes afro-américaines, amies depuis toujours...

Ce roman est irrésistible : délicieusement ironique, méchamment drôle (j'ai éclaté de rire plusieurs fois), tendre et chaleureux.

On y rencontre l'Amérique profonde, sa culture (notamment culinaire), son religieux omniprésent, et l'histoire de la fin de la ségrégation dans une petite ville du Sud profond.

Les portraits sont savoureux et ciselés avec un style parfois hilarant...
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Les Suprêmes

Pour ce premier roman, le violoncelliste de Chicago Edward Kelsey Moore s'est inspiré des femmes de sa famille pour créer des personnages d'une grande authenticité.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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Les Suprêmes

Enfin un "répit" optimiste, complicité, famille, malbouffe et bouillonnement fantaisiste afro-américaine avec envie de couleurs, de rires, de larmes et bien sûr de Musique.

Merci Monsieur Moore pour votre féconde humanité, on en redemande more and more en refermant votre livre.

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Les Suprêmes

Nées dans les années 1950 dans l'Indiana où elle vivent toujours, Odette, Clarice et Barbara Jean sont des amies inséparables depuis plus de cinquante ans. Tous les dimanches après la messe, ces quinquagénaires afro-américaines déjeunent ensemble chez Big Earl là où elles allaient adolescentes. Et c'est depuis cette époque qu'elles sont appelées Les Suprêmes en référence au célèbre groupe des seventies.



Odette, Clarice et Barbara Jean sont différentes mais complices et soudées. Si elles ont partagé ensemble les bonheurs, elles se sont sont toujours soutenues dans les moments durs de l'existence et continent de le faire. Une fois ouvert ce roman, difficile de le reposer tant il se dégage une gaité, une énergie communicative. Odette est d'un tempérament fort et intrépide mariée au discret James, Clarine a renoncé à une carrière prometteuse de pianiste pour se marier à Richmond coureur de jupons. Barbara Jean à l'enfance difficile et dont la beauté n'a pas pris une ride vit confortablement grâce à la fortune de son mari beaucoup plus âgé qu'elle.



la suite sur :

http://fibromaman.blogspot.fr/2014/04/edward-kelsey-moore-les-supremes.html
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Les Suprêmes

On comprend le succès de ce livre en plongeant avec délectation dans cette histoire d'amitié entre 3 quinquagénaires afro-américaines. L'une est narratrice, pour les chapitres centrés sur les deux autres, c'est narré à la 3ème personne (cet écart m'a un peu déroutée au début, mais on s'y fait !).

Le tourne autour de leur amitié, mais aussi de leurs vies respectives, vie actuelle et vie passée. Si certaines ficelles sont grosses (certes, beaucoup de bons sentiments, mais il en faut), on ne peut que reconnaître que ce roman est loin d'être niais et à l'eau de rose, il y a de l'humour et parfois un peu d'ironie.

Enfin, on tourne les pages très vite, avec plaisir et... on attend la suite !
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Les Suprêmes

que du BONHEUR ! on se régale du début jusqu'à la fin avec ces 3 copines. elles nous emmènent dans leur monde, leurs vies, leurs joies, peines...

un vrai régal - un tourbillon de vie

j ai adoré

A lire absolument ...

la suite n est pas mal non plus

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Les Suprêmes

Le point de départ de ce roman est la mort d’un pilier de leur communauté, Big Earl, le patron du diner où les Suprêmes et leurs maris se retrouvent chaque dimanche après la messe. Véritable homme de cœur, Big Earl était un peu leur papa à tous et toutes, son diner les ayant accueilli chaque semaine depuis des décennies et ayant vu des adolescentes pleines de rêves devenir des femmes matures au caractère toujours aussi trempé, qui ont su faire face aux aléas de la vie en se serrant les coudes, menant leur barque sur la mer agitée de la vie.



Car c’est de cela qu’il est question dans ce premier roman ; des épreuves de la vie, de la force dont il faut pouvoir faire preuve pour s’en sortir, de résilience. D’amitié aussi, bien sûr, même si les aller-retours entre l’adolescence et la vie présente de ces trois amies servent surtout de toile de fond pour aborder de grands thèmes américains : la ségrégation raciale, les années hippies, le rêve américain et son ascenseur social ainsi que la « concurrence » des différentes églises. Les trois amies n’ont pas l’habitude de se faire des cadeaux ; Odette, surtout, dont le franc-parler permet d’aborder des sujets difficiles sans détour. Sous ses airs futiles aux considérations féminines, c’est un premier roman bien ancré dans son histoire que nous livre Edward Kelsey Moore. La Fox Searchlight Pictures aurait déjà posé une option pour une adaptation au cinéma.
Lien : http://milleviesenune.com/127/
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Les Suprêmes

Livre sympas à lire mais sans plus, il s'agit simplement de la vie de 3 amies afro-américaines, une sorte de desperate housewife en livre. Il y a là une belle histoire d'amitié sur trois personnage si différent s mais pourtant très liés. La description des personnages, des lieux ... Sont très bien racontés, on imagine bien au fil de la lecture.
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Les Suprêmes

Odette, Clarice et Barbara Jean : des amies inséparables surnommées Les suprêmes. Comme les célèbres chanteuses, elles sont trois et elles sont noires. Depuis les années 60, elles se retrouvent dans le restaurant de Big Earl et rien ne les sépare même si chacune a son lot de malheur…

Ce livre est un régal à la lecture ! Il m’a fallu un petit moment pour situer tous les personnages mais la suite n’en fut que plus meilleur. L’auteur dose savamment humour avec la brave Odette qui voit des fantômes et les moments moins heureux comme la ségrégation ou la maladie. Leur amitié est à tout épreuve même si on met sous silence certaines réalités. Chacune a ses défauts, chacune a son caractère et c’est ce que donne son charme à cette histoire de femmes sur près de quarante ans. Les allers-retours entre passé et présent ne m’ont pas gêné, au contraire. J’ai beaucoup aimé ces incursions qui m’ont permis de mieux cerner chacune d’entre elles. Edward Kelsey Moore a fait un formidable roman sur l’amour et l’amitié au fil du temps.

Il a souvent été comparé à La couleur des sentiments mais la ségrégation est moins présente dans Les suprêmes, il y a moins d’interaction avec les communautés blanches et noires. C’est un livre dur et doux… A lire tout simplement.

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Les Suprêmes

Lu sur le conseil de ma bibliothécaire, j'ai passé un très bon moment en compagnie des 3 Suprêmes, trois copines afro-américaines d'une cinquantaine d'années. On suit leurs histoires de vie, riches en rebondissements : relations amoureuses, familiales, drames (maladie, mort),... le tout relaté dans un style truculent et léger, plein de chaleur et d'humanité. En filigrane se dessine une Amérique peinant à sortir de sa période ségrégationniste, empreinte de valeurs puritaines et patriarcales. Résolument optimiste, c'est un bel hymne à la vie, à l'amour, la résilience, la communauté, la famille,... Bref, la lecture idéale en cette période trouble et anxiogène.
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Les Suprêmes

Je m'y suis prise à deux fois pour lire ce livre. Première tentative, il y a quelques semaines qui n'avait pas aboutie et puis j'ai replongé dedans il y a peu et au bout du compte.... j'ai vraiment bcp aimé. Belle histoire d'amitié, de tolérance, du drame à l'humour, la vie quoi !
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Les Suprêmes

Le quartier noir d'une petite ville de l'Indiana, dans les années 60. Elles sont trois quinquagénaires, qu'on a toujours appelées « Les Suprêmes », en hommage aux chanteuses des années 70. Odette est née dans un sycomore, Clarice est le 1er enfant noir à être né dans un hôpital pour Blancs, et Barbara Jean sur un canapé dans la maison d'une inconnue.

Odette, solide femme rondelette, n'a pas la langue dans sa poche. Elle tient de sa mère la particularité de voir les morts et, d'ailleurs, elle discute régulièrement avec elle. Clarice, épouse un peu soumise et virtuose du piano, supporte patiemment les infidélités de son beau mari et gère malgré tout son régime de diabétique. Barbara Jean, superbe jeune fille, s'est liée d'amitié avec elles à l'âge de quinze ans, lors de la mort de son père. Clarice et Odette, obligées lors du décès d'apporter un plat cuisiné, ont senti le malaise de l'adolescente face à son beau-père, et l'ont prise sous leur aile.

Un récit fait d'anecdotes de la vie quotidienne, de retours en arrière et de souvenirs. Les trois femmes, accompagnées plus tard de leur mari respectif, se retrouvent tous les dimanches au restaurant de Big Real, où elles papotent en dégustant des nourritures bien grasses.

Il y a bien sûr un fond de racisme et de maltraitance, mais l'auteur ne s'y attarde pas et si c'est bien présent, il n'en fait pas la base de ce roman. La vraie base, c'est l'amitié indéfectible de ces trois femmes unies comme des sœurs qui traverse les années sans faiblir, et l'humour et la tendresse qui accompagnent leurs épreuves.

Voici donc une belle histoire, un beau roman un peu magique (vous verrez bien….) Mais n'hésitez pas à faire la connaissance de ces Suprêmes, qui valent bien les autres.
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Les Suprêmes

Agréable surprise ce roman. Un peu déroutée dans le début lorsqu'une des héroïnes entend des voix mais au final une très bonne saga qui évoque les difficultés des noirs américains.
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Les Suprêmes

Barbara-Jean, Clarisse et Odette sont nées dans les années 50 dans la communauté noire d'une petite ville de l'Indiana alors que les lois sur la discrimination raciales étaient encore en application. Devenues amies au lycée, elles sont maintenant trois quinquas soudées qui ont font face aux aléas de la vie. Odette tombe gravement malade. Clarisse subit de moins en moins bien les infidélités de son beau mari pour qui elle a renoncé à une carrière de pianiste. Et la toujours très belle Barbara-Jean, meurtrie par la vie, tente d'oublier ses chagrins dans l'alcool. A travers ce récit enlevé, c'est une page de l'histoire du Sud de l'Amérique que l'on traverse. Drôle, émouvant, en apparence léger, ce livre est un hymne à la vie, à l'amitié et à l'amour.
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Les Suprêmes

Odette, Clarice et Barbara-Jean, je vous présente « Les Suprêmes », ainsi baptisées en hommages aux chanteuses de Baby Love. Trois femmes étonnantes, trois inséparables quinquagénaires qui ont l’habitude depuis leur adolescence de se retrouver le dimanche au restaurant de Big Real. Leur différence fait la force de cette amitié indéfectible, Odette la rondouillarde qui parle aux fantômes, Candice qui a bien des soucis avec son coureur de mari et Barbara-Jean, la plus belle, celle qui a fait un riche mariage. Au fil des années, elles ont tout partagé, les amours, les deuils, les joies et les peines. Un premier roman très brillant ou Edward KELSEY MOORE trace une galerie de portaits de personnages, étonnants, charmeurs, agaçants mais ô combien attachants. Ne passez pas à côté de ce roman, c’est un petit bijou, un grand bonheur de lecture. Je prends le pari que vous allez adorer ces trois copines et qu’elles vous manqueront lorsque vous refermerez le livre comme seules peuvent manquer les vraies amies.



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Les Suprêmes

On passe un bon moment accompagné des suprêmes . Un beau roman d'amitié qui se lit facilement. Un peu decu de la fin tout de même .
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Les Suprêmes

Les suprêmes, trois quinquagénaires adorables au caractère bien trempé, nous entraînent dans leurs aventures décalées où se côtoient fantômes du passé, amitié indéfectible et amours contrariés. Une idée plutôt intéressante et des personnages attachants mais qui s’avère au final plutôt convenue. L’ensemble est plutôt lent, voire répétitif, même si quelques scènes peuvent faire sourire. Ce n’est au final pas le grand roman escompté, puisque, entre des situations parfois trop cocasses et un contexte plutôt fade et attendu, l’oeuvre d’Edward Kelsey Moore ne parvient jamais à trouver un équilibre salutaire. Une petite déception pour ce roman qui possédait pourtant un beau potentiel.
Lien : http://leblogdeyuko.wordpres..
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Les Suprêmes

Feel-good book

Pourquoi on aime ce livre ? Parcequ’on aimerait faire partie de la bande ! 3 femmes, 2 époques et l’Amérique profonde des années 60 et d’aujourd’hui.

Ces trois amies depuis le lycée sont tellement attachantes, humaines et originales avec leurs forces et leurs failles ! Les scènes cocasses sont originales : Odette la rondelette qui enlève sa robe lamée pour menacer d’une correction le sale beau-père de sa jeune amie. Ou encore le mariage du siècle qui tourne au fiasco général. Les sujets profonds sont abordés avec naturel : le racisme, l’alcoolisme, l’infidélité, la mort. Les nuages sont vite chassés par l’humour. Bravo à l’auteur masculin pour toute cette empathie.
Lien : http://sousinfluences.com/in..
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