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Citations de Ellen Marie Wiseman (104)


Elle était triste que Glory parle des lions de la même façon que Maman parlait d'elle.
Comme si c'étaient des créatures qu'il fallait détester et craindre.
Ils n'étaient que des animaux sauvages qui voulaient qu'on leur rende leur liberté et qu'on les laisse tranquilles.
C'était tout.
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Les greniers étaient comme des musées d'histoire personnelle où les gens conservaient les vestiges du passé.
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Jamais elle ne sortirait du grenier. Son seul moyen d'observer le monde, ce serait à travers les livres. Papa disait que le monde extérieur n'était pas aussi merveilleux qu'elle le croyait, et qu'elle devait se réjouir d'avoir un lit confortable et de quoi manger. Beaucoup de gens n'avaient pas de maison ou de travail, et ils devaient faire la queue pour qu'on leur donne du pain et de la soupe. Il lui avait raconté une histoire de banques et d'argent et de crash, mais elle n'avait rien compris. Et ça ne la consolait pas de toute façon.
(p. 15-16)
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La guerre transforme certaines personnes en délinquants, d'autres en criminels, mais ce qui est certain, c'est que nous sommes tous des victimes. Tous les soldats sur le front ne sont pas là pour défendre Hitler et ses idées.
Le fait de se battre ne signifie pas qu'on croit en la guerre.
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Même s'ils avaient perdu des proches du fait de la maladie, au moins, ils savaient ce qui leur était arrivé. Ils pouvaient prendre un nouveau départ, tandis que pour sa part, Pia avait le sentiment d'être coincée au purgatoire.
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Au fond d'elle-même, elle savait que toutes les mères aimaient leurs enfants et les pleuraient de la même manière, qu'importait leur nationalité, leur race ou leur religion.
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Car en dépit de ses manières pieuses en privé, les apparences avaient toujours eu la plus haute importance à ses yeux, d'où les robes chics et les manteaux de fourrure qu'elle portait lorsqu'elle sortait, et la charade de la famille parfaite qu'elle jouait pour le monde extérieur.
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Néanmoins, si elle était honnête, son estomac papillonnait à la perspective de passer davantage de temps avec lui. Être si proche d'Ethan lui donnait l'impression de ne pas avoir dormi ou mangé depuis des jours. Ses jambes flageolaient, elle se sentait étourdie. C'était à la fois épuisant, prodigieusement énervant et merveilleux.
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Son monde s’écroulait et elle ne pouvait absolument rien y faire.
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Comme avec le lion, elle ressentait sa peur, sa douleur, sa détresse.
Les émotions de l'animal pesaient sur elle de tout son poids, comme si elle était en train de se faire engloutir par des sables mouvants.
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Ils n'étaient rien que des numéros aux yeux de ceux qui avaient déclenché cette guerre.
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Lorsqu'elle remonta ses manches pour laver les assiettes, elle se figea sous le choc. Pendant un moment, elle avait oublié les camps et la guerre.
L 'espace d 'une heure, elle avait oublié sa peine.
Mais la réalité, c'était que son matricule serait là jusqu'à la fin de son existence. Chaque jour, elle le verrait. Chaque jour, elle se souviendrait.
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Elle était venue dans ce quartier en quête d'argent et à la place, c'était la mort qu'elle trouvait.
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Et dire que c'était les humains qui disaient que les animaux étaient sanguinaires.
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La vie était trop courte et trop précieuse pour parler de la pluie et du beau temps ou des derniers ragots. Ce que Julia aimait découvrir, c'était comment les gens se sentaient avec eux-mêmes et avec les autres, s'ils étaient heureux ou tristes. Elle s'intéressait à leur passé, à ce qui les avait menés là où ils étaient, à leurs relations avec leurs parents et leurs frères et sœurs. Elle voulait savoir si elle était la seule personne à se sentir perturbée et profondément seule.
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Comment une mère pouvait - elle être indifférente au fait que sa fille avait été enfermée, maltraitée, droguée et stérilisée ? Comment une mère pouvait elle se moquer de savoir si son enfant avait froid faim ou peur ? C'était incompréhensible et inimaginable.
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Mon père n'a pas l'habitude que je m'affirme. Il pense que les femmes sont faites pour être vues, et non pas entendues. M'interner ici est sa manière de me réduire au silence, de tenter de prouver qu'il peut me contrôler. Il essaie de me forcer à faire quelque chose que je ne veux pas faire.
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..............Julia fit un pas en arrière et le cheval la suivit. Elle continua jusqu'à arriver à un enclos vide à l'extérieur de l'écurie, ouvrit la grille et entraina le cheval à l'intérieur. Elle posa le reste des trèfles à terre, ferma la grille et retourna près du cheval pour passer ses doigts dans sa robe noire. Il hennit et frotta sa tête imposante contre Julia, ravie de cette caresse.
Bouleversée par l'affection que l'animal lui témoignait, elle enroula ses bras autour de son cou musclé et pressa son nez contre son flanc chaud. C'était la première fois qu'elle touchait un cheval et il lui sembla qu'elle sentait sa force qui irradiait et traversait sa
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- S'ils se sauvaient et qu'ils faisaient une bêtise, va savoir ce qui se passerait.
Quelqu'un pourrait leur faire du mal.
Les gens se mettent toujours en colère contre les animaux quand ils se comportent comme des animaux.
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Les éléphants l'aimaient bien et avaient confiance en elle. C'était pareil avec sa chatte Abby. Elle obéissait à Lilly parce qu'elles s'aimaient et se faisaient confiance. Peut-être que les hommes n'accordaient pas assez de crédit aux animaux.
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