A l'occasion de la 11ème édition du salon international du livre en format livre de poche Saint-Maur En Poche, la journaliste Jacqueline Pétroz recevait sur la scène de la Griffe Noire l'auteur américaine qui fut la lauréate du prix Pulitzer 1992 pour son roman L'Exploitation inspiré du Roi Lear de Shakespeare...
L'Exploitation de Jane Smiley aux éditions Rivages
https://www.lagriffenoire.com/26305-poche-l-exploitation.html
Un siècle américain, Tome 1 : Nos premiers jours de Jane Smiley et Carine Chichereau aux éditions Rivages
https://www.lagriffenoire.com/110258-divers-litterature-nos-premiers-jours.html
Un siècle américain, Tome 2 : Nos révolutions de Jane Smiley aux éditions Rivages
https://www.lagriffenoire.com/116025-divers-litterature-nos-revolutions.html
Un siècle américain, Tome 3 : Notre âge d'or de Jane Smiley et Carine Chichereau aux éditions Rivages
https://www.lagriffenoire.com/144205-divers-litterature-notre-age-d-or.html
La culture décontractée !!!!!
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Une chose que papa me vola en venant me rendre visite la nuit dans ma chambre, c’est la mémoire de mon corps.
Les opinions, c'est comme le sel, c'est très répandu !
La porte de l'ascenseur s'ouvrit à nouveau et Arthur déclara : "Tout le monde n'a pas la même idée de ce que pourrait être un monde meilleur."
Frank répliqua : "Il y a des gens qui ne se posent jamais la question."
À la fin de la campagne d’Afrique, ils avaient eu quelques jours de repos à Tunis, mais on leur avait fortement déconseillé de se frotter aux femmes – les prostituées avaient toutes la chaude-pisse, quant aux autres, elles avaient toutes un père et des frères, « et ça, c’est pire que la chaude-pisse ».
Mary Elizabeth. Elle avait des cheveux bruns, mais des yeux bleus. La mère de Walter dit à ce propos : « Ma grand-mère avait les yeux bleus. Ça va et ça vient dans notre famille. » Quant aux Augsberger et aux Vogel, quand ils vous regardaient tous en même temps, on aurait cru un ciel d’été.
C'était merveilleux de disposer d'un livre, un tel trésor, pour moi toute seule.
Il est faux de dire que de voir quelqu'un enfermé dans son cercueil, enterré et recouvert de terre, vous empêche de croire qu'il sera là lorsque vous vous retournerez. Il est faux de dire qu'on peut aller sur sa tombe, s'agenouiller et placer dessus des fleurs sauvages, entendre tout votre entourage confirmer qu'il s'agit de sa tombe, sans pour autant croire qu'il se trouve bien dedans.
Certes aucune jeune mariée ne connaît toutes les facettes de son époux, et tout mariage est une loterie.
Il en va avec le froid comme avec tout le reste. La première fois que vous souffrez d'engelures au nez, aux doigts ou aux orteils, vous éprouvez un choc. La quatrième ou la cinquième fois, vous n'y faites même plus attention.
Quand nous apprîmes à Lawrence ce qu'ils avaient fait au capitaine, nous fûmes enfin convaincus que les Ruffians étaient des animaux. Ils le massacrèrent à coups de hache, se soûlèrent encore un peu plus, le jetèrent dans un chariot et le ramenèrent ainsi chez lui où, sous les yeux de sa femme, ils balancèrent le corps en hurlant : "voilà Brown !". Puis ils repartirent en riant. Certains disent que le capitaine était encore vivant et mourut dans les bras de sa femme ; pour d'autres, il était déjà mort. Dans les deux cas, l'horreur était la même.