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Critiques de Eiríkur Örn Norddahl (72)
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Gaeska

Je viens de réaliser que j’avais déjà lu « Illska », du même auteur. Un livre que j’avais beaucoup aimé.

Mais alors, pour celui-ci, j’avoue mon impuissance. C’est bien simple, pendant les cinquante premières pages, je n’ai rien compris, et pour le reste, beaucoup de choses m’ont échappé.

C’est une satire de la société politique, de la société islandaise, du système….

C’est loufoque, étrange, imaginatif.

Dommage pour moi, je n’ai pas été très réceptive.

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Gaeska

Illisible ! On se demande comment certain on la chance d'être édité ??
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Gaeska

Même si le début est déroutant, on se retrouve rapidement avec des personnages attachant qui permettent de critiquer les extrêmes du féminisme et du socialisme sans être pour autant une éloge du patriarcat et du libéralisme.
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Gaeska

Le récit débute, jour 1, par l’évocation du projet de suicide d’une femme pour qui la vie : « Je ne sais pas. J’aimerais bien prolonger cette phrase et l’étirer à l’infini, mais je ne la mènerai pas plus loin que ça. (...) J’ai l’impression de perdre la tête, si tant est que je ne l’ai pas perdue depuis longtemps. » (14)



Cette œuvre poétique a les empreintes d’un pamphlet portant sur la société, les inégalités sociales, la répartition des richesses, la quête du pouvoir et l’hégémonie des races et des cultures. Avec humour, sarcasmes et cynisme, Eirikur O.Norddhal entraîne les lecteurs dans un labyrinthe où l’imaginaire fantastique côtoie le réel presque irréel. Truffé de plusieurs procédés littéraires, le texte séduit, envoûte : métaphores, énumérations, redondances, pléonasmes, etc. « Des lycéens militant contre l’intolérance et la violence voisinaient avec des libéraux opposés aux travailleurs étrangers. » (34) Le recours aux métaphores et aux analogies amplifient le propos : « Suffocant de découragement... » (34); « S’escrimaient à défendre... » (34).



« L’amour arrive sans prévenir. (...) Vous faites l’amour et vous baisez. Vous vous embrassez, vous vous embrasez. » (39) La force du texte repose sur l’originalité des expressions et l’usage d’images saisissantes. J’ai « grandement » apprécié ce texte rythmé par la lenteur de l’enchaînement des intrigues et des interactions. En lisant, j’avais parfois l’impression de retrouver, ou d’entendre, des extraits de chansons de Léo Ferré.



Le texte est farci de repères culturels, sociaux et religieux : Somode et Gomorrhe, Tour de Babel, Apocalypse; Islam; immigration de réfugiés; pouvoir et démocratie; élection des femmes au pouvoir; FMI; filmographie; organisation sociale et immigration; etc. Ces référents favorisent l’interprétation du propos au-delà de la graphie des mots.



Enfin, l’usage du double narrateur, un narrateur présent, député et époux de la PM d’Islance, et un narrateur absent, observateur. L’alternance des deux narrateurs offrent un regard autre sur les événements rapportés, les interactions, etc. C’est une oeuvre littéraire exceptionnelle, dont les pan pamphlétaires jettent un regard cynique sur la société contemporaine, occidentale. Magnifique!
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Gaeska

Souvenir confus de Illska, (le mal)...

La quatrième de couverture nous rappelle la parution de Heimska (la stupidité) alors que je m'apprête à découvrir Gaeska (la bonté)....

Je croyais être passée à côté de la chronologie avec un livre manquant ...

Finalement Gaeska est le premier roman paru de l'auteur en 2009, Illska n'est paru qu'en 2012 et Heimska en 2015...

Il est toujours difficile de comprendre la politique éditorial !



L'écriture du livre se déroule entre 2007 et 2009.

Une énorme crise financière a affecté le système économique et bancaire en octobre 2008, dans le contexte de la crise économique mondiale de 2007-2009 provoqué par la crise des subprimes. Elle a débouché sur ce qui a été appelé la révolution islandaise.

Un drôle de livre qui nous retrace ces événements au travers d'une caricature d'un système politique libéral aux mains de la finance et de la folie de politicards décrits comme des objets de foire ou de cirque.

La société islandaise est décrite sous les deux angles, le paternalisme dans la première partie, puis dans la seconde, les femmes ont conquis le pouvoir.

Histoire surprenante où l'on croise un directeur du FMI présenté comme un prédateur sexuel quelques années avant que le scandale soit dévoilé.

Une lecture déroutante ...

Où la bonté semble être la seule solution pour sortir du marasme ambiant ...

Où l'on découvre le jour où l'Islande est devenu le pays le plus peuplé d'Europe de l'Ouest !
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Heimska : La stupidité

Autant le concept de dystopie fondée sur un monde de surveillance m a énormément plu ( intégrant en fait la problématique du "périscope" actuel comme un acquis totalement banalisé et avalisé ), autant j ai trouvé les personnages fades et n ai pas tellement accroché a l intrigue.

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Heimska : La stupidité

La lecture du précédent roman de Eiríkur Örn Norđdahl, Illska, m'avait enthousiasmée et donné le sentiment d'avoir découvert un auteur original et audacieux. J'attendais le prochain avec impatience. Hélas, la lecture de son deuxième roman, Heimska, ne m'a pas du tout confortée dans cette opinion. Très classique dans la forme, j'ai trouvé l'histoire bâclée (alors que Illska m'avait paru un peu long) qui lève mille lièvres sans approfondir aucun sujet. Ce roman dystopique sur le voyeurisme généralisé et l'égocentrisme que nous prépareraient les nouvelles technologies, reste très superficiel ; les personnages sont inconsistants et pas attachants, ni sympathiques, ni antipathiques. J'ai eu le sentiment désagréable que l'auteur devait finir son bouquin au plus vite à tout prix. L'ambiance elle est un peu celle de la série Black Mirror.

Avec ce deuxième ouvrage, Eiríkur Örn Norđdahl a perdu son originalité et sa force et il ne m'a pas convaincue ni sur la forme, ni sur le fond. A oublier en attendant le suivant !
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Heimska : La stupidité

« Alors qu’ils étaient tout juste mariés, Aki et Lenita avaient tenté l’expérience de débrancher toutes les webcams de leur domicile (…). Aki et Lenita se sentaient bien chez eux. Mais voila, ils avaient quand même l’impression de ne plus exister et d’être vidés de leurs substances… »

Oui, car dans la société dans laquelle vivent nos deux personnages, tout le monde est interconnecté en permanences, les caméras tournent sans arrêt, et chacun peut suivre n’importe qui où qu’il soi…Tout le monde peut vous voir, vous observer,…mais personne peut ne s’intéresser à vous…et c’est peut-être le pire…

Islande, un couple d’écrivains se déchire autour de leur roman respectif. Même titre, même histoire proche. Plagiat ? Engueulade. Séparation. SurVeillance. SurVeillance est le nom donné au système de caméras des espaces publics ou privés connectées aux multiples écrans de la vie quotidienne. Téléphone, tablette…Par reconnaissance faciale, chacun peut surveiller qui il veut, en direct ou à son insu. Tout le monde peut vous voir mais vous n’intéressez personne.

Comment montrer les dangers d’ne telle société ? Comment la prendre en otage ?

Ce roman est une dystopie qui montre ce que pourrait devenir notre société à court terme.

Je suis restée sur ma faim, avec ce roman qui m’a permis la découverte d’un nouvel auteur islandais. Les personnages, s’ils utilisent les caméras pour leur vengeance personnelle, servent un peu trop de prétexte à l’auteur. Ils auraient mérités d’être davantage fouillés. Là l’histoire me semble trop artificielle.

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Heimska : La stupidité

Une réflexion caustique sur la société de surveillance par l'écrivain islandais Eiríkur Örn Norddahl.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Heimska : La stupidité

« Il n’y a à tout cela qu’une seule réponse : éteindre la machine. Soit c’est elle qui survit, soit c’est l’être humain, mais pas les deux. »





Plus terrible que le 1984 d’Orwell où Big Brother observait les citoyens : là, tout le monde observe tout le monde. « Les gens avaient cessé de baiser portes closes ou de déféquer en privé. » Tout est visible par tous. Et comme l’enfer, c’est les autres, vous imaginez le résultat ! « SurVeillance. Tout le monde voit tout le monde. Il ne s’agit pas d’un « panoptikon » où un œil épierait chaque individu et informerait le pouvoir politique, mais plutôt d’un « synoptikon » où tous les yeux présents dans le bâtiment peuvent observer l’ensemble des autres individus et ce, où qu’ils soient. »

Et le pire dans tout cela, c’est que ceux qui osent se déconnecter ou qui le sont accidentellement se sentent comme perdus, quasi inexistants comme si vivre signifiait se montrer aux autres. Exister, c’est être vu. Autrement dit, cesser d’être vu signifierait … mourir !

« C’était peut-être ça, le plus terrifiant, l’idée d’être seul sans que personne vous voie, l’idée que tous pouvaient vous observer, mais que personne ne s’y intéressait. »

Finalement, dans ce monde, la tragédie, c’est la panne de courant !

J’avoue que ce point de départ m’avait donné envie de découvrir ce qui se présentait comme une terrible dystopie des temps modernes.

Hélas, finalement, je me suis perdue dans ce roman pour des raisons que je vais tenter d’analyser.

Deux écrivains, Lenita et Áki Talbot, séparés depuis peu, se déchirent : ils ont chacun écrit un livre qui porte le même titre Ahmed et dont le contenu, assez identique, raconte comment un jeune Pakistanais, réfugié en Islande, finit par rejoindre les rangs de l’État Islamique.

Qui a plagié l’autre et pourquoi ? Ou bien, à force de s’observer, les gens finissent-ils par se ressembler ? Chacun des deux protagonistes souhaiterait être récompensé par un prix littéraire et vendre plus de livres que l’autre. Ils s’épient sans cesse. Encore vaguement amoureux, ils s’observent via les caméras, souffrent de voir leur ancien conjoint se livrer à des expériences sexuelles multiples.

Là, surgit un groupuscule terroriste qui veut tout faire sauter et mettre fin au règne de la transparence absolue…

J’ai trouvé que le propos de départ était vraiment intéressant mais l’on finit par aborder différents thèmes qui ne sont jamais vraiment approfondis, on s’interroge au sujet des personnages et de leurs motivations sans jamais avoir de réponses, l’intrigue peine à se mettre en place, certains points d’ailleurs demeurent à mon sens inexpliqués. Il me reste comme une impression d’inabouti…

Je termine le livre un peu frustrée, un peu perdue aussi, je dois bien l’avouer.

Heimska La stupidité pose néanmoins un regard bien sombre sur notre époque hyper-connectée où l’homme peine à vivre sans le regard de l’autre. Pas très engageant tout ça…


Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Heimska : La stupidité

Aie, aie, aie, je n'ai pas été réceptive pour un sou à cette histoire. Les deux personnages principaux m'ont agacée de plus en plus aux fils des pages. A tel point que je n'ai pas fini le roman.



Je mets ça sur le compte d'une mauvaise lecture au mauvais moment et comme je n'aime pas rester sur une défaite je reprendraispeut être ce roman plus tard ou je serais sans doute plus réceptive.
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Heimska : La stupidité

Pleine d’humour noir, une fable acérée du narcissisme terminal contemporain.



Sur mon blog : https://charybde2.wordpress.com/2017/05/22/note-de-lecture-heimska-la-stupidite-eirikur-orn-norddhal/
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Heimska : La stupidité

Bouh! Rien ne m'a plu dans ce roman, je l'ai trouvé creux, vide, assez inhumain, superficiel... C'est le roman d'un cadre, d'un décor et pas le roman d'une histoire. Le cadre, c'est celui d'une science-fiction très proche de nous, où chacun est connecté 24/24 aux réseaux et à la surVeillance. C'est l'histoire de deux protagonistes qui vivent dans ce décor, Aki et Lenita, ancien couple, écrivains qui ont par hasard (?) écrit le même roman. C'est l'histoire d'une perte d'identité, de repères, de désirs. C'est une satire bien sûr!Mais à laquelle je n'ai absolument pas accroché...
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Heimska : La stupidité

Que peut l'art pour sauver l'homme prisonnier de la technologie ? Pas grand-chose quand il est lui-même esclave de l'ego. C'est en substance ce que nous dit Eiríkur Örn Norðdahl dans Heimska, La stupidité, un roman corrosif et enlevé qui décrit les moeurs d'une société Islandaise ankylosée et perdue dans sa propre contemplation.



La note de lecture complète sur le site
Lien : http://www.levadee.com/eirik..
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Heimska : La stupidité

Le livre est court tant mieux. Le thème est intéressant, glaçant quand aux rapports humains bien de notre époque, mais le récit s'enfonce vite dans une complexité dont je n'ai pu bien saisir le sens. Dommage.
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Heimska : La stupidité

À travers des personnages complètement déshumanisés, Norđdahl cultive habilement le malaise autour de ces relations rendues malsaines, et tourne au ridicule notre addiction à la technologie.
Lien : http://www.lapresse.ca/arts/..
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Heimska : La stupidité

Illska avait été une très belle découverte grâce aux éditions Métailié, j'étais donc heureuse de voir que son auteur allait publier un autre roman. Voici mon avis sur Heimska...



Si Illska était dense, Heimska est un roman beaucoup plus court et rapide à lire. Si Illska est contemporain, Heimska représente un futur proche dans la lignée du Big Brother de George Orwell. Nous sommes tous surveillés les uns par les autres, toutes nos webcams connectées, vivant à la merci du regard de son voisin, d'autrui. Un voyeurisme exacerbé où la téléréalité devient simplement la réalité.



Cette dystopie contemporaine est livrée via deux personnages qui se mènent une guerre sans précédent : cherchant à blesser l'autre en couchant avec le plus de partenaires possibles. Le monde est ainsi complètement "libéré" des convenances, des mœurs, de la vie privée, de l'intime. Tout semble possible et tout manque de saveur à la fois... Tout semble n'être qu'illusoire, digne de dérision et de critique. Par la même l'écrivain fait un constat féroce de ce que peut devenir notre futur.



J'ai aimé cette lecture même si elle n'est pas du même acabit que son livre précédent. Je pense que cela manquait d'approfondissement du fait de chapitres extrêmement courts (une page environ) qui sont le reflet de la taille du roman. Mais il n'en reste pas moins que cela est très addictif à lire, le ton mordant est très intelligent, l'auteur ose et le lecteur se délecte de son sarcasme et sa vision désabusée d'un éventuel futur.



En définitive, Heimska est une dystopie contemporaine très bien menée !


Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Heimska : La stupidité

Un ouvrage auquel je n'ai pas accroché. Le contexte dystopique était au final assez anecdotique, se cantonnant à un monde sous vidéo surveillance constante. Il n'est qu'un prétexte pour introduire l'histoire des deux héros.



Les deux protagonistes, un couple d'écrivains qui se séparent après avoir découvert qu'il ont écrit le même roman, sont eux peu attachants. J'ai eu du mal à m'intéresser à leur histoire remplie d'amertume et de "revenge porn". C'est un peu comme si j'avais attendu jusqu'à la fin que le récit commence...



Enfin la chute du roman a finalement peu à voir avec ce couple qu'on suit au départ. Un groupe de jeunes sabotent l'électricité de l'île. Le mobile est flou : rejet de leur société ultra numérique ? Vengeance ?



Bref, un récit lisible mais qui m'a laissé de marbre.
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Heimska : La stupidité

Le roman traditionnel Islandais n'est pas simple, le polar se lit très bien, j'ai eu un peu plus de difficulté avec le roman moderne, en plus le thème ne me "branchait" pas plus que cela ! Mais je continuerai à lire des romans islandais.
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Heimska : La stupidité

Dans un futur proche...



... les individus sont privés de toute intimité, ce dont ils s'accommodent visiblement fort bien. En effet, pour ces citoyens d'un monde hyper connecté, l'omniprésence de caméras permettant à la planète entière de suivre leurs faits et gestes à tout moment, y compris chez eux, est devenu non seulement une évidence, mais aussi un besoin. Car ne pas être vu revient alors à disparaître, l'existence étant principalement définie par la possibilité du regard des autres.

"C'était peut-être ça, le plus terrifiant, l'idée d'être seul sans que personne vous voie, l'idée que tous pouvaient vous observer, mais que personne ne s'y intéressait".

Le dispositif qui régit techniquement cette vaste toile d'araignée est désigné sous le nom de surVeillance, comme si son principal but était la protection (de qui ? contre quoi ?) et non l'observation, voire le contrôle.



Áki et Lenita Talbot évoluent dans cette société du voyeurisme permanent. Ce couple d'écrivains célèbres se livre une guerre sans merci depuis la parution quasi simultanée de leurs derniers romans respectifs qui présentent des similitudes plus que troublantes. Sans qu'aucun d'entre eux n'ait laissé filtrer le moindre indice quant à leurs récits, au moment de leur élaboration, ils ont traité de la même thématique (la radicalisation d'un jeune islandais d'origine syrienne) et donné à leurs romans le même titre -Ahmed-. Séparés, les Talbot passent leur temps à s'épier et à se provoquer par l'intermédiaire de vidéos exhibant leurs ébats mutuels.



Le récit de leur joute ex-conjugale alterne avec des paragraphes évoquant la relation de Lenita avec sa soeur jumelle, quelques bribes de l'existence de cette dernière et de son époux, les préparatifs qu'un groupe de pseudo-terroristes peaufine en vue de couper l'électricité de toute la région d'Isofjördur -où se déroule l'intrigue-, des considérations socio-philosophiques sur l'avenir de l'humanité... bref, de quoi alimenter de nombreuses thématiques fort intéressantes, mais que l'auteur n'a pas pris le temps de développer vraiment, "Heimska, La stupidité" ne comptant qu'une petite cent-cinquantaine de pages...



Cette brève lecture m'a ainsi laissé un goût d'inachèvement et de confusion. Dommage, car j'attendais beaucoup de ce titre, dont l'auteur m'avait captivé et impressionné avec son premier roman, bien plus dense et profond.

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